Au chef des chantres. D'après Jeduthun. Psaume de David. Oui, c'est en Dieu que mon âme se confie; De lui vient mon salut.
Oui, c'est lui qui est mon rocher et mon salut; Ma haute retraite: je ne chancellerai guère.
Jusqu'à quand vous jetterez-vous sur un homme, Chercherez-vous tous à l'abattre, Comme une muraille qui penche, Comme une clôture qu'on renverse?
Ils conspirent pour le précipiter de son poste élevé; Ils prennent plaisir au mensonge; Ils bénissent de leur bouche, Et ils maudissent dans leur coeur. -Pause.
Oui, mon âme, confie-toi en Dieu! Car de lui vient mon espérance.
Oui, c'est lui qui est mon rocher et mon salut; Ma haute retraite: je ne chancellerai pas.
Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire; Le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, Répandez vos coeurs en sa présence! Dieu est notre refuge, -Pause.
Oui, vanité, les fils de l'homme! Mensonge, les fils de l'homme! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu'un souffle.
Ne vous confiez pas dans la violence, Et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine; Quand les richesses s'accroissent, N'y attachez pas votre coeur.
Dieu a parlé une fois; Deux fois j'ai entendu ceci: C'est que la force est à Dieu.
A toi aussi, Seigneur! la bonté; Car tu rends à chacun selon ses oeuvres.
Querverweise zu Psalm 62,4 Ps 62,4
Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Ces vaines pensées parmi les peuples?
Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils avec eux Contre l'Eternel et contre son oint? -
Brisons leurs liens, Délivrons-nous de leurs chaînes! -
Tu aimes le mal plutôt que le bien, Le mensonge plutôt que la droiture. -Pause.
Ne m'emporte pas avec les méchants et les hommes iniques, Qui parlent de paix à leur prochain et qui ont la malice dans le coeur.
Car il n'y a point de sincérité dans leur bouche; Leur coeur est rempli de malice, Leur gosier est un sépulcre ouvert, Et ils ont sur la langue des paroles flatteuses.
Le roi Hérode, ayant appris cela, fut troublé, et tout Jérusalem avec lui.
Je hais, je déteste le mensonge; J'aime ta loi.
Sa bouche est plus douce que la crème, Mais la guerre est dans son coeur; Ses paroles sont plus onctueuses que l'huile, Mais ce sont des épées nues.
Mais tu veux que la vérité soit au fond du coeur: Fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi!
Il assembla tous les principaux sacrificateurs et les scribes du peuple, et il s'informa auprès d'eux où devait naître le Christ.
Les yeux hautains, la langue menteuse, Les mains qui répandent le sang innocent,
Ils se mirent à observer Jésus; et ils envoyèrent des gens qui feignaient d'être justes, pour lui tendre des pièges et saisir de lui quelque parole, afin de le livrer au magistrat et à l'autorité du gouverneur.
Mais le Seigneur lui dit: Vous, pharisiens, vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et à l'intérieur vous êtes pleins de rapine et de méchanceté.
Alors Hérode, voyant qu'il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire, selon la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages.
Le juste hait les paroles mensongères; Le méchant se rend odieux et se couvre de honte.
Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur;
Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles.
Ils réjouissent le roi par leur méchanceté, Et les chefs par leurs mensonges.
Le même jour, les sadducéens, qui disent qu'il n'y a point de résurrection, vinrent auprès de Jésus, et lui firent cette question:
Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge.
Les pharisiens, ayant appris qu'il avait réduit au silence les sadducéens, se rassemblèrent,
Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font.
et l'un d'eux, docteur de la loi, lui fit cette question, pour l'éprouver:
Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge!
Alors les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple se réunirent dans la cour du souverain sacrificateur, appelé Caïphe;
et ils délibérèrent sur les moyens d'arrêter Jésus par ruse, et de le faire mourir.
Dès que le matin fut venu, tous les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple tinrent conseil contre Jésus, pour le faire mourir.
Alors les principaux sacrificateurs et les pharisiens assemblèrent le sanhédrin, et dirent: Que ferons-nous? Car cet homme fait beaucoup de miracles.
Si nous le laissons faire, tous croiront en lui, et les Romains viendront détruire et notre ville et notre nation.
L'un d'eux, Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là, leur dit: Vous n'y entendez rien;
vous ne réfléchissez pas qu'il est dans votre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas.
disant: Que ferons-nous à ces hommes? Car il est manifeste pour tous les habitants de Jérusalem qu'un miracle signalé a été accompli par eux, et nous ne pouvons pas le nier.
Mais, afin que la chose ne se répande pas davantage parmi le peuple, défendons-leur avec menaces de parler désormais à qui que ce soit en ce nom-là.
c'est toi qui as dit par le Saint-Esprit, par la bouche de notre père, ton serviteur David: Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Et ces vaines pensées parmi les peuples?
Les rois de la terre se sont soulevés, Et les princes se sont ligués Contre le Seigneur et contre son Oint.
En effet, contre ton saint serviteur Jésus, que tu as oint, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d'Israël,
pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient arrêté d'avance.