Louis Segond 1910
Versliste
C'est ainsi qu'il chassa Adam; et il mit à l'orient du jardin d'Eden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l'arbre de vie.
et orné de chérubins et de palmes. Il y avait une palme entre deux chérubins. Chaque chérubin avait deux visages,
Chacun avait quatre faces; la face du premier était une face de chérubin, la face du second une face d'homme, celle du troisième une face de lion, et celle du quatrième une face d'aigle.
Il fit dans le sanctuaire deux chérubins de bois d'olivier sauvage, ayant dix coudées de hauteur.
Chacune des deux ailes de l'un des chérubins avait cinq coudées, ce qui faisait dix coudées de l'extrémité d'une de ses ailes à l'extrémité de l'autre.
Le second chérubin avait aussi dix coudées. La mesure et la forme étaient les mêmes pour les deux chérubins.
Sur les panneaux qui étaient entre les montants il y avait des lions, des boeufs et des chérubins; et sur les montants, au-dessus comme au-dessous des lions et des boeufs, il y avait des ornements qui pendaient en festons.
Il fit dans la maison du lieu très saint deux chérubins sculptés, et on les couvrit d'or.
Les ailes des chérubins avaient vingt coudées de longueur. L'aile du premier, longue de cinq coudées, touchait au mur de la maison; et l'autre aile, longue de cinq coudées, touchait à l'aile du second chérubin.
L'aile du second chérubin, longue de cinq coudées, touchait au mur de la maison; et l'autre aile, longue de cinq coudées, joignait l'aile du premier chérubin.
Les ailes de ces chérubins, déployées, avaient vingt coudées. Ils étaient debout sur leurs pieds, la face tournée vers la maison.
Il fit le voile bleu, pourpre et cramoisi, et de byssus, et il y représenta des chérubins.
Tu feras deux chérubins d'or, tu les feras d'or battu, aux deux extrémités du propitiatoire;
fais un chérubin à l'une des extrémités et un chérubin à l'autre extrémité; vous ferez les chérubins sortant du propitiatoire à ses deux extrémités.
Les chérubins étendront les ailes par-dessus, couvrant de leurs ailes le propitiatoire, et se faisant face l'un à l'autre; les chérubins auront la face tournée vers le propitiatoire.
Tu mettras le propitiatoire sur l'arche, et tu mettras dans l'arche le témoignage, que je te donnerai.
Tu feras le tabernacle de dix tapis de fin lin retors, et d'étoffes teintes en bleu, en pourpre et en cramoisi; tu y représenteras des chérubins artistement travaillés.
Tu feras un voile bleu, pourpre et cramoisi, et de fin lin retors; il sera artistement travaillé, et l'on y représentera des chérubins.
Sur les panneaux qui étaient entre les montants il y avait des lions, des boeufs et des chérubins; et sur les montants, au-dessus comme au-dessous des lions et des boeufs, il y avait des ornements qui pendaient en festons.
une face d'homme tournée d'un côté vers la palme, et une face de lion tournée de l'autre côté vers l'autre palme; il en était ainsi tout autour de la maison.
une face d'homme tournée d'un côté vers la palme, et une face de lion tournée de l'autre côté vers l'autre palme; il en était ainsi tout autour de la maison.
Les ailes de ces chérubins, déployées, avaient vingt coudées. Ils étaient debout sur leurs pieds, la face tournée vers la maison.
Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il planait sur les ailes du vent.
Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il paraissait sur les ailes du vent.
et le modèle de l'autel des parfums en or épuré, avec le poids. Il lui donna encore le modèle du char, des chérubins d'or qui étendent leurs ailes et couvrent l'arche de l'alliance de l'Eternel.
Il fit dans la maison du lieu très saint deux chérubins sculptés, et on les couvrit d'or.
Les ailes des chérubins avaient vingt coudées de longueur. L'aile du premier, longue de cinq coudées, touchait au mur de la maison; et l'autre aile, longue de cinq coudées, touchait à l'aile du second chérubin.
L'aile du second chérubin, longue de cinq coudées, touchait au mur de la maison; et l'autre aile, longue de cinq coudées, joignait l'aile du premier chérubin.
Les ailes de ces chérubins, déployées, avaient vingt coudées. Ils étaient debout sur leurs pieds, la face tournée vers la maison.
Il fit le voile bleu, pourpre et cramoisi, et de byssus, et il y représenta des chérubins.
Le peuple envoya à Silo, d'où l'on apporta l'arche de l'alliance de l'Eternel des armées qui siège entre les chérubins. Les deux fils d'Eli, Hophni et Phinées, étaient là, avec l'arche de l'alliance de Dieu.
Et David, avec tout le peuple qui était auprès de lui, se mit en marche depuis Baalé-Juda, pour faire monter de là l'arche de Dieu, devant laquelle est invoqué le nom de l'Eternel des armées qui réside entre les chérubins au-dessus de l'arche.
qui il adressa cette prière: Eternel, Dieu d'Israël, assis sur les chérubins! C'est toi qui es le seul Dieu de tous les royaumes de la terre, c'est toi qui as fait les cieux et la terre.
Au chef des chantres. Sur les lis lyriques. D'Asaph. Psaume. Prête l'oreille, berger d'Israël, Toi qui conduis Joseph comme un troupeau! Parais dans ta splendeur, Toi qui es assis sur les chérubins!
L'Eternel règne: les peuples tremblent; Il est assis sur les chérubins: la terre chancelle.
La parole de l'Eternel me fut adressée une seconde fois, en ces mots: Que vois-tu? Je répondis: Je vois une chaudière bouillante, du côté du septentrion.
Et l'Eternel me dit: C'est du septentrion que la calamité se répandra sur tous les habitants du pays.
Car voici, je vais appeler tous les peuples des royaumes du septentrion, dit l'Eternel; ils viendront, et placeront chacun leur siège à l'entrée des portes de Jérusalem, contre ses murailles tout alentour, et contre toutes les villes de Juda.
Je prononcerai mes jugements contre eux, à cause de toute leur méchanceté, parce qu'ils m'ont abandonné et ont offert de l'encens à d'autres dieux, et parce qu'ils se sont prosternés devant l'ouvrage de leurs mains.
Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l'airain poli, sortant du milieu du feu.
Voici, je vais susciter les Chaldéens, Peuple furibond et impétueux, Qui traverse de vastes étendues de pays, Pour s'emparer de demeures qui ne sont pas à lui.
Il est terrible et formidable; De lui seul viennent son droit et sa grandeur.
Ses chevaux sont plus rapides que les léopards, Plus agiles que les loups du soir, Et ses cavaliers s'avancent avec orgueil; Ses cavaliers arrivent de loin, Ils volent comme l'aigle qui fond sur sa proie.
Tout ce peuple vient pour se livrer au pillage; Ses regards avides se portent en avant, Et il assemble des prisonniers comme du sable.
Il se moque des rois, Et les princes font l'objet de ses railleries; Il se rit de toutes les forteresses, Il amoncelle de la terre, et il les prend.
Alors son ardeur redouble, Il poursuit sa marche, et il se rend coupable. Sa force à lui, voilà son dieu!
Il élève une bannière pour les peuples lointains, Et il en siffle un des extrémités de la terre: Et voici, il arrive avec promptitude et légèreté.
Nul n'est fatigué, nul ne chancelle de lassitude, Personne ne sommeille, ni ne dort; Aucun n'a la ceinture de ses reins détachée, Ni la courroie de ses souliers rompue.
Ses flèches sont aiguës, Et tous ses arcs tendus; Les sabots de ses chevaux ressemblent à des cailloux, Et les roues de ses chars à un tourbillon.
Son rugissement est comme celui d'une lionne; Il rugit comme des lionceaux, il gronde, et saisit la proie, Il l'emporte, et personne ne vient au secours.
En ce jour, il y aura près de lui un mugissement, Comme celui d'une tempête sur mer; En regardant la terre, on ne verra que ténèbres, Avec des alternatives d'angoisse et d'espérance; Au ciel, l'obscurité régnera.
Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre.
Oui, ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes,
Feu et grêle, neige et brouillards, Vents impétueux, qui exécutez ses ordres,
Il dit, et il fit souffler la tempête, Qui souleva les flots de la mer.
Ils montaient vers les cieux, ils descendaient dans l'abîme; Leur âme était éperdue en face du danger;
Saisis de vertige, ils chancelaient comme un homme ivre, Et toute leur habileté était anéantie.
Dans leur détresse, ils crièrent à l'Eternel, Et il les délivra de leurs angoisses;
Il arrêta la tempête, ramena le calme, Et les ondes se turent.
Mais l'Eternel fit souffler sur la mer un vent impétueux, et il s'éleva sur la mer une grande tempête. Le navire menaçait de faire naufrage.
Moïse étendit sa verge sur le pays d'Egypte; et l'Eternel fit souffler un vent d'orient sur le pays toute cette journée et toute la nuit. Quand ce fut le matin, le vent d'orient avait apporté les sauterelles.
L'Eternel fit souffler un vent d'occident très fort, qui emporta les sauterelles, et les précipita dans la mer Rouge; il ne resta pas une seule sauterelle dans toute l'étendue de l'Egypte.
Moïse étendit sa main sur la mer. Et l'Eternel refoula la mer par un vent d'orient, qui souffla avec impétuosité toute la nuit; il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent.
Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l'airain poli, sortant du milieu du feu.
C'est ainsi qu'il chassa Adam; et il mit à l'orient du jardin d'Eden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l'arbre de vie.
A la quatrième génération, ils reviendront ici; car l'iniquité des Amoréens n'est pas encore à son comble.
L'ânesse vit l'ange de l'Eternel qui se tenait sur le chemin, son épée nue dans la main; elle se détourna du chemin et alla dans les champs. Balaam frappa l'ânesse pour la ramener dans le chemin.
Comme Josué était près de Jéricho, il leva les yeux, et regarda. Voici, un homme se tenait debout devant lui, son épée nue dans la main. Il alla vers lui, et lui dit: Es-tu des nôtres ou de nos ennemis?
David leva les yeux, et vit l'ange de l'Eternel se tenant entre la terre et le ciel et ayant à la main son épée nue tournée contre Jérusalem. Alors David et les anciens, couverts de sacs, tombèrent sur leur visage.
Et David dit à Dieu: N'est-ce pas moi qui ai ordonné le dénombrement du peuple? C'est moi qui ai péché et qui ai fait le mal; mais ces brebis, qu'ont-elles fait? Eternel, mon Dieu, que ta main soit donc sur moi et sur la maison de mon père, et qu'elle ne fasse point une plaie parmi ton peuple!
De plus, il dit des anges: Celui qui fait de ses anges des vents, Et de ses serviteurs une flamme de feu.
Il fait des vents ses messagers, Des flammes de feu ses serviteurs.
Dieu est un juste juge, Dieu s'irrite en tout temps.
Si le méchant ne se convertit pas, il aiguise son glaive, Il bande son arc, et il vise;
En ce jour, l'Eternel frappera de sa dure, grande et forte épée Le léviathan, serpent fuyard, Le léviathan, serpent tortueux; Et il tuera le monstre qui est dans la mer.
Mon épée s'est enivrée dans les cieux; Voici, elle va descendre sur Edom, Sur le peuple que j'ai voué à l'extermination, pour le châtier.
L'épée de l'Eternel est pleine de sang, couverte de graisse, Du sang des agneaux et des boucs, De la graisse des reins des béliers; Car il y a des victimes de l'Eternel à Botsra, Et un grand carnage dans le pays d'Edom,
C'est par le feu que l'Eternel exerce ses jugements, C'est par son glaive qu'il châtie toute chair; Et ceux que tuera l'Eternel seront en grand nombre.
Fils de l'homme, prophétise, et dis: Ainsi parle l'Eternel. Dis: L'épée! l'épée! Elle est aiguisée, elle est polie.
