Louis Segond 1910
Versliste
Voici la litière de Salomon, Et autour d'elle soixante vaillants hommes, Des plus vaillants d'Israël.
Tous sont armés de l'épée, Sont exercés au combat; Chacun porte l'épée sur sa hanche, En vue des alarmes nocturnes.
Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ,
la louange de la gloire de sa grâce qu'il nous a accordée en son bien-aimé.
En ce temps-là, l'Eternel me dit: Taille deux tables de pierre comme les premières, et monte vers moi sur la montagne; tu feras aussi une arche de bois.
J'écrirai sur ces tables les paroles qui étaient sur les premières tables que tu as brisées, et tu les mettras dans l'arche.
Je fis une arche de bois d'acacia, je taillai deux tables de pierre comme les premières, et je montai sur la montagne, les deux tables dans ma main.
L'Eternel écrivit sur les tables ce qui avait été écrit sur les premières, les dix paroles qu'il vous avait dites sur la montagne, du milieu du feu, le jour de l'assemblée; et l'Eternel me les donna.
Je retournai et je descendis de la montagne, je mis les tables dans l'arche que j'avais faite, et elles restèrent là, comme l'Eternel me l'avait ordonné.
Voici les noms des vaillants hommes qui étaient au service de David. Joscheb-Basschébeth, le Tachkemonite, l'un des principaux officiers. Il brandit sa lance sur huit cents hommes, qu'il fit périr en une seule fois.
Après lui, Eléazar, fils de Dodo, fils d'Achochi. Il était l'un des trois guerriers qui affrontèrent avec David les Philistins rassemblés pour combattre, tandis que les hommes d'Israël se retiraient sur les hauteurs.
Il se leva, et frappa les Philistins jusqu'à ce que sa main fût lasse et qu'elle restât attachée à son épée. L'Eternel opéra une grande délivrance ce jour-là. Le peuple revint après Eléazar, seulement pour prendre les dépouilles.
Après lui, Schamma, fils d'Agué, d'Harar. Les Philistins s'étaient rassemblés à Léchi. Il y avait là une pièce de terre remplie de lentilles; et le peuple fuyait devant les Philistins.
Schamma se plaça au milieu du champ, le protégea, et battit les Philistins. Et l'Eternel opéra une grande délivrance.
Trois des trente chefs descendirent au temps de la moisson et vinrent auprès de David, dans la caverne d'Adullam, lorsqu'une troupe de Philistins était campée dans la vallée des Rephaïm.
David était alors dans la forteresse, et il y avait un poste de Philistins à Bethléhem.
David eut un désir, et il dit: Qui me fera boire de l'eau de la citerne qui est à la porte de Bethléhem?
Alors les trois vaillants hommes passèrent au travers du camp des Philistins, et puisèrent de l'eau de la citerne qui est à la porte de Bethléhem. Ils l'apportèrent et la présentèrent à David; mais il ne voulut pas la boire, et il la répandit devant l'Eternel.
Il dit: Loin de moi, ô Eternel, la pensée de faire cela! Boirais-je le sang de ces hommes qui sont allés au péril de leur vie? Et il ne voulut pas la boire. Voilà ce que firent ces trois vaillants hommes.
Abischaï, frère de Joab, fils de Tseruja, était le chef des trois. Il brandit sa lance sur trois cents hommes, et les tua; et il eut du renom parmi les trois.
Il était le plus considéré des trois, et il fut leur chef; mais il n'égala pas les trois premiers.
Benaja, fils de Jehojada, fils d'un homme de Kabtseel, rempli de valeur et célèbre par ses exploits. Il frappa les deux lions de Moab. Il descendit au milieu d'une citerne, où il frappa un lion, un jour de neige.
Il frappa un Egyptien d'un aspect formidable et ayant une lance à la main; il descendit contre lui avec un bâton, arracha la lance de la main de l'Egyptien, et s'en servit pour le tuer.
Voilà ce que fit Benaja, fils de Jehojada; et il eut du renom parmi les trois vaillants hommes.
Il était le plus considéré des trente; mais il n'égala pas les trois premiers. David l'admit dans son conseil secret.
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.
Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur; et vous trouverez du repos pour vos âmes.
Moi l'Eternel, j'en suis le gardien, Je l'arrose à chaque instant; De peur qu'on ne l'attaque, Nuit et jour je la garde.
Jude, serviteur de Jésus-Christ, et frère de Jacques, à ceux qui ont été appelés, qui sont aimés en Dieu le Père, et gardés pour Jésus Christ:
Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable.
Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.
C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.
Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice;
mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Evangile de paix;
prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin;
prenez aussi le casque du salut, et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu.
Faites en tout temps par l'Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints.
prenez aussi le casque du salut, et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu.
Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du coeur.
La nuit est avancée, le jour approche. Dépouillons-nous donc des oeuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière.
Alors Jésus fut emmené par l'Esprit dans le désert, pour être tenté par le diable.
Après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim.
Le tentateur, s'étant approché, lui dit: Si tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains.
Jésus répondit: Il est écrit: L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
Le diable le transporta dans la ville sainte, le plaça sur le haut du temple,
et lui dit: Si tu es Fils de Dieu, jette-toi en bas; car il est écrit: Il donnera des ordres à ses anges à ton sujet; Et ils te porteront sur les mains, De peur que ton pied ne heurte contre une pierre.
Jésus lui dit: Il est aussi écrit: Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu.
Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire,
et lui dit: Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m'adores.
Jésus lui dit: Retire-toi, Satan! Car il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul.
Alors le diable le laissa. Et voici, des anges vinrent auprès de Jésus, et le servaient.