Au chef des chantres. Psaume de David. Cantique. Avec confiance, ô Dieu! on te louera dans Sion, Et l'on accomplira les voeux qu'on t'a faits.
O toi, qui écoutes la prière! Tous les hommes viendront à toi.
Les iniquités m'accablent: Tu pardonneras nos transgressions.
Heureux celui que tu choisis et que tu admets en ta présence, Pour qu'il habite dans tes parvis! Nous nous rassasierons du bonheur de ta maison, De la sainteté de ton temple.
Dans ta bonté, tu nous exauces par des prodiges, Dieu de notre salut, Espoir de toutes les extrémités lointaines de la terre et de la mer!
Il affermit les montagnes par sa force, Il est ceint de puissance;
Il apaise le mugissement des mers, le mugissement de leurs flots, Et le tumulte des peuples.
Ceux qui habitent aux extrémités du monde s'effraient de tes prodiges; Tu remplis d'allégresse l'orient et l'occident.
Tu visites la terre et tu lui donnes l'abondance, Tu la combles de richesses; Le ruisseau de Dieu est plein d'eau; Tu prépares le blé, quand tu la fertilises ainsi.
En arrosant ses sillons, en aplanissant ses mottes, Tu la détrempes par des pluies, tu bénis son germe.
Tu couronnes l'année de tes biens, Et tes pas versent l'abondance;
Les plaines du désert sont abreuvées, Et les collines sont ceintes d'allégresse;
Les pâturages se couvrent de brebis, Et les vallées se revêtent de froment. Les cris de joie et les chants retentissent.
Querverweise zu Psalm 65,8 Ps 65,8
Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, Les extrémités de la terre pour possession;
Ils ont regardé, tout stupéfaits, Ils ont eu peur, et ont pris la fuite.
Et le soleil, semblable à un époux qui sort de sa chambre, S'élance dans la carrière avec la joie d'un héros;
Les pâturages se couvrent de brebis, Et les vallées se revêtent de froment. Les cris de joie et les chants retentissent.
Là un tremblement les a saisis, Comme la douleur d'une femme qui accouche.
A toi est le jour, à toi est la nuit; Tu as créé la lumière et le soleil.
Louez-le, soleil et lune! Louez-le, vous toutes, étoiles lumineuses!
Dites à Dieu: Que tes oeuvres sont redoutables! A cause de la grandeur de ta force, tes ennemis te flattent.
Tu amènes les ténèbres, et il est nuit: Alors tous les animaux des forêts sont en mouvement;
Les lionceaux rugissent après la proie, Et demandent à Dieu leur nourriture.
Le soleil se lève: ils se retirent, Et se couchent dans leurs tanières.
L'homme sort pour se rendre à son ouvrage, Et à son travail, jusqu'au soir.
Alors notre bouche était remplie de cris de joie, Et notre langue de chants d'allégresse; Alors on disait parmi les nations: L'Eternel a fait pour eux de grandes choses!
Le soleil pour présider au jour, Car sa miséricorde dure à toujours!
Il envoya des signes et des miracles au milieu de toi, Egypte! Contre Pharaon et contre tous ses serviteurs.
Tant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l'été et l'hiver, le jour et la nuit ne cesseront point.
Les peuples l'apprennent, et ils tremblent: La terreur s'empare des Philistins;
Les chefs d'Edom s'épouvantent; Un tremblement saisit les guerriers de Moab; Tous les habitants de Canaan tombent en défaillance.
La crainte et la frayeur les surprendront; Par la grandeur de ton bras Ils deviendront muets comme une pierre, Jusqu'à ce que ton peuple soit passé, ô Eternel! Jusqu'à ce qu'il soit passé, Le peuple que tu as acquis.
Veille sur ton âme, de peur que, levant tes yeux vers le ciel, et voyant le soleil, la lune et les étoiles, toute l'armée des cieux, tu ne sois entraîné à te prosterner en leur présence et à leur rendre un culte: ce sont des choses que l'Eternel, ton Dieu, a données en partage à tous les peuples, sous le ciel tout entier.
et leur dit: L'Eternel, je le sais, vous a donné ce pays, la terreur que vous inspirez nous a saisis, et tous les habitants du pays tremblent devant vous.
Car nous avons appris comment, à votre sortie d'Egypte, l'Eternel a mis à sec devant vous les eaux de la mer Rouge, et comment vous avez traité les deux rois des Amoréens au delà du Jourdain, Sihon et Og, que vous avez dévoués par interdit.
Nous l'avons appris, et nous avons perdu courage, et tous nos esprits sont abattus à votre aspect; car c'est l'Eternel, votre Dieu, qui est Dieu en haut dans les cieux et en bas sur la terre.
Depuis que tu existes, as-tu commandé au matin? As-tu montré sa place à l'aurore,
Dieu vient de Théman, Le Saint vient de la montagne de Paran... Pause. Sa majesté couvre les cieux, Et sa gloire remplit la terre.
C'est comme l'éclat de la lumière; Des rayons partent de sa main; Là réside sa force.
Devant lui marche la peste, Et la peste est sur ses traces.
Il s'arrête, et de l'oeil il mesure la terre; Il regarde, et il fait trembler les nations; Les montagnes éternelles se brisent, Les collines antiques s'abaissent; Les sentiers d'autrefois s'ouvrent devant lui.
Je vois dans la détresse les tentes de l'Ethiopie, Et les tentes du pays de Madian sont dans l'épouvante.
L'Eternel est-il irrité contre les fleuves? Est-ce contre les fleuves que s'enflamme ta colère, Contre la mer que se répand ta fureur, Pour que tu sois monté sur tes chevaux, Sur ton char de victoire?
Ton arc est mis à nu; Les malédictions sont les traits de ta parole... Pause. Tu fends la terre pour donner cours aux fleuves.
A ton aspect, les montagnes tremblent; Des torrents d'eau se précipitent; L'abîme fait entendre sa voix, Il lève ses mains en haut.
Le soleil et la lune s'arrêtent dans leur demeure, A la lumière de tes flèches qui partent, A la clarté de ta lance qui brille.
Tu parcours la terre dans ta fureur, Tu écrases les nations dans ta colère.
Tu sors pour délivrer ton peuple, Pour délivrer ton oint; Tu brises le faîte de la maison du méchant, Tu la détruis de fond en comble. Pause.
Tu perces de tes traits la tête de ses chefs, Qui se précipitent comme la tempête pour me disperser, Poussant des cris de joie, Comme s'ils dévoraient déjà le malheureux dans leur repaire.
Avec tes chevaux tu foules la mer, La boue des grandes eaux.
J'ai entendu... Et mes entrailles sont émues. A cette voix, mes lèvres frémissent, Mes os se consument, Et mes genoux chancellent: En silence je dois attendre le jour de la détresse, Le jour où l'oppresseur marchera contre le peuple.
Car le figuier ne fleurira pas, La vigne ne produira rien, Le fruit de l'olivier manquera, Les champs ne donneront pas de nourriture; Les brebis disparaîtront du pâturage, Et il n'y aura plus de boeufs dans les étables.
Toutefois, je veux me réjouir en l'Eternel, Je veux me réjouir dans le Dieu de mon salut.
L'Eternel, le Seigneur, est ma force; Il rend mes pieds semblables à ceux des biches, Et il me fait marcher sur mes lieux élevés. Au chef des chantres. Avec instruments à cordes.
Et maintenant, je vous le dis ne vous occupez plus de ces hommes, et laissez-les aller. Si cette entreprise ou cette oeuvre vient des hommes, elle se détruira;
mais si elle vient de Dieu, vous ne pourrez la détruire. Ne courez pas le risque d'avoir combattu contre Dieu.
A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel.