Louis Segond 1910
Versliste
Aser produit une nourriture excellente; Il fournira les mets délicats des rois.
La cinquième part échut par le sort à la tribu des fils d'Aser, selon leurs familles.
Leur limite passait par Helkath, Hali, Béthen, Acschaph,
Allammélec, Amead et Mischeal; elle touchait, vers l'occident, au Carmel et au Schichor-Libnath;
puis elle tournait du côté de l'orient à Beth-Dagon, atteignait Zabulon et la vallée de Jiphthach-El au nord de Beth-Emek et de Neïel, et se prolongeait vers Cabul, à gauche,
et vers Ebron, Rehob, Hammon et Kana, jusqu'à Sidon la grande.
Elle tournait ensuite vers Rama jusqu'à la ville forte de Tyr, et vers Hosa, pour aboutir à la mer, par la contrée d'Aczib.
De plus, Umma, Aphek et Rehob. Vingt-deux villes, et leurs villages.
Tel fut l'héritage de la tribu des fils d'Aser, selon leurs familles, ces villes-là et leurs villages.
Hiram, roi de Tyr, envoya des messagers à David, et du bois de cèdre, et des charpentiers et des tailleurs de pierres, qui bâtirent une maison pour David.
Hiram donna à Salomon des bois de cèdre et des bois de cyprès autant qu'il en voulut.
Hiram, roi de Tyr, envoya ses serviteurs vers Salomon, car il apprit qu'on l'avait oint pour roi à la place de son père, et il avait toujours aimé David.
Salomon fit dire à Hiram:
Tu sais que David, mon père, n'a pas pu bâtir une maison à l'Eternel, son Dieu, à cause des guerres dont ses ennemis l'ont enveloppé jusqu'à ce que l'Eternel les eût mis sous la plante de ses pieds.
Maintenant l'Eternel, mon Dieu, m'a donné du repos de toutes parts; plus d'adversaires, plus de calamités!
Voici, j'ai l'intention de bâtir une maison au nom de l'Eternel, mon Dieu, comme l'Eternel l'a déclaré à David, mon père, en disant: Ton fils que je mettrai à ta place sur ton trône, ce sera lui qui bâtira une maison à mon nom.
Ordonne maintenant que l'on coupe pour moi des cèdres du Liban. Mes serviteurs seront avec les tiens, et je te paierai le salaire de tes serviteurs tel que tu l'auras fixé; car tu sais qu'il n'y a personne parmi nous qui s'entende à couper les bois comme les Sidoniens.
Lorsqu'il entendit les paroles de Salomon, Hiram eut une grande joie, et il dit: Béni soit aujourd'hui l'Eternel, qui a donné à David un fils sage pour chef de ce grand peuple!
Et Hiram fit répondre à Salomon: J'ai entendu ce que tu m'as envoyé dire. Je ferai tout ce qui te plaira au sujet des bois de cèdre et des bois de cyprès.
Mes serviteurs les descendront du Liban à la mer, et je les expédierai par mer en radeaux jusqu'au lieu que tu m'indiqueras; là, je les ferai délier, et tu les prendras. Ce que je désire en retour, c'est que tu fournisses des vivres à ma maison.
Hiram donna à Salomon des bois de cèdre et des bois de cyprès autant qu'il en voulut.
et cependant Elie ne fut envoyé vers aucune d'elles, si ce n'est vers une femme veuve, à Sarepta, dans le pays de Sidon.
et vers Ebron, Rehob, Hammon et Kana, jusqu'à Sidon la grande.
Cependant quelques hommes d'Aser, de Manassé et de Zabulon s'humilièrent et vinrent à Jérusalem.
Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d'Aser. Elle était fort avancée en âge, et elle avait vécu sept ans avec son mari depuis sa virginité.
Restée veuve, et âgée de quatre vingt-quatre ans, elle ne quittait pas le temple, et elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et dans la prière.
Etant survenue, elle aussi, à cette même heure, elle louait Dieu, et elle parlait de Jésus à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Nephthali est une biche en liberté; Il profère de belles paroles.
Elle envoya appeler Barak, fils d'Abinoam, de Kédesch-Nephthali, et elle lui dit: N'est-ce pas l'ordre qu'a donné l'Eternel, le Dieu d'Israël? Va, dirige-toi sur le mont Thabor, et prends avec toi dix mille hommes des enfants de Nephthali et des enfants de Zabulon;
Il avait choisi de nouveaux dieux: Alors la guerre était aux portes; On ne voyait ni bouclier ni lance Chez quarante milliers en Israël.
Les enfants d'Israël firent ce qui déplaît à l'Eternel; et l'Eternel les livra entre les mains de Madian, pendant sept ans.
La main de Madian fut puissante contre Israël. Pour échapper à Madian, les enfants d'Israël se retiraient dans les ravins des montagnes, dans les cavernes et sur les rochers fortifiés.
Quand Israël avait semé, Madian montait avec Amalek et les fils de l'Orient, et ils marchaient contre lui.
Ils campaient en face de lui, détruisaient les productions du pays jusque vers Gaza, et ne laissaient en Israël ni vivres, ni brebis, ni boeufs, ni ânes.
Car ils montaient avec leurs troupeaux et leurs tentes, ils arrivaient comme une multitude de sauterelles, ils étaient innombrables, eux et leurs chameaux, et ils venaient dans le pays pour le ravager.
Israël fut très malheureux à cause de Madian, et les enfants d'Israël crièrent à l'Eternel.
Lorsque les enfants d'Israël crièrent à l'Eternel au sujet de Madian,
l'Eternel envoya un prophète aux enfants d'Israël. Il leur dit: Ainsi parle l'Eternel, le Dieu d'Israël: Je vous ai fait monter d'Egypte, et je vous ai fait sortir de la maison de servitude.
Je vous ai délivrés de la main des Egyptiens et de la main de tous ceux qui vous opprimaient; je les ai chassés devant vous, et je vous ai donné leur pays.
Je vous ai dit: Je suis l'Eternel, votre Dieu; vous ne craindrez point les dieux des Amoréens, dans le pays desquels vous habitez. Mais vous n'avez point écouté ma voix.
Puis vint l'ange de l'Eternel, et il s'assit sous le térébinthe d'Ophra, qui appartenait à Joas, de la famille d'Abiézer. Gédéon, son fils, battait du froment au pressoir, pour le mettre à l'abri de Madian.
L'ange de l'Eternel lui apparut, et lui dit: L'Eternel est avec toi, vaillant héros!
Gédéon lui dit: Ah! mon seigneur, si l'Eternel est avec nous, pourquoi toutes ces choses nous sont-elles arrivées? Et où sont tous ces prodiges que nos pères nous racontent, quand ils disent: L'Eternel ne nous a-t-il pas fait monter hors d'Egypte? Maintenant l'Eternel nous abandonne, et il nous livre entre les mains de Madian!
L'Eternel se tourna vers lui, et dit: Va avec cette force que tu as, et délivre Israël de la main de Madian; n'est-ce pas moi qui t'envoie?
Gédéon lui dit: Ah! mon seigneur, avec quoi délivrerai-je Israël? Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé, et je suis le plus petit dans la maison de mon père.
L'Eternel lui dit: Mais je serai avec toi, et tu battras Madian comme un seul homme.
Gédéon lui dit: Si j'ai trouvé grâce à tes yeux, donne-moi un signe pour montrer que c'est toi qui me parles.
Ne t'éloigne point d'ici jusqu'à ce que je revienne auprès de toi, que j'apporte mon offrande, et que je la dépose devant toi. Et l'Eternel dit: Je resterai jusqu'à ce que tu reviennes.
Gédéon entra, prépara un chevreau, et fit avec un épha de farine des pains sans levain. Il mit la chair dans un panier et le jus dans un pot, les lui apporta sous le térébinthe, et les présenta.
