Cantique. Psaume des fils de Koré. L'Eternel est grand, il est l'objet de toutes les louanges, Dans la ville de notre Dieu, sur sa montagne sainte.
Belle est la colline, joie de toute la terre, la montagne de Sion; Le côté septentrional, c'est la ville du grand roi.
Dieu, dans ses palais, est connu pour une haute retraite.
Car voici, les rois s'étaient concertés: Ils n'ont fait que passer ensemble.
Ils ont regardé, tout stupéfaits, Ils ont eu peur, et ont pris la fuite.
Là un tremblement les a saisis, Comme la douleur d'une femme qui accouche.
Ils ont été chassés comme par le vent d'orient, Qui brise les navires de Tarsis.
Ce que nous avions entendu dire, nous l'avons vu Dans la ville de l'Eternel des armées, Dans la ville de notre Dieu: Dieu la fera subsister à toujours. -Pause.
O Dieu, nous pensons à ta bonté Au milieu de ton temple.
Comme ton nom, ô Dieu! Ta louange retentit jusqu'aux extrémités de la terre; Ta droite est pleine de justice.
La montagne de Sion se réjouit, Les filles de Juda sont dans l'allégresse, A cause de tes jugements.
Parcourez Sion, parcourez-en l'enceinte, Comptez ses tours,
Observez son rempart, Examinez ses palais, Pour le raconter à la génération future.
Voilà le Dieu qui est notre Dieu éternellement et à jamais; Il sera notre guide jusqu'à la mort.
Querverweise zu Psalm 48,5 Ps 48,5
Il ôta les roues de leurs chars et en rendit la marche difficile. Les Egyptiens dirent alors: Fuyons devant Israël, car l'Eternel combat pour lui contre les Egyptiens.
Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée, et ils s'étaient dit l'un à l'autre: Voici, le roi d'Israël a pris à sa solde contre nous les rois des Héthiens et les rois des Egyptiens pour venir nous attaquer.
Et ils se levèrent et prirent la fuite au crépuscule, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux et leurs ânes, le camp tel qu'il était, et ils s'enfuirent pour sauver leur vie.
Cette nuit-là, l'ange de l'Eternel sortit, et frappa dans le camp des Assyriens cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Et quand on se leva le matin, voici, c'étaient tous des corps morts.
Alors Sanchérib, roi d'Assyrie, leva son camp, partit et s'en retourna; et il resta à Ninive.
Or, comme il était prosterné dans la maison de Nisroc, son dieu, Adrammélec et Scharetser, ses fils, le frappèrent avec l'épée, et s'enfuirent au pays d'Ararat. Et Esar-Haddon, son fils, régna à sa place.