Louis Segond 1910
Versliste
Il fit l'autel des holocaustes de bois d'acacia; sa longueur était de cinq coudées, et sa largeur de cinq coudées; il était carré, et sa hauteur était de trois coudées.
Il fit, aux quatre coins, des cornes qui sortaient de l'autel, et il le couvrit d'airain.
Il fit tous les ustensiles de l'autel, les cendriers, les pelles, les bassins, les fourchettes et les brasiers; il fit d'airain tous ces ustensiles.
Il fit pour l'autel une grille d'airain, en forme de treillis, qu'il plaça au-dessous du rebord de l'autel, à partir du bas, jusqu'à la moitié de la hauteur de l'autel.
Il fondit quatre anneaux, qu'il mit aux quatre coins de la grille d'airain, pour recevoir les barres.
Il fit les barres de bois d'acacia, et les couvrit d'airain.
Il passa dans les anneaux aux côtés de l'autel les barres qui servaient à le porter. Il le fit creux, avec des planches.
Il fit l'autel des holocaustes de bois d'acacia; sa longueur était de cinq coudées, et sa largeur de cinq coudées; il était carré, et sa hauteur était de trois coudées.
Il fit, aux quatre coins, des cornes qui sortaient de l'autel, et il le couvrit d'airain.
Il fit tous les ustensiles de l'autel, les cendriers, les pelles, les bassins, les fourchettes et les brasiers; il fit d'airain tous ces ustensiles.
Il fit pour l'autel une grille d'airain, en forme de treillis, qu'il plaça au-dessous du rebord de l'autel, à partir du bas, jusqu'à la moitié de la hauteur de l'autel.
Il fondit quatre anneaux, qu'il mit aux quatre coins de la grille d'airain, pour recevoir les barres.
Il fit les barres de bois d'acacia, et les couvrit d'airain.
Il passa dans les anneaux aux côtés de l'autel les barres qui servaient à le porter. Il le fit creux, avec des planches.
Car voici, je donnerai mes ordres, Et je secouerai la maison d'Israël parmi toutes les nations, Comme on secoue avec le crible, Sans qu'il tombe à terre un seul grain.
Aveugles! lequel est le plus grand, l'offrande, ou l'autel qui sanctifie l'offrande?
Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.
Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon.
prédestiné avant la fondation du monde, et manifesté à la fin des temps, à cause de vous,
Parlez à toute l'assemblée d'Israël, et dites: Le dixième jour de ce mois, on prendra un agneau pour chaque famille, un agneau pour chaque maison.
Vous le garderez jusqu'au quatorzième jour de ce mois; et toute l'assemblée d'Israël l'immolera entre les deux soirs.
Hymne de David. Garde-moi, ô Dieu! car je cherche en toi mon refuge.
Je dis à l'Eternel: Tu es mon Seigneur, Tu es mon souverain bien!
Les saints qui sont dans le pays, Les hommes pieux sont l'objet de toute mon affection.
On multiplie les idoles, on court après les dieux étrangers: Je ne répands pas leurs libations de sang, Je ne mets pas leurs noms sur mes lèvres.
L'Eternel est mon partage et mon calice; C'est toi qui m'assures mon lot;
Un héritage délicieux m'est échu, Une belle possession m'est accordée.
Je bénis l'Eternel, mon conseiller; La nuit même mon coeur m'exhorte.
J'ai constamment l'Eternel sous mes yeux; Quand il est à ma droite, je ne chancelle pas.
Aussi mon coeur est dans la joie, mon esprit dans l'allégresse, Et mon corps repose en sécurité.
Car tu ne livreras pas mon âme au séjour des morts, Tu ne permettras pas que ton bien-aimé voie la corruption.
Tu me feras connaître le sentier de la vie; Il y a d'abondantes joies devant ta face, Des délices éternelles à ta droite.
Au chef des chantres. De David. Psaume. J'avais mis en l'Eternel mon espérance; Et il s'est incliné vers moi, il a écouté mes cris.
Il m'a retiré de la fosse de destruction, Du fond de la boue; Et il a dressé mes pieds sur le roc, Il a affermi mes pas.
Il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, Une louange à notre Dieu; Beaucoup l'ont vu, et ont eu de la crainte, Et ils se sont confiés en l'Eternel.
Heureux l'homme qui place en l'Eternel sa confiance, Et qui ne se tourne pas vers les hautains et les menteurs!
Tu as multiplié, Eternel, mon Dieu! Tes merveilles et tes desseins en notre faveur; Nul n'est comparable à toi; Je voudrais les publier et les proclamer, Mais leur nombre est trop grand pour que je les raconte.
Tu ne désires ni sacrifice ni offrande, Tu m'as ouvert les oreilles; Tu ne demandes ni holocauste ni victime expiatoire.
Alors je dis: Voici, je viens Avec le rouleau du livre écrit pour moi.
Je veux faire ta volonté, mon Dieu! Et ta loi est au fond de mon coeur.
J'annonce la justice dans la grande assemblée; Voici, je ne ferme pas mes lèvres, Eternel, tu le sais!
Je ne retiens pas dans mon coeur ta justice, Je publie ta vérité et ton salut; Je ne cache pas ta bonté et ta fidélité Dans la grande assemblée.
Toi, Eternel! tu ne me refuseras pas tes compassions; Ta bonté et ta fidélité me garderont toujours.
Car des maux sans nombre m'environnent; Les châtiments de mes iniquités m'atteignent, Et je ne puis en supporter la vue; Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tête, Et mon courage m'abandonne.
Veuille me délivrer, ô Eternel! Eternel, viens en hâte à mon secours!
