Louis Segond 1910
Versliste
Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ,
mais par le sang précieux de Christ, comme d'un agneau sans défaut et sans tache,
Tous les publicains et les gens de mauvaise vie s'approchaient de Jésus pour l'entendre.
Et les pharisiens et les scribes murmuraient, disant: Cet homme accueille des gens de mauvaise vie, et mange avec eux.
Mais il leur dit cette parabole:
Quel homme d'entre vous, s'il a cent brebis, et qu'il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il la retrouve?
Lorsqu'il l'a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules,
et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue.
De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance.
Ou quelle femme, si elle a dix drachmes, et qu'elle en perde une, n'allume une lampe, ne balaie la maison, et ne cherche avec soin, jusqu'à ce qu'elle la retrouve?
Lorsqu'elle l'a retrouvée, elle appelle ses amies et ses voisines, et dit: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé la drachme que j'avais perdue.
De même, je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent.
Il dit encore: Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien.
Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
Lorsqu'il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla se mettre au service d'un des habitants du pays, qui l'envoya dans ses champs garder les pourceaux.
Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait.
Etant rentré en lui-même, il se dit: Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim!
Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi,
je ne suis plus digne d'être appelé ton fils; traite-moi comme l'un de tes mercenaires.
Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa.
Le fils lui dit: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils.
Mais le père dit à ses serviteurs: Apportez vite la plus belle robe, et l'en revêtez; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds.
Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous;
car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.
Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses.
Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était.
Ce serviteur lui dit: Ton frère est de retour, et, parce qu'il l'a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras.
Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d'entrer.
Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis.
Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras!
Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi;
mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé.
Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix? Courez de manière à le remporter.
Paroles de l'Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.
Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.
Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil?
Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.
Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d'où il se lève de nouveau.
Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.
Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.
Toutes choses sont en travail au delà de ce qu'on peut dire; l'oeil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre.
Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil.
S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.
On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem.
J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme.
J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; et voici, tout est vanité et poursuite du vent.
Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté.
J'ai dit en mon coeur: Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup de sagesse et de science.
J'ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j'ai compris que cela aussi c'est la poursuite du vent.
Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.
aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d'avoir pour un temps la jouissance du péché,
regardant l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l'Egypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération.
Un héritage délicieux m'est échu, Une belle possession m'est accordée.
En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce,
Tous les prophètes rendent de lui le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés.
Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu,
Car il est notre paix, lui qui des deux n'en a fait qu'un, et qui a renversé le mur de séparation,
Une seule chose est nécessaire. Marie a choisi la bonne part, qui ne lui sera point ôtée.
Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d'être glorifiés avec lui.
Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire
Tous les publicains et les gens de mauvaise vie s'approchaient de Jésus pour l'entendre.
Et les pharisiens et les scribes murmuraient, disant: Cet homme accueille des gens de mauvaise vie, et mange avec eux.
Mais il leur dit cette parabole:
Quel homme d'entre vous, s'il a cent brebis, et qu'il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il la retrouve?
Lorsqu'il l'a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules,
et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue.
De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance.
Ou quelle femme, si elle a dix drachmes, et qu'elle en perde une, n'allume une lampe, ne balaie la maison, et ne cherche avec soin, jusqu'à ce qu'elle la retrouve?
Lorsqu'elle l'a retrouvée, elle appelle ses amies et ses voisines, et dit: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé la drachme que j'avais perdue.
De même, je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent.
Il dit encore: Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien.
Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
Lorsqu'il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla se mettre au service d'un des habitants du pays, qui l'envoya dans ses champs garder les pourceaux.
Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait.
Etant rentré en lui-même, il se dit: Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim!
Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi,
je ne suis plus digne d'être appelé ton fils; traite-moi comme l'un de tes mercenaires.
Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa.
Le fils lui dit: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils.
Mais le père dit à ses serviteurs: Apportez vite la plus belle robe, et l'en revêtez; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds.
Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous;
car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.
Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses.
Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était.
Ce serviteur lui dit: Ton frère est de retour, et, parce qu'il l'a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras.
Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d'entrer.
Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis.
Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras!
Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi;
mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé.
Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.
Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu.
Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est.
Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.
que vous étiez en ce temps-là sans Christ, privés du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse, sans espérance et sans Dieu dans le monde.
Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perdait son âme? ou, que donnerait un homme en échange de son âme?
Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ,
Adam connut Eve, sa femme; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit: J'ai formé un homme avec l'aide de l'Eternel.
Jésus, l'ayant regardé, l'aima, et lui dit: Il te manque une chose; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-moi.
Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C'est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle.
Ecris à l'ange de l'Eglise de Philadelphie: Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira:
Or, c'est par lui que vous êtes en Jésus-Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption,
Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour: il l'a vu, et il s'est réjoui.
regardant l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l'Egypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération.
Les prophètes, qui ont prophétisé touchant la grâce qui vous était réservée, ont fait de ce salut l'objet de leurs recherches et de leurs investigations,
voulant sonder l'époque et les circonstances marquées par l'Esprit de Christ qui était en eux, et qui attestait d'avance les souffrances de Christ et la gloire dont elles seraient suivies.
Et, se tournant vers les disciples, il leur dit en particulier: Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez!
Car je vous dis que beaucoup de prophètes et de rois ont désiré voir ce que vous voyez, et ne l'ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l'ont pas entendu.
Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie, Qui marchent selon la loi de l'Eternel!
Heureux ceux qui gardent ses préceptes, Qui le cherchent de tout leur coeur,
Qui ne commettent point d'iniquité, Et qui marchent dans ses voies!
Tu as prescrit tes ordonnances, Pour qu'on les observe avec soin.
Puissent mes actions être bien réglées, Afin que je garde tes statuts!
Alors je ne rougirai point, A la vue de tous tes commandements.
Je te louerai dans la droiture de mon coeur, En apprenant les lois de ta justice.
Je veux garder tes statuts: Ne m'abandonne pas entièrement!
Comment le jeune homme rendra-t-il pur son sentier? En se dirigeant d'après ta parole.
Je te cherche de tout mon coeur: Ne me laisse pas égarer loin de tes commandements!
Je serre ta parole dans mon coeur, Afin de ne pas pécher contre toi.
Béni sois-tu, ô Eternel! Enseigne-moi tes statuts!
De mes lèvres j'énumère Toutes les sentences de ta bouche.
Je me réjouis en suivant tes préceptes, Comme si je possédais tous les trésors.
Je médite tes ordonnances, J'ai tes sentiers sous les yeux.
Je fais mes délices de tes statuts, Je n'oublie point ta parole.
Fais du bien à ton serviteur, pour que je vive Et que j'observe ta parole!
Ouvre mes yeux, pour que je contemple Les merveilles de ta loi!
Je suis un étranger sur la terre: Ne me cache pas tes commandements!
Mon âme est brisée par le désir Qui toujours la porte vers tes lois.
Tu menaces les orgueilleux, ces maudits, Qui s'égarent loin de tes commandements.
Décharge-moi de l'opprobre et du mépris! Car j'observe tes préceptes.
Des princes ont beau s'asseoir et parler contre moi, Ton serviteur médite tes statuts.
Tes préceptes font mes délices, Ce sont mes conseillers.
Mon âme est attachée à la poussière: Rends-moi la vie selon ta parole!
Je raconte mes voies, et tu m'exauces: Enseigne-moi tes statuts!
Fais-moi comprendre la voie de tes ordonnances, Et je méditerai sur tes merveilles!
Mon âme pleure de chagrin: Relève-moi selon ta parole!
Eloigne de moi la voie du mensonge, Et accorde-moi la grâce de suivre ta loi!
Je choisis la voie de la vérité, Je place tes lois sous mes yeux.
Je m'attache à tes préceptes: Eternel, ne me rends point confus!
Je cours dans la voie de tes commandements, Car tu élargis mon coeur.
Enseigne-moi, Eternel, la voie de tes statuts, pour que je la retienne jusqu'à la fin!
Donne-moi l'intelligence, pour que je garde ta loi Et que je l'observe de tout mon coeur!
Conduis-moi dans le sentier de tes commandements! Car je l'aime.
Incline mon coeur vers tes préceptes, Et non vers le gain!
Détourne mes yeux de la vue des choses vaines, Fais-moi vivre dans ta voie!
Accomplis envers ton serviteur ta promesse, Qui est pour ceux qui te craignent!
Eloigne de moi l'opprobre que je redoute! Car tes jugements sont pleins de bonté.
Voici, je désire pratiquer tes ordonnances: Fais-moi vivre dans ta justice!
Eternel, que ta miséricorde vienne sur moi, Ton salut selon ta promesse!
Et je pourrai répondre à celui qui m'outrage, Car je me confie en ta parole.
N'ôte pas entièrement de ma bouche la parole de la vérité! Car j'espère en tes jugements.
Je garderai ta loi constamment, A toujours et à perpétuité.
Je marcherai au large, Car je recherche tes ordonnances.
Je parlerai de tes préceptes devant les rois, Et je ne rougirai point.
Je fais mes délices de tes commandements. Je les aime.
Je lève mes mains vers tes commandements que j'aime, Et je veux méditer tes statuts.
Souviens-toi de ta promesse à ton serviteur, Puisque tu m'as donné l'espérance!
C'est ma consolation dans ma misère, Car ta promesse me rend la vie.
Des orgueilleux me chargent de railleries; Je ne m'écarte point de ta loi.
Je pense à tes jugements d'autrefois, ô Eternel! Et je me console.
Une colère ardente me saisit à la vue des méchants Qui abandonnent ta loi.
Tes statuts sont le sujet de mes cantiques, Dans la maison où je suis étranger.
La nuit je me rappelle ton nom, ô Eternel! Et je garde ta loi.
C'est là ce qui m'est propre, Car j'observe tes ordonnances.
Ma part, ô Eternel! je le dis, C'est de garder tes paroles.
Je t'implore de tout mon coeur: Aie pitié de moi, selon ta promesse!
Je réfléchis à mes voies, Et je dirige mes pieds vers tes préceptes.
Je me hâte, je ne diffère point D'observer tes commandements.
Les pièges des méchants m'environnent; Je n'oublie point ta loi.
Au milieu de la nuit je me lève pour te louer, A cause des jugements de ta justice.
Je suis l'ami de tous ceux qui te craignent, Et de ceux qui gardent tes ordonnances.
La terre, ô Eternel! est pleine de ta bonté; Enseigne-moi tes statuts!
Tu fais du bien à ton serviteur, O Eternel! selon ta promesse.
Enseigne-moi le bon sens et l'intelligence! Car je crois à tes commandements.
Avant d'avoir été humilié, je m'égarais; Maintenant j'observe ta parole.
Tu es bon et bienfaisant; Enseigne-moi tes statuts!
Des orgueilleux imaginent contre moi des faussetés; Moi, je garde de tout mon coeur tes ordonnances.
Leur coeur est insensible comme la graisse; Moi, je fais mes délices de ta loi.
Il m'est bon d'être humilié, Afin que j'apprenne tes statuts.
Mieux vaut pour moi la loi de ta bouche Que mille objets d'or et d'argent.
Tes mains m'ont créé, elles m'ont formé; Donne-moi l'intelligence, pour que j'apprenne tes commandements!
Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent, Car j'espère en tes promesses.
Je sais, ô Eternel! que tes jugements sont justes; C'est par fidélité que tu m'as humilié.
Que ta bonté soit ma consolation, Comme tu l'as promis à ton serviteur!
Que tes compassions viennent sur moi, pour que je vive! Car ta loi fait mes délices.
Qu'ils soient confondus, les orgueilleux qui m'oppriment sans cause! Moi, je médite sur tes ordonnances.
Qu'ils reviennent à moi, ceux qui te craignent, Et ceux qui connaissent tes préceptes!
Que mon coeur soit sincère dans tes statuts, Afin que je ne sois pas couvert de honte!
Mon âme languit après ton salut; J'espère en ta promesse.
Mes yeux languissent après ta promesse; Je dis: Quand me consoleras-tu?
Car je suis comme une outre dans la fumée; Je n'oublie point tes statuts.
Quel est le nombre des jours de ton serviteur? Quand feras-tu justice de ceux qui me persécutent?
Des orgueilleux creusent des fosses devant moi; Ils n'agissent point selon ta loi.
Tous tes commandements ne sont que fidélité; Ils me persécutent sans cause: secours-moi!
Ils ont failli me terrasser et m'anéantir; Et moi, je n'abandonne point tes ordonnances.
Rends-moi la vie selon ta bonté, Afin que j'observe les préceptes de ta bouche!
A toujours, ô Eternel! Ta parole subsiste dans les cieux.
De génération en génération ta fidélité subsiste; Tu as fondé la terre, et elle demeure ferme.
C'est d'après tes lois que tout subsiste aujourd'hui, Car toutes choses te sont assujetties.
Si ta loi n'eût fait mes délices, J'eusse alors péri dans ma misère.
Je n'oublierai jamais tes ordonnances, Car c'est par elles que tu me rends la vie.
Je suis à toi: sauve-moi! Car je recherche tes ordonnances.
Des méchants m'attendent pour me faire périr; Je suis attentif à tes préceptes.
Je vois des bornes à tout ce qui est parfait: Tes commandements n'ont point de limite.
Combien j'aime ta loi! Elle est tout le jour l'objet de ma méditation.
Tes commandements me rendent plus sage que mes ennemis, Car je les ai toujours avec moi.
Je suis plus instruit que tous mes maîtres, Car tes préceptes sont l'objet de ma méditation.
J'ai plus d'intelligence que les vieillards, Car j'observe tes ordonnances.
Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin, Afin de garder ta parole.
Je ne m'écarte pas de tes lois, Car c'est toi qui m'enseignes.
Que tes paroles sont douces à mon palais, Plus que le miel à ma bouche!
Par tes ordonnances je deviens intelligent, Aussi je hais toute voie de mensonge.
Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier.
Je jure, et je le tiendrai, D'observer les lois de ta justice.
Je suis bien humilié: Eternel, rends-moi la vie selon ta parole!
Agrée, ô Eternel! les sentiments que ma bouche exprime, Et enseigne-moi tes lois!
Ma vie est continuellement exposée, Et je n'oublie point ta loi.
Des méchants me tendent des pièges, Et je ne m'égare pas loin de tes ordonnances.
Tes préceptes sont pour toujours mon héritage, Car ils sont la joie de mon coeur.
J'incline mon coeur à pratiquer tes statuts, Toujours, jusqu'à la fin.
Je hais les hommes indécis, Et j'aime ta loi.
Tu es mon asile et mon bouclier; J'espère en ta promesse.
Eloignez-vous de moi, méchants, Afin que j'observe les commandements de mon Dieu!
Soutiens-moi selon ta promesse, afin que je vive, Et ne me rends point confus dans mon espérance!
Sois mon appui, pour que je sois sauvé, Et que je m'occupe sans cesse de tes statuts!
Tu méprises tous ceux qui s'écartent de tes statuts, Car leur tromperie est sans effet.
Tu enlèves comme de l'écume tous les méchants de la terre; C'est pourquoi j'aime tes préceptes.
Ma chair frissonne de l'effroi que tu m'inspires, Et je crains tes jugements.
J'observe la loi et la justice: Ne m'abandonne pas à mes oppresseurs!
Prends sous ta garantie le bien de ton serviteur, Ne me laisse pas opprimer par des orgueilleux!
Mes yeux languissent après ton salut, Et après la promesse de ta justice.
Agis envers ton serviteur selon ta bonté, Et enseigne-moi tes statuts!
Je suis ton serviteur: donne-moi l'intelligence, Pour que je connaisse tes préceptes!
Il est temps que l'Eternel agisse: Ils transgressent ta loi.
C'est pourquoi j'aime tes commandements, Plus que l'or et que l'or fin;
C'est pourquoi je trouve justes toutes tes ordonnances, Je hais toute voie de mensonge.
Tes préceptes sont admirables: Aussi mon âme les observe.
La révélation de tes paroles éclaire, Elle donne de l'intelligence aux simples.
J'ouvre la bouche et je soupire, Car je suis avide de tes commandements.
Tourne vers moi ta face, et aie pitié de moi, Selon ta coutume à l'égard de ceux qui aiment ton nom!
Affermis mes pas dans ta parole, Et ne laisse aucune iniquité dominer sur moi!
Délivre-moi de l'oppression des hommes, Afin que je garde tes ordonnances!
Fais luire ta face sur ton serviteur, Et enseigne-moi tes statuts!
Mes yeux répandent des torrents d'eaux, Parce qu'on n'observe point ta loi.
Tu es juste, ô Eternel! Et tes jugements sont équitables;
Tu fondes tes préceptes sur la justice Et sur la plus grande fidélité.
Mon zèle me consume, Parce que mes adversaires oublient tes paroles.
Ta parole est entièrement éprouvée, Et ton serviteur l'aime.
Je suis petit et méprisé; Je n'oublie point tes ordonnances.
Ta justice est une justice éternelle, Et ta loi est la vérité.
La détresse et l'angoisse m'atteignent: Tes commandements font mes délices.
Tes préceptes sont éternellement justes: Donne-moi l'intelligence, pour que je vive!
Je t'invoque de tout mon coeur: exauce-moi, Eternel, Afin que je garde tes statuts!
Je t'invoque: sauve-moi, Afin que j'observe tes préceptes!
Je devance l'aurore et je crie; J'espère en tes promesses.
Je devance les veilles et j'ouvre les yeux, Pour méditer ta parole.
Ecoute ma voix selon ta bonté! Rends-moi la vie selon ton jugement!
Ils s'approchent, ceux qui poursuivent le crime, Ils s'éloignent de la loi.
Tu es proche, ô Eternel! Et tous tes commandements sont la vérité.
Dès longtemps je sais par tes préceptes Que tu les as établis pour toujours.
Vois ma misère, et délivre-moi! Car je n'oublie point ta loi.
Défends ma cause, et rachète-moi; Rends-moi la vie selon ta promesse!
Le salut est loin des méchants, Car ils ne recherchent pas tes statuts.
Tes compassions sont grandes, ô Eternel! Rends-moi la vie selon tes jugements!
Mes persécuteurs et mes adversaires sont nombreux; Je ne m'écarte point de tes préceptes,
Je vois avec dégoût des traîtres Qui n'observent pas ta parole.
Considère que j'aime tes ordonnances: Eternel, rends-moi la vie selon ta bonté!
Le fondement de ta parole est la vérité, Et toutes les lois de ta justice sont éternelles.
Des princes me persécutent sans cause; Mais mon coeur ne tremble qu'à tes paroles.
Je me réjouis de ta parole, Comme celui qui trouve un grand butin.
Je hais, je déteste le mensonge; J'aime ta loi.
Sept fois le jour je te célèbre, A cause des lois de ta justice.
Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi, Et il ne leur arrive aucun malheur.
J'espère en ton salut, ô Eternel! Et je pratique tes commandements.
Mon âme observe tes préceptes, Et je les aime beaucoup.
Je garde tes ordonnances et tes préceptes, Car toutes mes voies sont devant toi.
Que mon cri parvienne jusqu'à toi, ô Eternel! Donne-moi l'intelligence, selon ta promesse!
Que ma supplication arrive jusqu'à toi! Délivre-moi, selon ta promesse!
Que mes lèvres publient ta louange! Car tu m'enseignes tes statuts.
Que ma langue chante ta parole! Car tous tes commandements sont justes.
Que ta main me soit en aide! Car j'ai choisi tes ordonnances.
Je soupire après ton salut, ô Eternel! Et ta loi fait mes délices.
Que mon âme vive et qu'elle te loue! Et que tes jugements me soutiennent!
Je suis errant comme une brebis perdue; cherche ton serviteur, Car je n'oublie point tes commandements.
Il leur fut révélé que ce n'était pas pour eux-mêmes, mais pour vous, qu'ils étaient les dispensateurs de ces choses, que vous ont annoncées maintenant ceux qui vous ont prêché l'Evangile par le Saint-Esprit envoyé du ciel, et dans lesquelles les anges désirent plonger leurs regards.
Les chérubins étendaient les ailes par-dessus, couvrant de leurs ailes le propitiatoire, et se regardant l'un l'autre; les chérubins avaient la face tournée vers le propitiatoire.
Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux. Ils furent saisis d'une grande frayeur.
Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l'avez vu.
Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.
et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts,
Car Dieu, qui a dit: La lumière brillera du sein des ténèbres! a fait briller la lumière dans nos coeurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face de Christ.
mais lorsque les coeurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté.
Or, le Seigneur c'est l'Esprit; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté.
Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l'Esprit.
Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est.
qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu'il a de s'assujettir toutes choses.
Je t'ai glorifié sur la terre, j'ai achevé l'oeuvre que tu m'as donnée à faire.
Si Dieu n'a pas confiance en ses saints, Si les cieux ne sont pas purs devant lui,
Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux.
Et je vis un ange puissant, qui criait d'une voix forte: Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre les sceaux?
Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder.
Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d'ouvrir le livre ni de le regarder.
Et l'un des vieillards me dit: Ne pleure point; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux.
Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre.
Il vint, et il prit le livre de la main droite de celui qui était assis sur le trône.
Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d'or remplies de parfums, qui sont les prières des saints.
Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant: Tu es digne de prendre le livre, et d'en ouvrir les sceaux; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation;
tu as fait d'eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre.
Je regardai, et j'entendis la voix de beaucoup d'anges autour du trône et des êtres vivants et des vieillards, et leur nombre était des myriades de myriades et des milliers de milliers.
Ils disaient d'une voix forte: L'agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l'honneur, la gloire, et la louange.
Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s'y trouve, je les entendis qui disaient: A celui qui est assis sur le trône, et à l'agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles!
Et les quatre êtres vivants disaient: Amen! Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent.
De David. Psaume. Parole de l'Eternel à mon Seigneur: Assieds-toi à ma droite, Jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied.
L'Eternel étendra de Sion le sceptre de ta puissance: Domine au milieu de tes ennemis!
Ton peuple est plein d'ardeur, quand tu rassembles ton armée; Avec des ornements sacrés, du sein de l'aurore Ta jeunesse vient à toi comme une rosée.
L'Eternel l'a juré, et il ne s'en repentira point: Tu es sacrificateur pour toujours, A la manière de Melchisédek.
Le Seigneur, à ta droite, Brise des rois au jour de sa colère.
Il exerce la justice parmi les nations: tout est plein de cadavres; Il brise des têtes sur toute l'étendue du pays.
Il boit au torrent pendant la marche: C'est pourquoi il relève la tête.
O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu! Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles! Car
Qui a connu la pensée du Seigneur, Ou qui a été son conseiller?
Qui lui a donné le premier, pour qu'il ait à recevoir en retour?
C'est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses. A lui la gloire dans tous les siècles! Amen!
C'est pourquoi, laissant les éléments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du renoncement aux oeuvres mortes, de la foi en Dieu,
Que la parole de Christ habite parmi vous abondamment; instruisez-vous et exhortez-vous les uns les autres en toute sagesse, par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantant à Dieu dans vos coeurs sous l'inspiration de la grâce.
Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de moi.
Et ces commandements, que je te donne aujourd'hui, seront dans ton coeur.
Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras.
Tu les lieras comme un signe sur tes mains, et ils seront comme des fronteaux entre tes yeux.
Tu les écriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes.
N'abandonnons pas notre assemblée, comme c'est la coutume de quelques-uns; mais exhortons-nous réciproquement, et cela d'autant plus que vous voyez s'approcher le jour.
Celui qui fréquente les sages devient sage, Mais celui qui se plaît avec les insensés s'en trouve mal.
Les lèvres des sages répandent la science, Mais le coeur des insensés n'est pas droit.
De nous permettre, après que nous serions délivrés de la main de nos ennemis, De le servir sans crainte,
En marchant devant lui dans la sainteté et dans la justice tous les jours de notre vie.