L'ange de Dieu lui dit: Prends la chair et les pains sans levain, pose-les sur ce rocher, et répands le jus. Et il fit ainsi.
L'ange de l'Eternel avança l'extrémité du bâton qu'il avait à la main, et toucha la chair et les pains sans levain. Alors il s'éleva du rocher un feu qui consuma la chair et les pains sans levain. Et l'ange de l'Eternel disparut à ses yeux.
Gédéon, voyant que c'était l'ange de l'Eternel, dit: Malheur à moi, Seigneur Eternel! car j'ai vu l'ange de l'Eternel face à face.
Et l'Eternel lui dit: Sois en paix, ne crains point, tu ne mourras pas.
Gédéon bâtit là un autel à l'Eternel, et lui donna pour nom l'Eternel paix: il existe encore aujourd'hui à Ophra, qui appartenait à la famille d'Abiézer.
Dans la même nuit, l'Eternel dit à Gédéon: Prends le jeune taureau de ton père, et un second taureau de sept ans. Renverse l'autel de Baal qui est à ton père, et abats le pieu sacré qui est dessus.
Tu bâtiras ensuite et tu disposeras, sur le haut de ce rocher, un autel à l'Eternel ton Dieu. Tu prendras le second taureau, et tu offriras un holocauste, avec le bois de l'idole que tu auras abattue.
Gédéon prit dix hommes parmi ses serviteurs, et fit ce que l'Eternel avait dit; mais, comme il craignait la maison de son père et les gens de la ville, il l'exécuta de nuit, et non de jour.
Lorsque les gens de la ville se furent levés de bon matin, voici, l'autel de Baal était renversé, le pieu sacré placé dessus était abattu, et le second taureau était offert en holocauste sur l'autel qui avait été bâti.
Ils se dirent l'un à l'autre: Qui a fait cela? Et ils s'informèrent et firent des recherches. On leur dit: C'est Gédéon, fils de Joas, qui a fait cela.
Alors les gens de la ville dirent à Joas: Fais sortir ton fils, et qu'il meure, car il a renversé l'autel de Baal et abattu le pieu sacré qui était dessus.
Joas répondit à tous ceux qui se présentèrent à lui: Est-ce à vous de prendre parti pour Baal? est-ce à vous de venir à son secours? Quiconque prendra parti pour Baal mourra avant que le matin vienne. Si Baal est un dieu, qu'il plaide lui-même sa cause, puisqu'on a renversé son autel.
Et en ce jour l'on donna à Gédéon le nom de Jerubbaal, en disant: Que Baal plaide contre lui, puisqu'il a renversé son autel.
Tout Madian, Amalek et les fils de l'Orient, se rassemblèrent; ils passèrent le Jourdain, et campèrent dans la vallée de Jizréel.
Gédéon fut revêtu de l'esprit de l'Eternel; il sonna de la trompette, et Abiézer fut convoqué pour marcher à sa suite.
Il envoya des messagers dans tout Manassé, qui fut aussi convoqué pour marcher à sa suite. Il envoya des messagers dans Aser, dans Zabulon et dans Nephthali, qui montèrent à leur rencontre.
Gédéon dit à Dieu: Si tu veux délivrer Israël par ma main, comme tu l'as dit,
voici, je vais mettre une toison de laine dans l'aire; si la toison seule se couvre de rosée et que tout le terrain reste sec, je connaîtrai que tu délivreras Israël par ma main, comme tu l'as dit.
Et il arriva ainsi. Le jour suivant, il se leva de bon matin, pressa la toison, et en fit sortir la rosée, qui donna de l'eau plein une coupe.
Gédéon dit à Dieu: Que ta colère ne s'enflamme point contre moi, et je ne parlerai plus que cette fois: Je voudrais seulement faire encore une épreuve avec la toison: que la toison seule reste sèche, et que tout le terrain se couvre de rosée.
Et Dieu fit ainsi cette nuit-là. La toison seule resta sèche, et tout le terrain se couvrit de rosée.
Joseph est le rejeton d'un arbre fertile, Le rejeton d'un arbre fertile près d'une source; Les branches s'élèvent au-dessus de la muraille.
Ils l'ont provoqué, ils ont lancé des traits; Les archers l'ont poursuivi de leur haine.
Mais son arc est demeuré ferme, Et ses mains ont été fortifiées Par les mains du Puissant de Jacob: Il est ainsi devenu le berger, le rocher d'Israël.
Fils de Ruben, premier-né d'Israël. -Car il était le premier-né; mais, parce qu'il souilla la couche de son père, son droit d'aînesse fut donné aux fils de Joseph, fils d'Israël; toutefois Joseph ne dut pas être enregistré dans les généalogies comme premier-né.
Juda fut, à la vérité, puissant parmi ses frères, et de lui est issu un prince; mais le droit d'aînesse est à Joseph.
Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Voici les limites du pays que vous distribuerez en héritage aux douze tribus d'Israël. Joseph aura deux parts.
Son père refusa, et dit: Je le sais, mon fils, je le sais; lui aussi deviendra un peuple, lui aussi sera grand; mais son frère cadet sera plus grand que lui, et sa postérité deviendra une multitude de nations.
Benjamin est un loup qui déchire; Le matin, il dévore la proie, Et le soir, il partage le butin.
Dans ce temps où il n'y avait point de roi en Israël, un Lévite, qui séjournait à l'extrémité de la montagne d'Ephraïm, prit pour sa concubine une femme de Bethléhem de Juda.
Sa concubine lui fit infidélité, et elle le quitta pour aller dans la maison de son père à Bethléhem de Juda, où elle resta l'espace de quatre mois.
Son mari se leva et alla vers elle, pour parler à son coeur et la ramener. Il avait avec lui son serviteur et deux ânes. Elle le fit entrer dans la maison de son père; et quand le père de la jeune femme le vit, il le reçut avec joie.
Son beau-père, le père de la jeune femme, le retint trois jours chez lui. Ils mangèrent et burent, et ils y passèrent la nuit.
Le quatrième jour, ils se levèrent de bon matin, et le Lévite se disposait à partir. Mais le père de la jeune femme dit à son gendre: Prends un morceau de pain pour fortifier ton coeur; vous partirez ensuite.
Et ils s'assirent, et ils mangèrent et burent eux deux ensemble. Puis le père de la jeune femme dit au mari: Décide-toi donc à passer la nuit, et que ton coeur se réjouisse.
Le mari se levait pour s'en aller; mais, sur les instances de son beau-père, il passa encore la nuit.
Le cinquième jour, il se leva de bon matin pour partir. Alors le père de la jeune femme dit: Fortifie ton coeur, je te prie; et restez jusqu'au déclin du jour. Et ils mangèrent eux deux.
Le mari se levait pour s'en aller, avec sa concubine et son serviteur; mais son beau-père, le père de la jeune femme, lui dit: Voici, le jour baisse, il se fait tard, passez donc la nuit; voici, le jour est sur son déclin, passe ici la nuit, et que ton coeur se réjouisse; demain vous vous lèverez de bon matin pour vous mettre en route, et tu t'en iras à ta tente.
Le mari ne voulut point passer la nuit, il se leva et partit. Il arriva jusque devant Jebus, qui est Jérusalem, avec les deux ânes bâtés et avec sa concubine.
Lorsqu'ils furent près de Jebus, le jour avait beaucoup baissé. Le serviteur dit alors à son maître: Allons, dirigeons-nous vers cette ville des Jébusiens, et nous y passerons la nuit.
Son maître lui répondit: Nous n'entrerons pas dans une ville d'étrangers, où il n'y a point d'enfants d'Israël, nous irons jusqu'à Guibea.
Il dit encore à son serviteur: Allons, approchons-nous de l'un de ces lieux, Guibea ou Rama, et nous y passerons la nuit.
Ils continuèrent à marcher, et le soleil se coucha quand ils furent près de Guibea, qui appartient à Benjamin.
Ils se dirigèrent de ce côté pour aller passer la nuit à Guibea. Le Lévite entra, et il s'arrêta sur la place de la ville. Il n'y eut personne qui les reçût dans sa maison pour qu'ils y passassent la nuit.
Et voici, un vieillard revenait le soir de travailler aux champs; cet homme était de la montagne d'Ephraïm, il séjournait à Guibea, et les gens du lieu étaient Benjamites.
Il leva les yeux, et vit le voyageur sur la place de la ville. Et le vieillard lui dit: Où vas-tu, et d'où viens-tu?
Il lui répondit: Nous allons de Bethléhem de Juda jusqu'à l'extrémité de la montagne d'Ephraïm, d'où je suis. J'étais allé à Bethléhem de Juda, et je me rends à la maison de l'Eternel. Mais il n'y a personne qui me reçoive dans sa demeure.
Nous avons cependant de la paille et du fourrage pour nos ânes; nous avons aussi du pain et du vin pour moi, pour ta servante, et pour le garçon qui est avec tes serviteurs. Il ne nous manque rien.
Le vieillard dit: Que la paix soit avec toi! Je me charge de tous tes besoins, tu ne passeras pas la nuit sur la place.
Il les fit entrer dans sa maison, et il donna du fourrage aux ânes. Les voyageurs se lavèrent les pieds; puis ils mangèrent et burent.
Pendant qu'ils étaient à se réjouir, voici, les hommes de la ville, gens pervers, entourèrent la maison, frappèrent à la porte, et dirent au vieillard, maître de la maison: Fais sortir l'homme qui est entré chez toi, pour que nous le connaissions.
Le maître de la maison, se présentant à eux, leur dit: Non, mes frères, ne faites pas le mal, je vous prie; puisque cet homme est entré dans ma maison, ne commettez pas cette infamie.
Voici, j'ai une fille vierge, et cet homme a une concubine; je vous les amènerai dehors; vous les déshonorerez, et vous leur ferez ce qu'il vous plaira. Mais ne commettez pas sur cet homme une action aussi infâme.
Ces gens ne voulurent point l'écouter. Alors l'homme prit sa concubine, et la leur amena dehors. Ils la connurent, et ils abusèrent d'elle toute la nuit jusqu'au matin; puis ils la renvoyèrent au lever de l'aurore.
Vers le matin, cette femme alla tomber à l'entrée de la maison de l'homme chez qui était son mari, et elle resta là jusqu'au jour.
Et le matin, son mari se leva, ouvrit la porte de la maison, et sortit pour continuer son chemin. Mais voici, la femme, sa concubine, était étendue à l'entrée de la maison, les mains sur le seuil.
Il lui dit: Lève-toi, et allons-nous-en. Elle ne répondit pas. Alors le mari la mit sur un âne, et partit pour aller dans sa demeure.
Arrivé chez lui, il prit un couteau, saisit sa concubine, et la coupa membre par membre en douze morceaux, qu'il envoya dans tout le territoire d'Israël.
Tous ceux qui virent cela dirent: Jamais rien de pareil n'est arrivé et ne s'est vu depuis que les enfants d'Israël sont montés du pays d'Egypte jusqu'à ce jour; prenez la chose à coeur, consultez-vous, et parlez!
Ils se levèrent et s'avancèrent en nombre égal, douze pour Benjamin et pour Isch-Boscheth, fils de Saül, et douze des gens de David.
Chacun saisissant son adversaire par la tête lui enfonça son épée dans le flanc, et ils tombèrent tous ensemble. Et l'on donna à ce lieu, qui est près de Gabaon, le nom de Helkath-Hatsurim.
Les fils d'Ulam furent de vaillants hommes, tirant de l'arc; et ils eurent beaucoup de fils et de petits-fils, cent cinquante. Tous ceux-là sont des fils de Benjamin.
C'étaient des archers, lançant des pierres de la main droite et de la main gauche, et tirant des flèches avec leur arc: ils étaient de Benjamin, du nombre des frères de Saül.
De Benjamin: Eliada, vaillant homme, avec deux cent mille hommes armés de l'arc et du bouclier,
Les enfants d'Israël crièrent à l'Eternel, et l'Eternel leur suscita un libérateur, Ehud, fils de Guéra, Benjamite, qui ne se servait pas de la main droite. Les enfants d'Israël envoyèrent par lui un présent à Eglon, roi de Moab.
Ehud se fit une épée à deux tranchants, longue d'une coudée, et il la ceignit sous ses vêtements, au côté droit.
Il offrit le présent à Eglon, roi de Moab: or Eglon était un homme très gras.
Lorsqu'il eut achevé d'offrir le présent, il renvoya les gens qui l'avaient apporté.
Il revint lui-même depuis les carrières près de Guilgal, et il dit: O roi! j'ai quelque chose de secret à te dire. Le roi dit: Silence! Et tous ceux qui étaient auprès de lui sortirent.
Ehud l'aborda comme il était assis seul dans sa chambre d'été, et il dit: J'ai une parole de Dieu pour toi. Eglon se leva de son siège.
Alors Ehud avança la main gauche, tira l'épée de son côté droit, et la lui enfonça dans le ventre.
La poignée même entra après la lame, et la graisse se referma autour de la lame; car il ne retira pas du ventre l'épée, qui sortit par derrière.
Ehud sortit par le portique, ferma sur lui les portes de la chambre haute, et tira le verrou.
Il y avait un homme de Benjamin, nommé Kis, fils d'Abiel, fils de Tseror, fils de Becorath, fils d'Aphiach, fils d'un Benjamite. C'était un homme fort et vaillant.
Il avait un fils du nom de Saül, jeune et beau, plus beau qu'aucun des enfants d'Israël, et les dépassant tous de la tête.
Lorsque le fils de Saül apprit qu'Abner était mort à Hébron, ses mains restèrent sans force, et tout Israël fut dans l'épouvante.
Le fils de Saül avait deux chefs de bandes, dont l'un s'appelait Baana et l'autre Récab; ils étaient fils de Rimmon de Beéroth, d'entre les fils de Benjamin. -Car Beéroth était regardée comme faisant partie de Benjamin,
et les Beérothiens s'étaient enfuis à Guitthaïm, où ils ont habité jusqu'à ce jour.
Jonathan, fils de Saül, avait un fils perclus des pieds; et âgé de cinq ans lorsqu'arriva de Jizreel la nouvelle de la mort de Saül et de Jonathan; sa nourrice le prit et s'enfuit, et, comme elle précipitait sa fuite, il tomba et resta boiteux; son nom était Mephiboscheth.
Or les fils de Rimmon de Beéroth, Récab et Baana, se rendirent pendant la chaleur du jour à la maison d'Isch-Boscheth, qui était couché pour son repos de midi.
Ils pénétrèrent jusqu'au milieu de la maison, comme pour prendre du froment, et ils le frappèrent au ventre; puis Récab et Baana, son frère, se sauvèrent.
moi, circoncis le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d'Hébreux; quant à la loi, pharisien;
Qui est celui-ci qui vient d'Edom, De Botsra, en vêtements rouges, En habits éclatants, Et se redressant avec fierté dans la plénitude de sa force? -C'est moi qui ai promis le salut, Qui ai le pouvoir de délivrer. -
Pourquoi tes habits sont-ils rouges, Et tes vêtements comme les vêtements de celui qui foule dans la cuve? -
J'ai été seul à fouler au pressoir, Et nul homme d'entre les peuples n'était avec moi; Je les ai foulés dans ma colère, Je les ai écrasés dans ma fureur; Leur sang a jailli sur mes vêtements, Et j'ai souillé tous mes habits.