Pour toi, dis les choses qui sont conformes à la saine doctrine.
Dis que les vieillards doivent être sobres, honnêtes, modérés, sains dans la foi, dans la charité, dans la patience.
Dis que les femmes âgées doivent aussi avoir l'extérieur qui convient à la sainteté, n'être ni médisantes, ni adonnées au vin; qu'elles doivent donner de bonnes instructions,
dans le but d'apprendre aux jeunes femmes à aimer leurs maris et leurs enfants,
tre retenues, chastes, occupées aux soins domestiques, bonnes, soumises à leurs maris, afin que la parole de Dieu ne soit pas blasphémée.
Exhorte de même les jeunes gens à être modérés,
te montrant toi-même à tous égards un modèle de bonnes oeuvres, et donnant un enseignement pur, digne,
une parole saine, irréprochable, afin que l'adversaire soit confus, n'ayant aucun mal à dire de nous.
Exhorte les serviteurs à être soumis à leurs maîtres, à leur plaire en toutes choses, à n'être point contredisants,
ne rien dérober, mais à montrer toujours une parfaite fidélité, afin de faire honorer en tout la doctrine de Dieu notre Sauveur.
Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée.
Elle nous enseigne à renoncer à l'impiété et aux convoitises mondaines, et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété,
en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ,
qui s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes oeuvres.
Dis ces choses, exhorte, et reprends, avec une pleine autorité. Que personne ne te méprise.
Querverweise zu Titus 2,5 Tit 2,5
Il dit: Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu, et où vas-tu? Elle répondit: Je fuis loin de Saraï, ma maîtresse.
Il y avait à Joppé, parmi les disciples, une femme nommée Tabitha, ce qui signifie Dorcas: elle faisait beaucoup de bonnes oeuvres et d'aumônes.
Il dit à la femme: J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi.
Mais, parce que tu as fait blasphémer les ennemis de l'Eternel, en commettant cette action, le fils qui t'est né mourra.
L'ange de l'Eternel lui dit: Retourne vers ta maîtresse, et humilie-toi sous sa main.
Pierre se leva, et partit avec ces hommes. Lorsqu'il fut arrivé, on le conduisit dans la chambre haute. Toutes les veuves l'entourèrent en pleurant, et lui montrèrent les tuniques et les vêtements que faisait Dorcas pendant qu'elle était avec elles.
Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ.
Jusqu'à quand, ô Dieu! l'oppresseur outragera-t-il, L'ennemi méprisera-t-il sans cesse ton nom?
Alors ils lui dirent: Où est Sara, ta femme? Il répondit: Elle est là, dans la tente.
qu'elle soit recommandable par de bonnes oeuvres, ayant élevé des enfants, exercé l'hospitalité, lavé les pieds des saints, secouru les malheureux, pratiqué toute espèce de bonne oeuvre.
que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d'y parler; mais qu'elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi.
Car le nom de Dieu est à cause de vous blasphémé parmi les païens, comme cela est écrit.
Elle était bruyante et rétive; Ses pieds ne restaient point dans sa maison;
Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur;
car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur.
Or, de même que l'Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses.
Je veux donc que les jeunes se marient, qu'elles aient des enfants, qu'elles dirigent leur maison, qu'elles ne donnent à l'adversaire aucune occasion de médire;
Qui peut trouver une femme vertueuse? Elle a bien plus de valeur que les perles.
Le coeur de son mari a confiance en elle, Et les produits ne lui feront pas défaut.
Elle lui fait du bien, et non du mal, Tous les jours de sa vie.
Elle se procure de la laine et du lin, Et travaille d'une main joyeuse.
Elle est comme un navire marchand, Elle amène son pain de loin.
Elle se lève lorsqu'il est encore nuit, Et elle donne la nourriture à sa maison Et la tâche à ses servantes.
Elle pense à un champ, et elle l'acquiert; Du fruit de son travail elle plante une vigne.
Elle ceint de force ses reins, Et elle affermit ses bras.
Elle sent que ce qu'elle gagne est bon; Sa lampe ne s'éteint point pendant la nuit.
Elle met la main à la quenouille, Et ses doigts tiennent le fuseau.
Elle tend la main au malheureux, Elle tend la main à l'indigent.
Elle ne craint pas la neige pour sa maison, Car toute sa maison est vêtue de cramoisi.
Elle se fait des couvertures, Elle a des vêtements de fin lin et de pourpre.
Son mari est considéré aux portes, Lorsqu'il siège avec les anciens du pays.
Elle fait des chemises, et les vend, Et elle livre des ceintures au marchand.
Elle est revêtue de force et de gloire, Et elle se rit de l'avenir.
Elle ouvre la bouche avec sagesse, Et des instructions aimables sont sur sa langue.
Elle veille sur ce qui se passe dans sa maison, Et elle ne mange pas le pain de paresse.
Ses fils se lèvent, et la disent heureuse; Son mari se lève, et lui donne des louanges:
Plusieurs filles ont une conduite vertueuse; Mais toi, tu les surpasses toutes.
La grâce est trompeuse, et la beauté est vaine; La femme qui craint l'Eternel est celle qui sera louée.
Récompensez-la du fruit de son travail, Et qu'aux portes ses oeuvres la louent.
Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.
Que tous ceux qui sont sous le joug de la servitude regardent leurs maîtres comme dignes de tout honneur, afin que le nom de Dieu et la doctrine ne soient pas blasphémés.
Avec cela, étant oisives, elles apprennent à aller de maison en maison; et non seulement elles sont oisives, mais encore causeuses et intrigantes, disant ce qu'il ne faut pas dire.
Femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient dans le Seigneur.
Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission.
Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence.
Femmes, soyez de même soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n'obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes,
en voyant votre manière de vivre chaste et réservée.
Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d'or, ou les habits qu'on revêt,
mais la parure intérieure et cachée dans le coeur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible, qui est d'un grand prix devant Dieu.
Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris,