Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Ces vaines pensées parmi les peuples?
Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils avec eux Contre l'Eternel et contre son oint? -
Brisons leurs liens, Délivrons-nous de leurs chaînes! -
Celui qui siège dans les cieux rit, Le Seigneur se moque d'eux.
Puis il leur parle dans sa colère, Il les épouvante dans sa fureur:
C'est moi qui ai oint mon roi Sur Sion, ma montagne sainte!
Je publierai le décret; L'Eternel m'a dit: Tu es mon fils! Je t'ai engendré aujourd'hui.
Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, Les extrémités de la terre pour possession;
Tu les briseras avec une verge de fer, Tu les briseras comme le vase d'un potier.
Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse! Juges de la terre, recevez instruction!
Servez l'Eternel avec crainte, Et réjouissez-vous avec tremblement.
Baisez le fils, de peur qu'il ne s'irrite, Et que vous ne périssiez dans votre voie, Car sa colère est prompte à s'enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui!
Querverweise zu Psalm 2,1 Ps 2,1
Je les broie comme la poussière qu'emporte le vent, Je les foule comme la boue des rues.
La fête des pains sans levain, appelée la Pâque, approchait.
Mais, quand les vignerons virent le fils, ils dirent entre eux: Voici l'héritier; venez, tuons-le, et emparons-nous de son héritage.
Des nations s'agitent, des royaumes s'ébranlent; Il fait entendre sa voix: la terre se fond d'épouvante.
Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchaient les moyens de faire mourir Jésus; car ils craignaient le peuple.
L'un d'eux, Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là, leur dit: Vous n'y entendez rien;
Venez, disent-ils, exterminons-les du milieu des nations, Et qu'on ne se souvienne plus du nom d'Israël!
Ils se concertent tous d'un même coeur, Ils font une alliance contre toi;
Les tentes d'Edom et les Ismaélites, Moab et les Hagaréniens,
Guebal, Ammon, Amalek, Les Philistins avec les habitants de Tyr;
L'Assyrie aussi se joint à eux, Elle prête son bras aux enfants de Lot. Pause.
Ils furent dans la joie, et ils convinrent de lui donner de l'argent.
vous ne réfléchissez pas qu'il est dans votre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple, et que la nation entière ne périsse pas.
Poussez des cris de guerre, peuples! et vous serez brisés; Prêtez l'oreille, vous tous qui habitez au loin! Préparez-vous au combat, et vous serez brisés; Préparez-vous au combat, et vous serez brisés.
Le Fils de l'homme s'en va selon ce qui est déterminé. Mais malheur à l'homme par qui il est livré!
Furieux de ces paroles, ils voulaient les faire mourir.
Car il sera livré aux païens; on se moquera de lui, on l'outragera, on crachera sur lui,
Et ils commencèrent à se demander les uns aux autres qui était celui d'entre eux qui ferait cela.
Ils combattront contre l'agneau, et l'agneau les vaincra, parce qu'il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi.
c'est toi qui as dit par le Saint-Esprit, par la bouche de notre père, ton serviteur David: Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Et ces vaines pensées parmi les peuples?
La foule se souleva aussi contre eux, et les préteurs, ayant fait arracher leurs vêtements, ordonnèrent qu'on les battît de verges.
Mais les Juifs, jaloux prirent avec eux quelques méchants hommes de la populace, provoquèrent des attroupements, et répandirent l'agitation dans la ville. Ils se portèrent à la maison de Jason, et ils cherchèrent Paul et Silas, pour les amener vers le peuple.
Ne les ayant pas trouvés, ils traînèrent Jason et quelques frères devant les magistrats de la ville, en criant: Ces gens, qui ont bouleversé le monde, sont aussi venus ici,
Ces paroles les ayant remplis de colère, ils se mirent à crier: Grande est la Diane des Ephésiens!
Toute la ville fut dans la confusion. Ils se précipitèrent tous ensemble au théâtre, entraînant avec eux Gaïus et Aristarque, Macédoniens, compagnons de voyage de Paul.
Paul voulait se présenter devant le peuple, mais les disciples l'en empêchèrent;
quelques-uns même des Asiarques, qui étaient ses amis, envoyèrent vers lui, pour l'engager à ne pas se rendre au théâtre.
Les uns criaient d'une manière, les autres d'une autre, car le désordre régnait dans l'assemblée, et la plupart ne savaient pas pourquoi ils s'étaient réunis.