Et toi, fils de l'homme, prophétise, Et frappe des mains! Et que les coups de l'épée soient doublés, soient triplés! C'est l'épée du carnage, l'épée du grand carnage, L'épée qui doit les poursuivre.
Fils de l'homme, trace deux chemins pour servir de passage à l'épée du roi de Babylone; tous les deux doivent sortir du même pays; marque un signe, marque-le à l'entrée du chemin qui conduit à une ville.
Si j'aiguise l'éclair de mon épée Et si ma main saisit la justice, Je me vengerai de mes adversaires Et je punirai ceux qui me haïssent;
Pour jeter l'effroi dans les coeurs, Pour multiplier les victimes, A toutes leurs portes je les menacerai de l'épée. Ah! elle est faite pour étinceler, Elle est aiguisée pour massacrer.
Tu traceras l'un des chemins pour que l'épée arrive à Rabbath, ville des enfants d'Ammon, et l'autre pour qu'elle arrive en Juda, à Jérusalem, ville fortifiée.
Car le roi de Babylone se tient au carrefour, à l'entrée des deux chemins, pour tirer des présages; il secoue les flèches, il interroge les théraphim, il examine le foie.
Je regardai, quand l'agneau ouvrit un des sept sceaux, et j'entendis l'un des quatre êtres vivants qui disait comme d'une voix de tonnerre: Viens.
Quand il ouvrit le second sceau, j'entendis le second être vivant qui disait: Viens.
Quand il ouvrit le troisième sceau, j'entendis le troisième être vivant qui disait: Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance dans sa main.
Quand il ouvrit le quatrième sceau, j'entendis la voix du quatrième être vivant qui disait: Viens.
Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre.
Et un autre ange, qui avait autorité sur le feu, sortit de l'autel, et s'adressa d'une voix forte à celui qui avait la faucille tranchante, disant: Lance ta faucille tranchante, et vendange les grappes de la vigne de la terre; car les raisins de la terre sont mûrs.
Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu,
et disant au sixième ange qui avait la trompette: Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate.
Il fait des vents ses messagers, Des flammes de feu ses serviteurs.
Comme ils continuaient à marcher en parlant, voici, un char de feu et des chevaux de feu les séparèrent l'un de l'autre, et Elie monta au ciel dans un tourbillon.
Elisée pria, et dit: Eternel, ouvre ses yeux, pour qu'il voie. Et l'Eternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d'Elisée.
La montagne de Sinaï était toute en fumée, parce que l'Eternel y était descendu au milieu du feu; cette fumée s'élevait comme la fumée d'une fournaise, et toute la montagne tremblait avec violence.
Vous vous approchâtes et vous vous tîntes au pied de la montagne. La montagne était embrasée, et les flammes s'élevaient jusqu'au milieu du ciel. Il y avait des ténèbres, des nuées, de l'obscurité.
Il dit: L'Eternel est venu du Sinaï, Il s'est levé sur eux de Séir, Il a resplendi de la montagne de Paran, Et il est sorti du milieu des saintes myriades: Il leur a de sa droite envoyé le feu de la loi.
Les chars de l'Eternel se comptent par vingt mille, Par milliers et par milliers; Le Seigneur est au milieu d'eux, le Sinaï est dans le sanctuaire.
Vous ne vous êtes pas approchés d'une montagne qu'on pouvait toucher et qui était embrasée par le feu, ni de la nuée, ni des ténèbres, ni de la tempête,
vous qui avez reçu la loi d'après des commandements d'anges, et qui ne l'avez point gardée!...
Pourquoi donc la loi? Elle a été donnée ensuite à cause des transgressions, jusqu'à ce que vînt la postérité à qui la promesse avait été faite; elle a été promulguée par des anges, au moyen d'un médiateur.
Car, si la parole annoncée par des anges a eu son effet, et si toute transgression et toute désobéissance a reçu une juste rétribution,
Qu'est-ce que l'homme, pour que tu te souviennes de lui? Et le fils de l'homme, pour que tu prennes garde à lui?
Tu lui as donné la domination sur les oeuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds,