Louis Segond 1910
Versliste
Venez, chantons avec allégresse à l'Eternel! Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut.
Allons au-devant de lui avec des louanges, Faisons retentir des cantiques en son honneur!
Car l'Eternel est un grand Dieu, Il est un grand roi au-dessus de tous les dieux.
Il tient dans sa main les profondeurs de la terre, Et les sommets des montagnes sont à lui.
La mer est à lui, c'est lui qui l'a faite; La terre aussi, ses mains l'ont formée.
Venez, chantons avec allégresse à l'Eternel! Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut.
Allons au-devant de lui avec des louanges, Faisons retentir des cantiques en son honneur!
Car l'Eternel est un grand Dieu, Il est un grand roi au-dessus de tous les dieux.
Il tient dans sa main les profondeurs de la terre, Et les sommets des montagnes sont à lui.
La mer est à lui, c'est lui qui l'a faite; La terre aussi, ses mains l'ont formée.
Venez, prosternons-nous et humilions-nous, Fléchissons le genou devant l'Eternel, notre créateur!
Car il est notre Dieu, Et nous sommes le peuple de son pâturage, Le troupeau que sa main conduit... Oh! si vous pouviez écouter aujourd'hui sa voix!
N'endurcissez pas votre coeur, comme à Meriba, Comme à la journée de Massa, dans le désert,
Où vos pères me tentèrent, M'éprouvèrent, quoiqu'ils vissent mes oeuvres.
Pendant quarante ans j'eus cette race en dégoût, Et je dis: C'est un peuple dont le coeur est égaré; Ils ne connaissent pas mes voies.
Aussi je jurai dans ma colère: Ils n'entreront pas dans mon repos!
En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables,
Dieu des vengeances, Eternel! Dieu des vengeances, parais!
Venez, chantons avec allégresse à l'Eternel! Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut.
Allons au-devant de lui avec des louanges, Faisons retentir des cantiques en son honneur!
Car l'Eternel est un grand Dieu, Il est un grand roi au-dessus de tous les dieux.
Il tient dans sa main les profondeurs de la terre, Et les sommets des montagnes sont à lui.
La mer est à lui, c'est lui qui l'a faite; La terre aussi, ses mains l'ont formée.
Venez, prosternons-nous et humilions-nous, Fléchissons le genou devant l'Eternel, notre créateur!
Car il est notre Dieu, Et nous sommes le peuple de son pâturage, Le troupeau que sa main conduit... Oh! si vous pouviez écouter aujourd'hui sa voix!
N'endurcissez pas votre coeur, comme à Meriba, Comme à la journée de Massa, dans le désert,
Où vos pères me tentèrent, M'éprouvèrent, quoiqu'ils vissent mes oeuvres.
Pendant quarante ans j'eus cette race en dégoût, Et je dis: C'est un peuple dont le coeur est égaré; Ils ne connaissent pas mes voies.
Aussi je jurai dans ma colère: Ils n'entreront pas dans mon repos!
Chantez à l'Eternel un cantique nouveau! Chantez à l'Eternel, vous tous, habitants de la terre!
Chantez à l'Eternel, bénissez son nom, Annoncez de jour en jour son salut!
Racontez parmi les nations sa gloire, Parmi tous les peuples ses merveilles!
Car l'Eternel est grand et très digne de louange, Il est redoutable par-dessus tous les dieux;
Car tous les dieux des peuples sont des idoles, Et l'Eternel a fait les cieux.
La splendeur et la magnificence sont devant sa face, La gloire et la majesté sont dans son sanctuaire.
Familles des peuples, rendez à l'Eternel, Rendez à l'Eternel gloire et honneur!
Rendez à l'Eternel gloire pour son nom! Apportez des offrandes, et entrez dans ses parvis!
Prosternez-vous devant l'Eternel avec des ornements sacrés. Tremblez devant lui, vous tous, habitants de la terre!
Dites parmi les nations: L'Eternel règne; Aussi le monde est ferme, il ne chancelle pas; L'Eternel juge les peuples avec droiture.
Que les cieux se réjouissent, et que la terre soit dans l'allégresse, Que la mer retentisse avec tout ce qu'elle contient,
Que la campagne s'égaie avec tout ce qu'elle renferme, Que tous les arbres des forêts poussent des cris de joie,
Devant l'Eternel! Car il vient, Car il vient pour juger la terre; Il jugera le monde avec justice, Et les peuples selon sa fidélité.
Je le jure par moi-même, La vérité sort de ma bouche et ma parole ne sera point révoquée: Tout genou fléchira devant moi, Toute langue jurera par moi.
C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom,
afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre,
et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.
Je vis un autre ange puissant, qui descendait du ciel, enveloppé d'une nuée; au-dessus de sa tête était l'arc-en-ciel, et son visage était comme le soleil, et ses pieds comme des colonnes de feu.
Il tenait dans sa main un petit livre ouvert. Il posa son pied droit sur la mer, et son pied gauche sur la terre;
et il cria d'une voix forte, comme rugit un lion. Quand il cria, les sept tonnerres firent entendre leurs voix.
Et quand les sept tonnerres eurent fait entendre leurs voix, j'allais écrire; et j'entendis du ciel une voix qui disait: Scelle ce qu'ont dit les sept tonnerres, et ne l'écris pas.
Et l'ange, que je voyais debout sur la mer et sur la terre, leva sa main droite vers le ciel,
et jura par celui qui vit aux siècles des siècles, qui a créé le ciel et les choses qui y sont, la terre et les choses qui y sont, et la mer et les choses qui y sont, qu'il n'y aurait plus de temps,
mais qu'aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s'accomplirait, comme il l'a annoncé à ses serviteurs, les prophètes.
Et la voix, que j'avais entendue du ciel, me parla de nouveau, et dit: Va, prends le petit livre ouvert dans la main de l'ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre.
Et j'allai vers l'ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit: Prends-le, et avale-le; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel.
Je pris le petit livre de la main de l'ange, et je l'avalai; il fut dans ma bouche doux comme du miel, mais quand je l'eus avalé, mes entrailles furent remplies d'amertume.
Puis on me dit: Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois.
Je vis un autre ange puissant, qui descendait du ciel, enveloppé d'une nuée; au-dessus de sa tête était l'arc-en-ciel, et son visage était comme le soleil, et ses pieds comme des colonnes de feu.
Il tenait dans sa main un petit livre ouvert. Il posa son pied droit sur la mer, et son pied gauche sur la terre;
Eternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur! Mon Dieu, mon rocher, où je trouve un abri! Mon bouclier, la force qui me sauve, ma haute retraite!
L'Eternel dit à Moïse: Passe devant le peuple, et prends avec toi des anciens d'Israël; prends aussi dans ta main ta verge avec laquelle tu as frappé le fleuve, et marche!
Voici, je me tiendrai devant toi sur le rocher d'Horeb; tu frapperas le rocher, et il en sortira de l'eau, et le peuple boira. Et Moïse fit ainsi, aux yeux des anciens d'Israël.
et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ.
Souvenez-vous de ce qui s'est passé dès les temps anciens; Car je suis Dieu, et il n'y en a point d'autre, Je suis Dieu, et nul n'est semblable à moi.
Qui est comme toi parmi les dieux, ô Eternel? Qui est comme toi magnifique en sainteté, Digne de louanges, Opérant des prodiges?
Car, s'il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs,
Tu as mis toutes choses sous ses pieds. En effet, en lui soumettant toutes choses, Dieu n'a rien laissé qui ne lui fût soumis. Cependant, nous ne voyons pas encore maintenant que toutes choses lui soient soumises.
Levez vos yeux en haut, et regardez! Qui a créé ces choses? Qui fait marcher en ordre leur armée? Il les appelle toutes par leur nom; Par son grand pouvoir et par sa force puissante, Il n'en est pas une qui fasse défaut.
Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l'honneur et la puissance; car tu as créé toutes choses, et c'est par ta volonté qu'elles existent et qu'elles ont été créées.
C'est pourquoi je te traiterai de la même manière, Israël; Et puisque je te traiterai de la même manière, Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu, O Israël!
Mais souviens-toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse, avant que les jours mauvais arrivent et que les années s'approchent où tu diras: Je n'y prends point de plaisir;
Prière de Moïse, homme de Dieu. Seigneur! tu as été pour nous un refuge, De génération en génération.
Avant que les montagnes fussent nées, Et que tu eusses créé la terre et le monde, D'éternité en éternité tu es Dieu.
Tu fais rentrer les hommes dans la poussière, Et tu dis: Fils de l'homme, retournez!
Car mille ans sont, à tes yeux, Comme le jour d'hier, quand il n'est plus, Et comme une veille de la nuit.
Tu les emportes, semblables à un songe, Qui, le matin, passe comme l'herbe:
Elle fleurit le matin, et elle passe, On la coupe le soir, et elle sèche.
Nous sommes consumés par ta colère, Et ta fureur nous épouvante.
Tu mets devant toi nos iniquités, Et à la lumière de ta face nos fautes cachées.
Tous nos jours disparaissent par ton courroux; Nous voyons nos années s'évanouir comme un son.
Les jours de nos années s'élèvent à soixante-dix ans, Et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans; Et l'orgueil qu'ils en tirent n'est que peine et misère, Car il passe vite, et nous nous envolons.
Qui prend garde à la force de ta colère, Et à ton courroux, selon la crainte qui t'est due?
Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre coeur à la sagesse.
Reviens, Eternel! Jusques à quand?... Aie pitié de tes serviteurs!
Rassasie-nous chaque matin de ta bonté, Et nous serons toute notre vie dans la joie et l'allégresse.
Réjouis-nous autant de jours que tu nous as humiliés, Autant d'années que nous avons vu le malheur.
Que ton oeuvre se manifeste à tes serviteurs, Et ta gloire sur leurs enfants!
Que la grâce de l'Eternel, notre Dieu, soit sur nous! Affermis l'ouvrage de nos mains, Oui, affermis l'ouvrage de nos mains!
Avant que les montagnes fussent nées, Et que tu eusses créé la terre et le monde, D'éternité en éternité tu es Dieu.