Malheur à ceux qui méditent l'iniquité et qui forgent le mal Sur leur couche! Au point du jour ils l'exécutent, Quand ils ont le pouvoir en main.
Ils convoitent des champs, et ils s'en emparent, Des maisons, et ils les enlèvent; Ils portent leur violence sur l'homme et sur sa maison, Sur l'homme et sur son héritage.
C'est pourquoi ainsi parle l'Eternel: Voici, je médite contre cette race un malheur; Vous n'en préserverez pas vos cous, Et vous ne marcherez pas la tête levée, Car ces temps seront mauvais.
En ce jour-là, on fera de vous un sujet de sarcasme, On poussera des cris lamentables, On dira: Nous sommes entièrement dévastés! Il donne à d'autres la part de mon peuple! Eh quoi! il me l'enlève! Il distribue nos champs à l'ennemi!...
C'est pourquoi tu n'auras personne Qui étende le cordeau sur un lot, Dans l'assemblée de l'Eternel. -
Ne prophétisez pas! disent-ils. Qu'on ne prophétise pas de telles choses! Les invectives n'ont point de fin! -
Oses-tu parler ainsi, maison de Jacob? L'Eternel est-il prompt à s'irriter? Est-ce là sa manière d'agir? Mes paroles ne sont-elles pas favorables A celui qui marche avec droiture?
Depuis longtemps on traite mon peuple en ennemi; Vous enlevez le manteau de dessus les vêtements De ceux qui passent avec sécurité En revenant de la guerre.
Vous chassez de leurs maisons chéries les femmes de mon peuple, Vous ôtez pour toujours ma parure à leurs enfants.
Levez-vous, marchez! car ce n'est point ici un lieu de repos; A cause de la souillure, il y aura des douleurs, des douleurs violentes.
Si un homme court après le vent et débite des mensonges: Je vais te prophétiser sur le vin, sur les boissons fortes! Ce sera pour ce peuple un prophète.
Je te rassemblerai tout entier, ô Jacob! Je rassemblerai les restes d'Israël, Je les réunirai comme les brebis d'une bergerie, Comme le troupeau dans son pâturage; Il y aura un grand bruit d'hommes.
Celui qui fera la brèche montera devant eux; Ils feront la brèche, franchiront la porte et en sortiront; Leur roi marchera devant eux, Et l'Eternel sera à leur tête.
Querverweise zu Micha 2,4 Mich 2,4
Balaam prononça son oracle, et dit: Balak m'a fait descendre d'Aram, Le roi de Moab m'a fait descendre des montagnes de l'Orient. -Viens, maudis-moi Jacob! Viens, sois irrité contre Israël!
Voici le cantique funèbre que David composa sur Saül et sur Jonathan, son fils,
Eh quoi! elle est assise solitaire, cette ville si peuplée! Elle est semblable à une veuve! Grande entre les nations, souveraine parmi les états, Elle est réduite à la servitude!
Elle pleure durant la nuit, et ses joues sont couvertes de larmes; De tous ceux qui l'aimaient nul ne la console; Tous ses amis lui sont devenus infidèles, Ils sont devenus ses ennemis.
Juda est en exil, victime de l'oppression et d'une grande servitude; Il habite au milieu des nations, Et il n'y trouve point de repos; Tous ses persécuteurs l'ont surpris dans l'angoisse.
Les chemins de Sion sont dans le deuil, car on ne va plus aux fêtes; Toutes ses portes sont désertes, Ses sacrificateurs gémissent, Ses vierges sont affligées, et elle est remplie d'amertume.
Ses oppresseurs triomphent, ses ennemis sont en paix; Car l'Eternel l'a humiliée, A cause de la multitude de ses péchés; Ses enfants ont marché captifs devant l'oppresseur.
et tu tâtonneras en plein midi comme l'aveugle dans l'obscurité, tu n'auras point de succès dans tes entreprises, et tu seras tous les jours opprimé, dépouillé, et il n'y aura personne pour venir à ton secours.
Levez-vous, marchez! car ce n'est point ici un lieu de repos; A cause de la souillure, il y aura des douleurs, des douleurs violentes.
Balaam prononça son oracle, et dit: Lève-toi, Balak, écoute! Prête-moi l'oreille, fils de Tsippor!
Jérémie fit une complainte sur Josias; tous les chanteurs et toutes les chanteuses ont parlé de Josias dans leurs complaintes jusqu'à ce jour, et en ont établi la coutume en Israël. Ces chants sont écrits dans les Complaintes.
Il le déploya devant moi, et il était écrit en dedans et en dehors; des lamentations, des plaintes et des gémissements y étaient écrits.
Je dis: Jusqu'à quand, Seigneur? Et il répondit: Jusqu'à ce que les villes soient dévastées Et privées d'habitants; Jusqu'à ce qu'il n'y ait personne dans les maisons, Et que le pays soit ravagé par la solitude;
Je t'amènerai un nouveau maître, habitante de Maréscha; La gloire d'Israël s'en ira jusqu'à Adullam.
Balaam prononça son oracle, et dit: Parole de Balaam, fils de Beor, Parole de l'homme qui a l'oeil ouvert,
Sur les montagnes je veux pleurer et gémir, Sur les plaines du désert je prononce une complainte; Car elles sont brûlées, personne n'y passe, On n'y entend plus la voix des troupeaux; Les oiseaux du ciel et les bêtes ont pris la fuite, ont disparu. -
Le pays est dévasté, livré au pillage; Car l'Eternel l'a décrété.
jusqu'à ce que l'Eternel eût chassé Israël loin de sa face, comme il l'avait annoncé par tous ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, où il est resté jusqu'à ce jour.
Balaam prononça son oracle, et dit: Parole de Balaam, fils de Beor, Parole de l'homme qui a l'oeil ouvert,
Ainsi parle l'Eternel des armées: Cherchez, appelez les pleureuses, et qu'elles viennent! Envoyez vers les femmes habiles, et qu'elles viennent!
Qu'elles se hâtent de dire sur nous une complainte! Et que les larmes tombent de nos yeux, Que l'eau coule de nos paupières!
Car des cris lamentables se font entendre de Sion: Eh quoi! nous sommes détruits! Nous sommes couverts de honte! Il nous faut abandonner le pays! On a renversé nos demeures! -
Femmes, écoutez la parole de l'Eternel, Et que votre oreille saisisse ce que dit sa bouche! Apprenez à vos filles des chants lugubres, Enseignez-vous des complaintes les unes aux autres!
Car la mort est montée par nos fenêtres, Elle a pénétré dans nos palais; Elle extermine les enfants dans la rue, Les jeunes gens sur les places.
Car des cris lamentables se font entendre de Sion: Eh quoi! nous sommes détruits! Nous sommes couverts de honte! Il nous faut abandonner le pays! On a renversé nos demeures! -
Le roi d'Assyrie fit venir des gens de Babylone, de Cutha, d'Avva, de Hamath et de Sepharvaïm, et les établit dans les villes de Samarie à la place des enfants d'Israël. Ils prirent possession de Samarie, et ils habitèrent dans ses villes.
Job prit de nouveau la parole sous forme sentencieuse et dit:
Si je vais dans les champs, voici des hommes que le glaive a percés; Si j'entre dans la ville, voici des êtres que consume la faim; Le prophète même et le sacrificateur parcourent le pays, Sans savoir où ils vont.
j'enverrai chercher tous les peuples du septentrion, dit l'Eternel, et j'enverrai auprès de Nebucadnetsar, roi de Babylone, mon serviteur; je le ferai venir contre ce pays et contre ses habitants, et contre toutes ces nations à l'entour, afin de les dévouer par interdit, et d'en faire un objet de désolation et de moquerie, des ruines éternelles.
Je ferai cesser parmi eux les cris de réjouissance et les cris d'allégresse, les chants du fiancé et les chants de la fiancée, le bruit de la meule et la lumière de la lampe.
Tout ce pays deviendra une ruine, un désert, et ces nations seront asservies au roi de Babylone pendant soixante-dix ans.
Nebucadnetsar emmena captifs à Babylone ceux qui échappèrent à l'épée; et ils lui furent assujettis, à lui et à ses fils, jusqu'à la domination du royaume de Perse,
Alors tu prononceras ce chant sur le roi de Babylone, Et tu diras: Eh quoi! le tyran n'est plus! L'oppression a cessé!
Lamente-toi, comme la vierge qui se revêt d'un sac Pour pleurer l'ami de sa jeunesse!
Je détruirai tout sur la face de la terre, Dit l'Eternel.
afin que s'accomplît la parole de l'Eternel prononcée par la bouche de Jérémie; jusqu'à ce que le pays eût joui de ses sabbats, il se reposa tout le temps qu'il fut dévasté, jusqu'à l'accomplissement de soixante-dix ans.
Voici, tous ceux qui disent des proverbes, t'appliqueront ce proverbe: Telle mère, telle fille!
Sacrificateurs, ceignez-vous et pleurez! Lamentez-vous, serviteurs de l'autel! Venez, passez la nuit revêtus de sacs, Serviteurs de mon Dieu! Car offrandes et libations ont disparu de la maison de votre Dieu.
Pourquoi, ô Eternel, nous fais-tu errer loin de tes voies, Et endurcis-tu notre coeur contre ta crainte? Reviens, pour l'amour de tes serviteurs, Des tribus de ton héritage!
Ne sera-t-il pas pour tous un sujet de sarcasme, De railleries et d'énigmes? On dira: Malheur à celui qui accumule ce qui n'est pas à lui! Jusques à quand?... Malheur à celui qui augmente le fardeau de ses dettes!
Ecoutez cette parole, Cette complainte que je prononce sur vous, Maison d'Israël!
Ton peuple saint n'a possédé le pays que peu de temps; Nos ennemis ont foulé ton sanctuaire.
Ils cherchaient à se saisir de lui, mais ils craignaient la foule. Ils avaient compris que c'était pour eux que Jésus avait dit cette parabole. Et ils le quittèrent, et s'en allèrent.
Dans toutes les vignes on se lamentera, Lorsque je passerai au milieu de toi, dit l'Eternel.