Louis Segond 1910
Versliste
Les moqueurs soufflent le feu dans la ville, Mais les sages calment la colère.
Si un homme sage conteste avec un insensé, Il aura beau se fâcher ou rire, la paix n'aura pas lieu.
Les hommes de sang haïssent l'homme intègre, Mais les hommes droits protègent sa vie.
L'insensé met en dehors toute sa passion, Mais le sage la contient.
Ecoutez donc la parole de l'Eternel, moqueurs, Vous qui dominez sur ce peuple de Jérusalem!
Joab traversa toutes les tribus d'Israël dans la direction d'Abel-Beth-Maaca, et tous les hommes d'élite se rassemblèrent et le suivirent.
Ils vinrent assiéger Schéba dans Abel-Beth-Maaca, et ils élevèrent contre la ville une terrasse qui atteignait le rempart. Tout le peuple qui était avec Joab sapait la muraille pour la faire tomber.
Alors une femme habile se mit à crier de la ville: Ecoutez, écoutez! Dites, je vous prie, à Joab: Approche jusqu'ici, je veux te parler!
Il s'approcha d'elle, et la femme dit: Es-tu Joab? Il répondit: Je le suis. Et elle lui dit: Ecoute les paroles de ta servante. Il répondit: J'écoute.
Et elle dit: Autrefois on avait coutume de dire: Que l'on consulte Abel! Et tout se terminait ainsi.
Je suis une des villes paisibles et fidèles en Israël; et tu cherches à faire périr une ville qui est une mère en Israël! Pourquoi détruirais-tu l'héritage de l'Eternel?
Joab répondit: Loin, loin de moi la pensée de détruire et de ruiner!
La chose n'est pas ainsi. Mais un homme de la montagne d'Ephraïm, nommé Schéba, fils de Bicri, a levé la main contre le roi David; livrez-le, lui seul, et je m'éloignerai de la ville. La femme dit à Joab: Voici, sa tête te sera jetée par la muraille.
Et la femme alla vers tout le peuple avec sa sagesse; et ils coupèrent la tête à Schéba, fils de Bicri, et la jetèrent à Joab. Joab sonna de la trompette; on se dispersa loin de la ville, et chacun s'en alla dans sa tente. Et Joab retourna à Jérusalem, vers le roi.
Un homme qui mérite d'être repris, et qui raidit le cou, Sera brisé subitement et sans remède.
Quand les justes se multiplient, le peuple est dans la joie; Quand le méchant domine, le peuple gémit.
Un homme qui aime la sagesse réjouit son père, Mais celui qui fréquente des prostituées dissipe son bien.
Un roi affermit le pays par la justice, Mais celui qui reçoit des présents le ruine.
Un homme qui flatte son prochain Tend un filet sous ses pas.
Il y a un piège dans le péché de l'homme méchant, Mais le juste triomphe et se réjouit.
Le juste connaît la cause des pauvres, Mais le méchant ne comprend pas la science.
Les moqueurs soufflent le feu dans la ville, Mais les sages calment la colère.
Si un homme sage conteste avec un insensé, Il aura beau se fâcher ou rire, la paix n'aura pas lieu.
Les hommes de sang haïssent l'homme intègre, Mais les hommes droits protègent sa vie.
L'insensé met en dehors toute sa passion, Mais le sage la contient.
Quand celui qui domine a égard aux paroles mensongères, Tous ses serviteurs sont des méchants.
Le pauvre et l'oppresseur se rencontrent; C'est l'Eternel qui éclaire les yeux de l'un et de l'autre.
Un roi qui juge fidèlement les pauvres Aura son trône affermi pour toujours.
La verge et la correction donnent la sagesse, Mais l'enfant livré à lui-même fait honte à sa mère.
Quand les méchants se multiplient, le péché s'accroît; Mais les justes contempleront leur chute.
Châtie ton fils, et il te donnera du repos, Et il procurera des délices à ton âme.
Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein; Heureux s'il observe la loi!
Ce n'est pas par des paroles qu'on châtie un esclave; Même s'il comprend, il n'obéit pas.
Si tu vois un homme irréfléchi dans ses paroles, Il y a plus à espérer d'un insensé que de lui.
Le serviteur qu'on traite mollement dès l'enfance Finit par se croire un fils.
Un homme colère excite des querelles, Et un furieux commet beaucoup de péchés.
L'orgueil d'un homme l'abaisse, Mais celui qui est humble d'esprit obtient la gloire.
Celui qui partage avec un voleur est ennemi de son âme; Il entend la malédiction, et il ne déclare rien.
La crainte des hommes tend un piège, Mais celui qui se confie en l'Eternel est protégé.
Beaucoup de gens recherchent la faveur de celui qui domine, Mais c'est l'Eternel qui fait droit à chacun.
L'homme inique est en abomination aux justes, Et celui dont la voie est droite est en abomination aux méchants.
mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande. Caïn fut très irrité, et son visage fut abattu.
Et l'Eternel dit à Caïn: Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu?
Certainement, si tu agis bien, tu relèveras ton visage, et si tu agis mal, le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi: mais toi, domine sur lui.
Cependant, Caïn adressa la parole à son frère Abel; mais, comme ils étaient dans les champs, Caïn se jeta sur son frère Abel, et le tua.
et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il? parce que ses oeuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes.
Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait.
Mais je vous dis, à vous qui m'écoutez: Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent,
Un homme qui mérite d'être repris, et qui raidit le cou, Sera brisé subitement et sans remède.
Quand les justes se multiplient, le peuple est dans la joie; Quand le méchant domine, le peuple gémit.
Un homme qui aime la sagesse réjouit son père, Mais celui qui fréquente des prostituées dissipe son bien.
Un roi affermit le pays par la justice, Mais celui qui reçoit des présents le ruine.
Un homme qui flatte son prochain Tend un filet sous ses pas.
Il y a un piège dans le péché de l'homme méchant, Mais le juste triomphe et se réjouit.
Le juste connaît la cause des pauvres, Mais le méchant ne comprend pas la science.
Les moqueurs soufflent le feu dans la ville, Mais les sages calment la colère.
Si un homme sage conteste avec un insensé, Il aura beau se fâcher ou rire, la paix n'aura pas lieu.
Les hommes de sang haïssent l'homme intègre, Mais les hommes droits protègent sa vie.
L'insensé met en dehors toute sa passion, Mais le sage la contient.
Quand celui qui domine a égard aux paroles mensongères, Tous ses serviteurs sont des méchants.
Le pauvre et l'oppresseur se rencontrent; C'est l'Eternel qui éclaire les yeux de l'un et de l'autre.
Un roi qui juge fidèlement les pauvres Aura son trône affermi pour toujours.
La verge et la correction donnent la sagesse, Mais l'enfant livré à lui-même fait honte à sa mère.
Quand les méchants se multiplient, le péché s'accroît; Mais les justes contempleront leur chute.
Châtie ton fils, et il te donnera du repos, Et il procurera des délices à ton âme.
Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein; Heureux s'il observe la loi!
Ce n'est pas par des paroles qu'on châtie un esclave; Même s'il comprend, il n'obéit pas.
Si tu vois un homme irréfléchi dans ses paroles, Il y a plus à espérer d'un insensé que de lui.
Le serviteur qu'on traite mollement dès l'enfance Finit par se croire un fils.
Un homme colère excite des querelles, Et un furieux commet beaucoup de péchés.
L'orgueil d'un homme l'abaisse, Mais celui qui est humble d'esprit obtient la gloire.
Celui qui partage avec un voleur est ennemi de son âme; Il entend la malédiction, et il ne déclare rien.
La crainte des hommes tend un piège, Mais celui qui se confie en l'Eternel est protégé.
Beaucoup de gens recherchent la faveur de celui qui domine, Mais c'est l'Eternel qui fait droit à chacun.
L'homme inique est en abomination aux justes, Et celui dont la voie est droite est en abomination aux méchants.