Louis Segond 1910
Versliste
Dieu des vengeances, Eternel! Dieu des vengeances, parais!
Lève-toi, juge de la terre! Rends aux superbes selon leurs oeuvres!
Jusques à quand les méchants, ô Eternel! Jusques à quand les méchants triompheront-ils?
Ils discourent, ils parlent avec arrogance; Tous ceux qui font le mal se glorifient.
Eternel! ils écrasent ton peuple, Ils oppriment ton héritage;
Ils égorgent la veuve et l'étranger, Ils assassinent les orphelins.
Et ils disent: L'Eternel ne regarde pas, Le Dieu de Jacob ne fait pas attention!
Prenez-y garde, hommes stupides! Insensés, quand serez-vous sages?
Celui qui a planté l'oreille n'entendrait-il pas? Celui qui a formé l'oeil ne verrait-il pas?
Celui qui châtie les nations ne punirait-il point, Lui qui donne à l'homme l'intelligence?
L'Eternel connaît les pensées de l'homme, Il sait qu'elles sont vaines.
Heureux l'homme que tu châties, ô Eternel! Et que tu instruis par ta loi,
Pour le calmer aux jours du malheur, Jusqu'à ce que la fosse soit creusée pour le méchant!
Car l'Eternel ne délaisse pas son peuple, Il n'abandonne pas son héritage;
Car le jugement sera conforme à la justice, Et tous ceux dont le coeur est droit l'approuveront.
Qui se lèvera pour moi contre les méchants? Qui me soutiendra contre ceux qui font le mal?
Si l'Eternel n'était pas mon secours, Mon âme serait bien vite dans la demeure du silence.
Quand je dis: Mon pied chancelle! Ta bonté, ô Eternel! me sert d'appui.
Quand les pensées s'agitent en foule au dedans de moi, Tes consolations réjouissent mon âme.
Les méchants te feraient-ils siéger sur leur trône, Eux qui forment des desseins iniques en dépit de la loi?
Ils se rassemblent contre la vie du juste, Et ils condamnent le sang innocent.
Mais l'Eternel est ma retraite, Mon Dieu est le rocher de mon refuge.
Il fera retomber sur eux leur iniquité, Il les anéantira par leur méchanceté; L'Eternel, notre Dieu, les anéantira.
Dieu des vengeances, Eternel! Dieu des vengeances, parais!
Lève-toi, juge de la terre! Rends aux superbes selon leurs oeuvres!
Jusques à quand les méchants, ô Eternel! Jusques à quand les méchants triompheront-ils?
Ils discourent, ils parlent avec arrogance; Tous ceux qui font le mal se glorifient.
Eternel! ils écrasent ton peuple, Ils oppriment ton héritage;
Ils égorgent la veuve et l'étranger, Ils assassinent les orphelins.
Et ils disent: L'Eternel ne regarde pas, Le Dieu de Jacob ne fait pas attention!
Prenez-y garde, hommes stupides! Insensés, quand serez-vous sages?
Celui qui a planté l'oreille n'entendrait-il pas? Celui qui a formé l'oeil ne verrait-il pas?
Celui qui châtie les nations ne punirait-il point, Lui qui donne à l'homme l'intelligence?
L'Eternel connaît les pensées de l'homme, Il sait qu'elles sont vaines.
Heureux l'homme que tu châties, ô Eternel! Et que tu instruis par ta loi,
Pour le calmer aux jours du malheur, Jusqu'à ce que la fosse soit creusée pour le méchant!
Car l'Eternel ne délaisse pas son peuple, Il n'abandonne pas son héritage;
Car le jugement sera conforme à la justice, Et tous ceux dont le coeur est droit l'approuveront.
Qui se lèvera pour moi contre les méchants? Qui me soutiendra contre ceux qui font le mal?
Si l'Eternel n'était pas mon secours, Mon âme serait bien vite dans la demeure du silence.
Quand je dis: Mon pied chancelle! Ta bonté, ô Eternel! me sert d'appui.
Quand les pensées s'agitent en foule au dedans de moi, Tes consolations réjouissent mon âme.
Les méchants te feraient-ils siéger sur leur trône, Eux qui forment des desseins iniques en dépit de la loi?
Ils se rassemblent contre la vie du juste, Et ils condamnent le sang innocent.
Mais l'Eternel est ma retraite, Mon Dieu est le rocher de mon refuge.
Il fera retomber sur eux leur iniquité, Il les anéantira par leur méchanceté; L'Eternel, notre Dieu, les anéantira.
Celui qui demeure sous l'abri du Très-Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant.
Je dis à l'Eternel: Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie!
Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, De la peste et de ses ravages.
Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse.
Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour,
Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi.
Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint;
De tes yeux seulement tu regarderas, Et tu verras la rétribution des méchants.
Car tu es mon refuge, ô Eternel! Tu fais du Très-Haut ta retraite.
Aucun malheur ne t'arrivera, Aucun fléau n'approchera de ta tente.
Car il ordonnera à ses anges De te garder dans toutes tes voies;
Ils te porteront sur les mains, De peur que ton pied ne heurte contre une pierre.
Tu marcheras sur le lion et sur l'aspic, Tu fouleras le lionceau et le dragon.
Puisqu'il m'aime, je le délivrerai; Je le protégerai, puisqu'il connaît mon nom.
Il m'invoquera, et je lui répondrai; Je serai avec lui dans la détresse, Je le délivrerai et je le glorifierai.
Je le rassasierai de longs jours, Et je lui ferai voir mon salut.
Dieu des vengeances, Eternel! Dieu des vengeances, parais!
Lève-toi, juge de la terre! Rends aux superbes selon leurs oeuvres!
Jusques à quand les méchants, ô Eternel! Jusques à quand les méchants triompheront-ils?
Ils discourent, ils parlent avec arrogance; Tous ceux qui font le mal se glorifient.
Eternel! ils écrasent ton peuple, Ils oppriment ton héritage;
Ils égorgent la veuve et l'étranger, Ils assassinent les orphelins.
Et ils disent: L'Eternel ne regarde pas, Le Dieu de Jacob ne fait pas attention!
Prenez-y garde, hommes stupides! Insensés, quand serez-vous sages?
Celui qui a planté l'oreille n'entendrait-il pas? Celui qui a formé l'oeil ne verrait-il pas?
Celui qui châtie les nations ne punirait-il point, Lui qui donne à l'homme l'intelligence?
L'Eternel connaît les pensées de l'homme, Il sait qu'elles sont vaines.
Heureux l'homme que tu châties, ô Eternel! Et que tu instruis par ta loi,
Pour le calmer aux jours du malheur, Jusqu'à ce que la fosse soit creusée pour le méchant!
Car l'Eternel ne délaisse pas son peuple, Il n'abandonne pas son héritage;
Car le jugement sera conforme à la justice, Et tous ceux dont le coeur est droit l'approuveront.
Qui se lèvera pour moi contre les méchants? Qui me soutiendra contre ceux qui font le mal?
Si l'Eternel n'était pas mon secours, Mon âme serait bien vite dans la demeure du silence.
Quand je dis: Mon pied chancelle! Ta bonté, ô Eternel! me sert d'appui.
Quand les pensées s'agitent en foule au dedans de moi, Tes consolations réjouissent mon âme.
Les méchants te feraient-ils siéger sur leur trône, Eux qui forment des desseins iniques en dépit de la loi?
Ils se rassemblent contre la vie du juste, Et ils condamnent le sang innocent.
Mais l'Eternel est ma retraite, Mon Dieu est le rocher de mon refuge.
Il fera retomber sur eux leur iniquité, Il les anéantira par leur méchanceté; L'Eternel, notre Dieu, les anéantira.
Psaume d'Asaph. Oui, Dieu est bon pour Israël, Pour ceux qui ont le coeur pur.
Toutefois, mon pied allait fléchir, Mes pas étaient sur le point de glisser;
Car je portais envie aux insensés, En voyant le bonheur des méchants.
Rien ne les tourmente jusqu'à leur mort, Et leur corps est chargé d'embonpoint;
Ils n'ont aucune part aux souffrances humaines, Ils ne sont point frappés comme le reste des hommes.
Aussi l'orgueil leur sert de collier, La violence est le vêtement qui les enveloppe;
L'iniquité sort de leurs entrailles, Les pensées de leur coeur se font jour.
Ils raillent, et parlent méchamment d'opprimer; Ils profèrent des discours hautains,
Ils élèvent leur bouche jusqu'aux cieux, Et leur langue se promène sur la terre.
Voilà pourquoi son peuple se tourne de leur côté, Il avale l'eau abondamment,
Et il dit: Comment Dieu saurait-il, Comment le Très-Haut connaîtrait-il?
Ainsi sont les méchants: Toujours heureux, ils accroissent leurs richesses.
C'est donc en vain que j'ai purifié mon coeur, Et que j'ai lavé mes mains dans l'innocence:
Chaque jour je suis frappé, Tous les matins mon châtiment est là.
Si je disais: Je veux parler comme eux, Voici, je trahirais la race de tes enfants.
Quand j'ai réfléchi là-dessus pour m'éclairer, La difficulté fut grande à mes yeux,
Jusqu'à ce que j'eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, Et que j'eusse pris garde au sort final des méchants.
Oui, tu les places sur des voies glissantes, Tu les fais tomber et les mets en ruines.
Eh quoi! en un instant les voilà détruits! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine!
Comme un songe au réveil, Seigneur, à ton réveil, tu repousses leur image.
Lorsque mon coeur s'aigrissait, Et que je me sentais percé dans les entrailles,
J'étais stupide et sans intelligence, J'étais à ton égard comme les bêtes.
Cependant je suis toujours avec toi, Tu m'as saisi la main droite;
Tu me conduiras par ton conseil, Puis tu me recevras dans la gloire.
Quel autre ai-je au ciel que toi! Et sur la terre je ne prends plaisir qu'en toi.
Ma chair et mon coeur peuvent se consumer: Dieu sera toujours le rocher de mon coeur et mon partage.
Car voici, ceux qui s'éloignent de toi périssent; Tu anéantis tous ceux qui te sont infidèles.
Pour moi, m'approcher de Dieu, c'est mon bien: Je place mon refuge dans le Seigneur, l'Eternel, Afin de raconter toutes tes oeuvres.
Car il me protégera dans son tabernacle au jour du malheur, Il me cachera sous l'abri de sa tente; Il m'élèvera sur un rocher.
Maintenant mon âme est troublée. Et que dirai-je?... Père, délivre-moi de cette heure?... Mais c'est pour cela que je suis venu jusqu'à cette heure.
Père, glorifie ton nom! Et une voix vint du ciel: Je l'ai glorifié, et je le glorifierai encore.
disant: Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.