Que tous ensemble ils soient honteux et confus, Ceux qui en veulent à ma vie pour l'enlever! Qu'ils reculent et rougissent, Ceux qui désirent ma perte!
Qu'ils soient dans la stupeur par l'effet de leur honte, Ceux qui me disent: Ah! ah!
Que tous ceux qui te cherchent Soient dans l'allégresse et se réjouissent en toi! Que ceux qui aiment ton salut Disent sans cesse: Exalté soit l'Eternel!
Moi, je suis pauvre et indigent; Mais le Seigneur pense à moi. Tu es mon aide et mon libérateur: Mon Dieu, ne tarde pas!
C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, Et elle lui donnera le nom d'Emmanuel.
Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J'ai mis mon esprit sur lui; Il annoncera la justice aux nations.
Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l'Eternel?
Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire.
Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.
Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.
Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.
Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie; Et l'Eternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous.
Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n'a point ouvert la bouche.
Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple?
On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'eût point commis de violence Et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche.
Il a plu à l'Eternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours; Et l'oeuvre de l'Eternel prospérera entre ses mains.
A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.
C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les coupables.
Voici, les jours viennent, dit l'Eternel, Où je susciterai à David un germe juste; Il régnera en roi et prospérera, Il pratiquera la justice et l'équité dans le pays.
En son temps, Juda sera sauvé, Israël aura la sécurité dans sa demeure; Et voici le nom dont on l'appellera: L'Eternel notre justice.
Epée, lève-toi sur mon pasteur Et sur l'homme qui est mon compagnon! Dit l'Eternel des armées. Frappe le pasteur, et que les brebis se dispersent! Et je tournerai ma main vers les faibles.
L'Eternel parla à Moïse, et dit:
Lorsque tu compteras les enfants d'Israël pour en faire le dénombrement, chacun d'eux paiera à l'Eternel le rachat de sa personne, afin qu'ils ne soient frappés d'aucune plaie lors de ce dénombrement.
Voici ce que donneront tous ceux qui seront compris dans le dénombrement: un demi-sicle, selon le sicle du sanctuaire, qui est de vingt guéras; un demi-sicle sera le don prélevé pour l'Eternel.
Tout homme compris dans le dénombrement, depuis l'âge de vingt ans et au-dessus, paiera le don prélevé pour l'Eternel.
Le riche ne paiera pas plus, et le pauvre ne paiera pas moins d'un demi-sicle, comme don prélevé pour l'Eternel, afin de racheter leurs personnes.
Tu recevras des enfants d'Israël l'argent du rachat, et tu l'appliqueras au travail de la tente d'assignation; ce sera pour les enfants d'Israël un souvenir devant l'Eternel pour le rachat de leurs personnes.
Tsilla, de son côté, enfanta Tubal-Caïn, qui forgeait tous les instruments d'airain et de fer. La soeur de Tubal-Caïn était Naama.
Le nom du premier est Pischon; c'est celui qui entoure tout le pays de Havila, où se trouve l'or.
Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d'airain, conservait la vie.
pays où tu mangeras du pain avec abondance, où tu ne manqueras de rien; pays dont les pierres sont du fer, et des montagnes duquel tu tailleras l'airain.
Dieu dit: N'approche pas d'ici, ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte.
Fille de Sion, lève-toi et foule! Je te ferai une corne de fer et des ongles d'airain, Et tu broieras des peuples nombreux; Tu consacreras leurs biens à l'Eternel, Leurs richesses au Seigneur de toute la terre.
Les Philistins le saisirent, et lui crevèrent les yeux; ils le firent descendre à Gaza, et le lièrent avec des chaînes d'airain. Il tournait la meule dans la prison.
Les fils de Sédécias furent égorgés en sa présence; puis on creva les yeux à Sédécias, on le lia avec des chaînes d'airain, et on le mena à Babylone.
Tu n'avais ni les mains liées, ni les pieds dans les chaînes! Tu es tombé comme on tombe devant des méchants. Et tout le peuple pleura de nouveau sur Abner.
Il m'a entouré d'un mur, pour que je ne sorte pas; Il m'a donné de pesantes chaînes.
Le fils de Guéber, à Ramoth en Galaad; il avait les bourgs de Jaïr, fils de Manassé, en Galaad; il avait encore la contrée d'Argob en Basan, soixante grandes villes à murailles et à barres d'airain.
Car il a brisé les portes d'airain, Il a rompu les verrous de fer.
Je marcherai devant toi, J'aplanirai les chemins montueux, Je romprai les portes d'airain, Et je briserai les verrous de fer.
Cache-les tous ensemble dans la poussière, Enferme leur front dans les ténèbres!
Il exerce mes mains au combat, Et mes bras tendent l'arc d'airain.
Sur sa tête était un casque d'airain, et il portait une cuirasse à écailles du poids de cinq mille sicles d'airain.
Il avait aux jambes une armure d'airain, et un javelot d'airain entre les épaules.
Saül fit mettre ses vêtements à David, il plaça sur sa tête un casque d'airain, et le revêtit d'une cuirasse.
David ceignit l'épée de Saül par-dessus ses habits, et voulut marcher, car il n'avait pas encore essayé. Mais il dit à Saül: Je ne puis pas marcher avec cette armure, je n'y suis pas accoutumé. Et il s'en débarrassa.
Voici, je t'établis en ce jour sur tout le pays comme une ville forte, une colonne de fer et un mur d'airain, contre les rois de Juda, contre ses chefs, contre ses sacrificateurs, et contre le peuple du pays.
Je te rendrai pour ce peuple comme une forte muraille d'airain; Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas; Car je serai avec toi pour te sauver et te délivrer, Dit l'Eternel.
Je briserai l'orgueil de votre force, je rendrai votre ciel comme du fer, et votre terre comme de l'airain.
Le ciel sur ta tête sera d'airain, et la terre sous toi sera de fer.
Sachant que tu es endurci, Que ton cou est une barre de fer, Et que tu as un front d'airain,
Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé,
Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu.
Heureux le peuple qui connaît le son de la trompette; Il marche à la clarté de ta face, ô Eternel!
Pourtant tu es le Saint, Tu sièges au milieu des louanges d'Israël.
Car devant Dieu il n'y a point d'acception de personnes.
Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu.
Mon oeil se plaît à contempler mes ennemis, Et mon oreille à entendre mes méchants adversaires.
Anne pria, et dit: Mon coeur se réjouit en l'Eternel, Ma force a été relevée par l'Eternel; Ma bouche s'est ouverte contre mes ennemis, Car je me réjouis de ton secours.
Là j'élèverai la puissance de David, Je préparerai une lampe à mon oint,
Le sacrificateur prendra avec son doigt du sang de la victime, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes, et il répandra tout le sang au pied de l'autel.
Adonija eut peur de Salomon; il se leva aussi, s'en alla, et saisit les cornes de l'autel.
Le bruit en parvint à Joab, qui avait suivi le parti d'Adonija, quoiqu'il n'eût pas suivi le parti d'Absalom. Et Joab se réfugia vers la tente de l'Eternel, et saisit les cornes de l'autel.
On annonça au roi Salomon que Joab s'était réfugié vers la tente de l'Eternel, et qu'il était auprès de l'autel. Et Salomon envoya Benaja, fils de Jehojada, en lui disant: Va, frappe-le.
Benaja arriva à la tente de l'Eternel, et dit à Joab: Sors! c'est le roi qui l'ordonne. Mais il répondit: Non! je veux mourir ici. Benaja rapporta la chose au roi, en disant: C'est ainsi qu'a parlé Joab, et c'est ainsi qu'il m'a répondu.
Le roi dit à Benaja: Fais comme il a dit, frappe-le, et enterre-le; tu ôteras ainsi de dessus moi et de dessus la maison de mon père le sang que Joab a répandu sans cause.
L'Eternel fera retomber son sang sur sa tête, parce qu'il a frappé deux hommes plus justes et meilleurs que lui et les a tués par l'épée, sans que mon père David le sût: Abner, fils de Ner, chef de l'armée d'Israël, et Amasa, fils de Jéther, chef de l'armée de Juda.
Leur sang retombera sur la tête de Joab et sur la tête de ses descendants à perpétuité; mais il y aura paix à toujours, de par l'Eternel, pour David, pour sa postérité, pour sa maison et pour son trône.
Benaja, fils de Jehojada, monta, frappa Joab, et le fit mourir. Il fut enterré dans sa maison, au désert.
Mais si quelqu'un agit méchamment contre son prochain, en employant la ruse pour le tuer, tu l'arracheras même de mon autel, pour le faire mourir.
A moins qu'on ne me prenne pour refuge, Qu'on ne fasse la paix avec moi, qu'on ne fasse la paix avec moi.
Tu as été un refuge pour le faible, Un refuge pour le malheureux dans la détresse, Un abri contre la tempête, Un ombrage contre la chaleur; Car le souffle des tyrans Est comme l'ouragan qui frappe une muraille.
Le péché de Juda est écrit avec un burin de fer, Avec une pointe de diamant; Il est gravé sur la table de leur coeur, Et sur les cornes de vos autels.
Dès lors Jésus commença à faire connaître à ses disciples qu'il fallait qu'il allât à Jérusalem, qu'il souffrît beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, qu'il fût mis à mort, et qu'il ressuscitât le troisième jour.
car notre Dieu est aussi un feu dévorant.
Alors l'Eternel fit pleuvoir du ciel sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, de par l'Eternel.
Il fait pleuvoir sur les méchants Des charbons, du feu et du soufre; Un vent brûlant, c'est le calice qu'ils ont en partage.
Tu feras disparaître leur postérité de la terre, Et leur race du milieu des fils de l'homme.
Depuis longtemps un bûcher est préparé, Il est préparé pour le roi, Il est profond, il est vaste; Son bûcher, c'est du feu et du bois en abondance; Le souffle de l'Eternel l'enflamme, comme un torrent de soufre.
Car voici, l'Eternel arrive dans un feu, Et ses chars sont comme un tourbillon; Il convertit sa colère en un brasier, Et ses menaces en flammes de feu.
C'est par le feu que l'Eternel exerce ses jugements, C'est par son glaive qu'il châtie toute chair; Et ceux que tuera l'Eternel seront en grand nombre.
où leur ver ne meurt point, et où le feu ne s'éteint point.
Dans le séjour des morts, il leva les yeux; et, tandis qu'il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein.
Il s'écria: Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu'il trempe le bout de son doigt dans l'eau et me rafraîchisse la langue; car je souffre cruellement dans cette flamme.
L'ange de l'Eternel lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Moïse regarda; et voici, le buisson était tout en feu, et le buisson ne se consumait point.
Moïse étendit sa verge vers le ciel; et l'Eternel envoya des tonnerres et de la grêle, et le feu se promenait sur la terre. L'Eternel fit pleuvoir de la grêle sur le pays d'Egypte.
Cette même nuit, on en mangera la chair, rôtie au feu; on la mangera avec des pains sans levain et des herbes amères.
L'Eternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu'ils marchassent jour et nuit.
La montagne de Sinaï était toute en fumée, parce que l'Eternel y était descendu au milieu du feu; cette fumée s'élevait comme la fumée d'une fournaise, et toute la montagne tremblait avec violence.
Alors le feu sortit de devant l'Eternel, et les consuma: ils moururent devant l'Eternel.
Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l'airain poli, sortant du milieu du feu.
Je vis encore comme de l'airain poli, comme du feu, au dedans duquel était cet homme, et qui rayonnait tout autour; depuis la forme de ses reins jusqu'en haut, et depuis la forme de ses reins jusqu'en bas, je vis comme du feu, et comme une lumière éclatante, dont il était environné.
Car l'Eternel, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux.
car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.
Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous,
Les montagnes se fondent comme la cire devant l'Eternel, Devant le Seigneur de toute la terre.
Le jour du Seigneur viendra comme un voleur; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les oeuvres qu'elle renferme sera consumée.
Après que le Seigneur aura lavé les ordures des filles de Sion, Et purifié Jérusalem du sang qui est au milieu d'elle, Par le souffle de la justice et par le souffle de la destruction.
D'ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d'ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.
Et nous avons entendu cette voix venant du ciel, lorsque nous étions avec lui sur la sainte montagne.
Dieu l'a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il fût retenu par elle.
On emportera hors du camp le taureau expiatoire et le bouc expiatoire dont on a porté le sang dans le sanctuaire pour faire l'expiation, et l'on brûlera au feu leurs peaux, leur chair et leurs excréments.
Les corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur pour le péché, sont brûlés hors du camp.
C'est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.
Des séraphins se tenaient au-dessus de lui; ils avaient chacun six ailes; deux dont ils se couvraient la face, deux dont ils se couvraient les pieds, et deux dont ils se servaient pour voler.
Mais l'un des séraphins vola vers moi, tenant à la main une pierre ardente, qu'il avait prise sur l'autel avec des pincettes.
Il brûlera sur l'autel la graisse de la victime expiatoire.
On emportera hors du camp le taureau expiatoire et le bouc expiatoire dont on a porté le sang dans le sanctuaire pour faire l'expiation, et l'on brûlera au feu leurs peaux, leur chair et leurs excréments.
Je suis comme de l'eau qui s'écoule, Et tous mes os se séparent; Mon coeur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles.
Veuille me délivrer, ô Eternel! Eternel, viens en hâte à mon secours!
Ils mettent du fiel dans ma nourriture, Et, pour apaiser ma soif, ils m'abreuvent de vinaigre.
Ajoute des iniquités à leurs iniquités, Et qu'ils n'aient point part à ta miséricorde!
Mon coeur est frappé et se dessèche comme l'herbe; J'oublie même de manger mon pain.
Mes gémissements sont tels Que mes os s'attachent à ma chair.
A cause de ta colère et de ta fureur; Car tu m'as soulevé et jeté au loin.
Mes jours sont comme l'ombre à son déclin, Et je me dessèche comme l'herbe.
Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui?
Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu,
Que le Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d'une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus,
et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle.
Mardochée, ayant appris tout ce qui se passait, déchira ses vêtements, s'enveloppa d'un sac et se couvrit de cendre. Puis il alla au milieu de la ville en poussant avec force des cris amers,
Dans chaque province, partout où arrivaient l'ordre du roi et son édit, il y eut une grande désolation parmi les Juifs; ils jeûnaient, pleuraient et se lamentaient, et beaucoup se couchaient sur le sac et la cendre.
Et Job prit un tesson pour se gratter et s'assit sur la cendre.
C'est pourquoi je me condamne et je me repens Sur la poussière et sur la cendre.
Pour accorder aux affligés de Sion, Pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, Une huile de joie au lieu du deuil, Un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu, Afin qu'on les appelle des térébinthes de la justice, Une plantation de l'Eternel, pour servir à sa gloire.
Il se repaît de cendres, Son coeur abusé l'égare, Et il ne sauvera point son âme, et ne dira point: N'est-ce pas du mensonge que j'ai dans ma main?
Qu'il se souvienne de toutes tes offrandes, Et qu'il agrée tes holocaustes! -Pause.
le taureau entier, il l'emportera hors du camp, dans un lieu pur, où l'on jette les cendres, et il le brûlera au feu sur du bois: c'est sur le tas de cendres qu'il sera brûlé.
en niant d'avoir trouvé une chose perdue, ou en faisant un faux serment sur une chose quelconque de nature à constituer un péché;
lorsqu'il péchera ainsi et se rendra coupable, il restituera la chose qu'il a volée ou soustraite par fraude, la chose qui lui avait été confiée en dépôt, la chose perdue qu'il a trouvée,
S'étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes;
mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau.
Celui qui l'a vu en a rendu témoignage, et son témoignage est vrai; et il sait qu'il dit vrai, afin que vous croyiez aussi.
Ces choses sont arrivées, afin que l'Ecriture fût accomplie: Aucun de ses os ne sera brisé.
Et ailleurs l'Ecriture dit encore: Ils verront celui qu'ils ont percé.
C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m'as formé un corps;
Après cela, Joseph d'Arimathée, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate la permission de prendre le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Il vint donc, et prit le corps de Jésus.
Nicodème, qui auparavant était allé de nuit vers Jésus, vint aussi, apportant un mélange d'environ cent livres de myrrhe et d'aloès.
Ils prirent donc le corps de Jésus, et l'enveloppèrent de bandes, avec les aromates, comme c'est la coutume d'ensevelir chez les Juifs.
Or, il y avait un jardin dans le lieu où Jésus avait été crucifié, et dans le jardin un sépulcre neuf, où personne encore n'avait été mis.
Ce fut là qu'ils déposèrent Jésus, à cause de la préparation des Juifs, parce que le sépulcre était proche.
Cet homme se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus.
Il le descendit de la croix, l'enveloppa d'un linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n'avait encore été mis.
Dès lors Jésus commença à faire connaître à ses disciples qu'il fallait qu'il allât à Jérusalem, qu'il souffrît beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, qu'il fût mis à mort, et qu'il ressuscitât le troisième jour.
L'Eternel des armées les protégera; Ils dévoreront, ils vaincront les pierres de la fronde; Ils boiront, ils seront bruyants comme pris de vin; Ils seront pleins comme une coupe, Comme les coins de l'autel.
Ses mouchettes et ses vases à cendre seront d'or pur.
Koré, fils de Jitsehar, fils de Kehath, fils de Lévi, se révolta avec Dathan et Abiram, fils d'Eliab, et On, fils de Péleth, tous trois fils de Ruben.
Ils se soulevèrent contre Moïse, avec deux cent cinquante hommes des enfants d'Israël, des principaux de l'assemblée, de ceux que l'on convoquait à l'assemblée, et qui étaient des gens de renom.
Ils s'assemblèrent contre Moïse et Aaron, et leur dirent: C'en est assez! car toute l'assemblée, tous sont saints, et l'Eternel est au milieu d'eux. Pourquoi vous élevez-vous au-dessus de l'assemblée de l'Eternel?
Quand Moïse eut entendu cela, il tomba sur son visage.
Il parla à Koré et à toute sa troupe, en disant: Demain, l'Eternel fera connaître qui est à lui et qui est saint, et il le fera approcher de lui; il fera approcher de lui celui qu'il choisira.
Faites ceci. Prenez des brasiers, Koré et toute sa troupe.
Demain, mettez-y du feu, et posez-y du parfum devant l'Eternel; celui que l'Eternel choisira, c'est celui-là qui sera saint. C'en est assez, enfants de Lévi!
Moïse dit à Koré: Ecoutez donc, enfants de Lévi:
Est-ce trop peu pour vous que le Dieu d'Israël vous ait choisis dans l'assemblée d'Israël, en vous faisant approcher de lui, afin que vous soyez employés au service du tabernacle de l'Eternel, et que vous vous présentiez devant l'assemblée pour la servir?
Il vous a fait approcher de lui, toi, et tous tes frères, les enfants de Lévi, et vous voulez encore le sacerdoce!
C'est à cause de cela que toi et toute ta troupe, vous vous assemblez contre l'Eternel! car qui est Aaron, pour que vous murmuriez contre lui?
Moïse envoya appeler Dathan et Abiram, fils d'Eliab. Mais ils dirent: Nous ne monterons pas.
N'est-ce pas assez que tu nous aies fait sortir d'un pays où coulent le lait et le miel pour nous faire mourir au désert, sans que tu continues à dominer sur nous?
Et ce n'est pas dans un pays où coulent le lait et le miel que tu nous as menés, ce ne sont pas des champs et des vignes que tu nous as donnés en possession. Penses-tu crever les yeux de ces gens? Nous ne monterons pas.
Moïse fut très irrité, et il dit à l'Eternel: N'aie point égard à leur offrande. Je ne leur ai pas même pris un âne, et je n'ai fait de mal à aucun d'eux.
Moïse dit à Koré: Toi et toute ta troupe, trouvez-vous demain devant l'Eternel, toi et eux, avec Aaron.
Prenez chacun votre brasier, mettez-y du parfum, et présentez devant l'Eternel chacun votre brasier: il y aura deux cent cinquante brasiers; toi et Aaron, vous prendrez aussi chacun votre brasier.
Ils prirent chacun leur brasier, y mirent du feu et y posèrent du parfum, et ils se tinrent à l'entrée de la tente d'assignation, avec Moïse et Aaron.
Et Koré convoqua toute l'assemblée contre Moïse et Aaron, à l'entrée de la tente d'assignation. Alors la gloire de l'Eternel apparut à toute l'assemblée.
Et l'Eternel parla à Moïse et à Aaron, et dit:
Séparez-vous du milieu de cette assemblée, et je les consumerai en un seul instant.
Ils tombèrent sur leur visage, et dirent: O Dieu, Dieu des esprits de toute chair! un seul homme a péché, et tu t'irriterais contre toute l'assemblée?
L'Eternel parla à Moïse, et dit:
Parle à l'assemblée, et dis: Retirez-vous de toutes parts loin de la demeure de Koré, de Dathan et d'Abiram.
Moïse se leva, et alla vers Dathan et Abiram; et les anciens d'Israël le suivirent.
Il parla à l'assemblée, et dit: Eloignez-vous des tentes de ces méchants hommes, et ne touchez à rien de ce qui leur appartient, de peur que vous ne périssiez en même temps qu'ils seront punis pour tous leurs péchés.
Ils se retirèrent de toutes parts loin de la demeure de Koré, de Dathan et d'Abiram. Dathan et Abiram sortirent, et se tinrent à l'entrée de leurs tentes, avec leurs femmes, leurs fils et leurs petits-enfants.
Moïse dit: A ceci vous connaîtrez que l'Eternel m'a envoyé pour faire toutes ces choses, et que je n'agis pas de moi-même.
Si ces gens meurent comme tous les hommes meurent, s'ils subissent le sort commun à tous les hommes, ce n'est pas l'Eternel qui m'a envoyé;
mais si l'Eternel fait une chose inouïe, si la terre ouvre sa bouche pour les engloutir avec tout ce qui leur appartient, et qu'ils descendent vivants dans le séjour des morts, vous saurez alors que ces gens ont méprisé l'Eternel.
Comme il achevait de prononcer toutes ces paroles, la terre qui était sous eux se fendit.
La terre ouvrit sa bouche, et les engloutit, eux et leurs maisons, avec tous les gens de Koré et tous leurs biens.
Ils descendirent vivants dans le séjour des morts, eux et tout ce qui leur appartenait; la terre les recouvrit, et ils disparurent au milieu de l'assemblée.
Tout Israël, qui était autour d'eux, s'enfuit à leur cri; car ils disaient: Fuyons, de peur que la terre ne nous engloutisse!
Un feu sortit d'auprès de l'Eternel, et consuma les deux cent cinquante hommes qui offraient le parfum.
L'Eternel parla à Moïse, et dit:
Dis à Eléazar, fils du sacrificateur Aaron, de retirer de l'incendie les brasiers et d'en répandre au loin le feu, car ils sont sanctifiés.
Avec les brasiers de ces gens qui ont péché au péril de leur vie, que l'on fasse des lames étendues dont on couvrira l'autel. Puisqu'ils ont été présentés devant l'Eternel et qu'ils sont sanctifiés, ils serviront de souvenir aux enfants d'Israël.
Le sacrificateur Eléazar prit les brasiers d'airain qu'avaient présentés les victimes de l'incendie, et il en fit des lames pour couvrir l'autel.
C'est un souvenir pour les enfants d'Israël, afin qu'aucun étranger à la race d'Aaron ne s'approche pour offrir du parfum devant l'Eternel et ne soit comme Koré et comme sa troupe, selon ce que l'Eternel avait déclaré par Moïse.
Dès le lendemain, toute l'assemblée des enfants d'Israël murmura contre Moïse et Aaron, en disant: Vous avez fait mourir le peuple de l'Eternel.
Comme l'assemblée se formait contre Moïse et Aaron, et comme ils tournaient les regards vers la tente d'assignation, voici, la nuée la couvrit, et la gloire de l'Eternel apparut.
Moïse et Aaron arrivèrent devant la tente d'assignation.
Et l'Eternel parla à Moïse, et dit:
Retirez-vous du milieu de cette assemblée, et je les consumerai en un instant. Ils tombèrent sur leur visage;
et Moïse dit à Aaron: Prends le brasier, mets-y du feu de dessus l'autel, poses-y du parfum, va promptement vers l'assemblée, et fais pour eux l'expiation; car la colère de l'Eternel a éclaté, la plaie a commencé.
Aaron prit le brasier, comme Moïse avait dit, et courut au milieu de l'assemblée; et voici, la plaie avait commencé parmi le peuple. Il offrit le parfum, et il fit l'expiation pour le peuple.
Il se plaça entre les morts et les vivants, et la plaie fut arrêtée.
Il y eut quatorze mille sept cents personnes qui moururent de cette plaie, outre ceux qui étaient morts à cause de Koré.
Aaron retourna auprès de Moïse, à l'entrée de la tente d'assignation. La plaie était arrêtée.
Moïse fit ainsi; il se conforma à l'ordre que l'Eternel lui avait donné.
Les enfants d'Israël dirent à Moïse: Voici, nous expirons, nous périssons, nous périssons tous!
Quiconque s'approche du tabernacle de l'Eternel, meurt. Nous faudra-t-il tous expirer?
Dieu dit: Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai.
Jacob demeura dans le pays de Canaan, où avait séjourné son père.
Voici la postérité de Jacob. Joseph, âgé de dix-sept ans, faisait paître le troupeau avec ses frères; cet enfant était auprès des fils de Bilha et des fils de Zilpa, femmes de son père. Et Joseph rapportait à leur père leurs mauvais propos.
Israël aimait Joseph plus que tous ses autres fils, parce qu'il l'avait eu dans sa vieillesse; et il lui fit une tunique de plusieurs couleurs.
Ses frères virent que leur père l'aimait plus qu'eux tous, et ils le prirent en haine. Ils ne pouvaient lui parler avec amitié.
Joseph eut un songe, et il le raconta à ses frères, qui le haïrent encore davantage.
Il leur dit: Ecoutez donc ce songe que j'ai eu!
Nous étions à lier des gerbes au milieu des champs; et voici, ma gerbe se leva et se tint debout, et vos gerbes l'entourèrent et se prosternèrent devant elle.
Ses frères lui dirent: Est-ce que tu règneras sur nous? est-ce que tu nous gouverneras? Et ils le haïrent encore davantage, à cause de ses songes et à cause de ses paroles.
Il eut encore un autre songe, et il le raconta à ses frères. Il dit: J'ai eu encore un songe! Et voici, le soleil, la lune et onze étoiles se prosternaient devant moi.
Il le raconta à son père et à ses frères. Son père le réprimanda, et lui dit: Que signifie ce songe que tu as eu? Faut-il que nous venions, moi, ta mère et tes frères, nous prosterner en terre devant toi?
Ses frères eurent de l'envie contre lui, mais son père garda le souvenir de ces choses.
Les frères de Joseph étant allés à Sichem, pour faire paître le troupeau de leur père,
Israël dit à Joseph: Tes frères ne font-ils pas paître le troupeau à Sichem? Viens, je veux t'envoyer vers eux. Et il répondit: Me voici!
Israël lui dit: Va, je te prie, et vois si tes frères sont en bonne santé et si le troupeau est en bon état; et tu m'en rapporteras des nouvelles. Il l'envoya ainsi de la vallée d'Hébron; et Joseph alla à Sichem.
Un homme le rencontra, comme il errait dans les champs. Il le questionna, en disant: Que cherches-tu?
Joseph répondit: Je cherche mes frères; dis-moi, je te prie, où ils font paître leur troupeau.
Et l'homme dit: Ils sont partis d'ici; car je les ai entendus dire: Allons à Dothan. Joseph alla après ses frères, et il les trouva à Dothan.
Ils le virent de loin; et, avant qu'il fût près d'eux, ils complotèrent de le faire mourir.
Ils se dirent l'un à l'autre: Voici le faiseur de songes qui arrive.
Venez maintenant, tuons-le, et jetons-le dans une des citernes; nous dirons qu'une bête féroce l'a dévoré, et nous verrons ce que deviendront ses songes.
Ruben entendit cela, et il le délivra de leurs mains. Il dit: Ne lui ôtons pas la vie.
Ruben leur dit: Ne répandez point de sang; jetez-le dans cette citerne qui est au désert, et ne mettez pas la main sur lui. Il avait dessein de le délivrer de leurs mains pour le faire retourner vers son père.
Lorsque Joseph fut arrivé auprès de ses frères, ils le dépouillèrent de sa tunique, de la tunique de plusieurs couleurs, qu'il avait sur lui.
Ils le prirent, et le jetèrent dans la citerne. Cette citerne était vide; il n'y avait point d'eau.
Ils s'assirent ensuite pour manger. Ayant levé les yeux, ils virent une caravane d'Ismaélites venant de Galaad; leurs chameaux étaient chargés d'aromates, de baume et de myrrhe, qu'ils transportaient en Egypte.
Alors Juda dit à ses frères: Que gagnerons-nous à tuer notre frère et à cacher son sang?
Venez, vendons-le aux Ismaélites, et ne mettons pas la main sur lui, car il est notre frère, notre chair. Et ses frères l'écoutèrent.
Au passage des marchands madianites, ils tirèrent et firent remonter Joseph hors de la citerne; et ils le vendirent pour vingt sicles d'argent aux Ismaélites, qui l'emmenèrent en Egypte.
Ruben revint à la citerne; et voici, Joseph n'était plus dans la citerne. Il déchira ses vêtements,
retourna vers ses frères, et dit: L'enfant n'y est plus! Et moi, où irai-je?
Ils prirent alors la tunique de Joseph; et, ayant tué un bouc, ils plongèrent la tunique dans le sang.
Ils envoyèrent à leur père la tunique de plusieurs couleurs, en lui faisant dire: Voici ce que nous avons trouvé! reconnais si c'est la tunique de ton fils, ou non.
Jacob la reconnut, et dit: C'est la tunique de mon fils! une bête féroce l'a dévoré! Joseph a été mis en pièces!
Et il déchira ses vêtements, il mit un sac sur ses reins, et il porta longtemps le deuil de son fils.
Tous ses fils et toutes ses filles vinrent pour le consoler; mais il ne voulut recevoir aucune consolation. Il disait: C'est en pleurant que je descendrai vers mon fils au séjour des morts! Et il pleurait son fils.
Les Madianites le vendirent en Egypte à Potiphar, officier de Pharaon, chef des gardes.
L'Eternel appela Moïse; de la tente d'assignation, il lui parla et dit:
Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur: Lorsque quelqu'un d'entre vous fera une offrande à l'Eternel, il offrira du bétail, du gros ou du menu bétail.
Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut; il l'offrira à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Eternel, pour obtenir sa faveur.
Il posera sa main sur la tête de l'holocauste, qui sera agréé de l'Eternel, pour lui servir d'expiation.
Il égorgera le veau devant l'Eternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, offriront le sang, et le répandront tout autour sur l'autel qui est à l'entrée de la tente d'assignation.
Il dépouillera l'holocauste, et le coupera par morceaux.
Les fils du sacrificateur Aaron mettront du feu sur l'autel, et arrangeront du bois sur le feu.
Les sacrificateurs, fils d'Aaron, poseront les morceaux, la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur brûlera le tout sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Eternel.
Si son offrande est un holocauste de menu bétail, d'agneaux ou de chèvres, il offrira un mâle sans défaut.
Il l'égorgera au côté septentrional de l'autel, devant l'Eternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, en répandront le sang sur l'autel tout autour.
Il le coupera par morceaux; et le sacrificateur les posera, avec la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur sacrifiera le tout, et le brûlera sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Eternel.
Si son offrande à l'Eternel est un holocauste d'oiseaux, il offrira des tourterelles ou de jeunes pigeons.
Le sacrificateur sacrifiera l'oiseau sur l'autel; il lui ouvrira la tête avec l'ongle, et la brûlera sur l'autel, et il exprimera le sang contre un côté de l'autel.
Il ôtera le jabot avec ses plumes, et le jettera près de l'autel, vers l'orient, dans le lieu où l'on met les cendres.
Il déchirera les ailes, sans les détacher; et le sacrificateur brûlera l'oiseau sur l'autel, sur le bois mis au feu. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Eternel.
Le sacrificateur ordonnera qu'on égorge l'un des oiseaux sur un vase de terre, sur de l'eau vive.
Il prendra l'oiseau vivant, le bois de cèdre, le cramoisi et l'hysope; et il les trempera, avec l'oiseau vivant, dans le sang de l'oiseau égorgé sur l'eau vive.
Prière d'un malheureux, lorsqu'il est abattu et qu'il répand sa plainte devant l'Eternel. Eternel, écoute ma prière, Et que mon cri parvienne jusqu'à toi!
Ne me cache pas ta face au jour de ma détresse! Incline vers moi ton oreille quand je crie! Hâte-toi de m'exaucer!
Car mes jours s'évanouissent en fumée, Et mes os sont enflammés comme un tison.
Mon coeur est frappé et se dessèche comme l'herbe; J'oublie même de manger mon pain.
Mes gémissements sont tels Que mes os s'attachent à ma chair.
Je ressemble au pélican du désert, Je suis comme le chat-huant des ruines;
Je n'ai plus de sommeil, et je suis Comme l'oiseau solitaire sur un toit.
Chaque jour mes ennemis m'outragent, Et c'est par moi que jurent mes adversaires en fureur.
Je mange la poussière au lieu de pain, Et je mêle des larmes à ma boisson,
A cause de ta colère et de ta fureur; Car tu m'as soulevé et jeté au loin.
Mes jours sont comme l'ombre à son déclin, Et je me dessèche comme l'herbe.
Mais toi, Eternel! tu règnes à perpétuité, Et ta mémoire dure de génération en génération.
Tu te lèveras, tu auras pitié de Sion; Car le temps d'avoir pitié d'elle, Le temps fixé est à son terme;
Car tes serviteurs en aiment les pierres, Ils en chérissent la poussière.
Alors les nations craindront le nom de l'Eternel, Et tous les rois de la terre ta gloire.
Oui, l'Eternel rebâtira Sion, Il se montrera dans sa gloire.
Il est attentif à la prière du misérable, Il ne dédaigne pas sa prière.
Que cela soit écrit pour la génération future, Et que le peuple qui sera créé célèbre l'Eternel!
Car il regarde du lieu élevé de sa sainteté; Du haut des cieux l'Eternel regarde sur la terre,
Pour écouter les gémissements des captifs, Pour délivrer ceux qui vont périr,
Afin qu'ils publient dans Sion le nom de l'Eternel, Et ses louanges dans Jérusalem,
Quand tous les peuples s'assembleront, Et tous les royaumes, pour servir l'Eternel.
Il a brisé ma force dans la route, Il a abrégé mes jours.
Je dis: Mon Dieu, ne m'enlève pas au milieu de mes jours, Toi, dont les années durent éternellement!
Tu as anciennement fondé la terre, Et les cieux sont l'ouvrage de tes mains.
Ils périront, mais tu subsisteras; Ils s'useront tous comme un vêtement; Tu les changeras comme un habit, et ils seront changés.
Mais toi, tu restes le même, Et tes années ne finiront point.
Les fils de tes serviteurs habiteront leur pays, Et leur postérité s'affermira devant toi.
Tu as anciennement fondé la terre, Et les cieux sont l'ouvrage de tes mains.
Ils périront, mais tu subsisteras; Ils s'useront tous comme un vêtement; Tu les changeras comme un habit, et ils seront changés.
Mais toi, tu restes le même, Et tes années ne finiront point.
Je revêts les cieux d'obscurité, Et je fais d'un sac leur couverture.
J'ai livré mon dos à ceux qui me frappaient, Et mes joues à ceux qui m'arrachaient la barbe; Je n'ai pas dérobé mon visage Aux ignominies et aux crachats.
Epée, lève-toi sur mon pasteur Et sur l'homme qui est mon compagnon! Dit l'Eternel des armées. Frappe le pasteur, et que les brebis se dispersent! Et je tournerai ma main vers les faibles.
Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre.
Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre: tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père.
et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts,
Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.
Voici, toutes les âmes sont à moi; l'âme du fils comme l'âme du père, l'une et l'autre sont à moi; l'âme qui pèche, c'est celle qui mourra.
mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.
Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement,
C'est comme l'éclat de la lumière; Des rayons partent de sa main; Là réside sa force.
Moïse descendit de la montagne de Sinaï, ayant les deux tables du témoignage dans sa main, en descendant de la montagne; et il ne savait pas que la peau de son visage rayonnait, parce qu'il avait parlé avec l'Eternel.
L'Eternel appela Moïse; de la tente d'assignation, il lui parla et dit:
Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur: Lorsque quelqu'un d'entre vous fera une offrande à l'Eternel, il offrira du bétail, du gros ou du menu bétail.
Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut; il l'offrira à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Eternel, pour obtenir sa faveur.
Il posera sa main sur la tête de l'holocauste, qui sera agréé de l'Eternel, pour lui servir d'expiation.
Il égorgera le veau devant l'Eternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, offriront le sang, et le répandront tout autour sur l'autel qui est à l'entrée de la tente d'assignation.
Il dépouillera l'holocauste, et le coupera par morceaux.
Les fils du sacrificateur Aaron mettront du feu sur l'autel, et arrangeront du bois sur le feu.
Les sacrificateurs, fils d'Aaron, poseront les morceaux, la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur brûlera le tout sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Eternel.
Si son offrande est un holocauste de menu bétail, d'agneaux ou de chèvres, il offrira un mâle sans défaut.
Il l'égorgera au côté septentrional de l'autel, devant l'Eternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, en répandront le sang sur l'autel tout autour.
Il le coupera par morceaux; et le sacrificateur les posera, avec la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur sacrifiera le tout, et le brûlera sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Eternel.
Si son offrande à l'Eternel est un holocauste d'oiseaux, il offrira des tourterelles ou de jeunes pigeons.
Le sacrificateur sacrifiera l'oiseau sur l'autel; il lui ouvrira la tête avec l'ongle, et la brûlera sur l'autel, et il exprimera le sang contre un côté de l'autel.
Il ôtera le jabot avec ses plumes, et le jettera près de l'autel, vers l'orient, dans le lieu où l'on met les cendres.
Il déchirera les ailes, sans les détacher; et le sacrificateur brûlera l'oiseau sur l'autel, sur le bois mis au feu. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Eternel.