Louis Segond 1910
Versliste
Cantique. Psaume d'Asaph. O Dieu, ne reste pas dans le silence! Ne te tais pas, et ne te repose pas, ô Dieu!
Car voici, tes ennemis s'agitent, Ceux qui te haïssent lèvent la tête.
Ils forment contre ton peuple des projets pleins de ruse, Et ils délibèrent contre ceux que tu protèges.
Venez, disent-ils, exterminons-les du milieu des nations, Et qu'on ne se souvienne plus du nom d'Israël!
Ils se concertent tous d'un même coeur, Ils font une alliance contre toi;
Les tentes d'Edom et les Ismaélites, Moab et les Hagaréniens,
Guebal, Ammon, Amalek, Les Philistins avec les habitants de Tyr;
L'Assyrie aussi se joint à eux, Elle prête son bras aux enfants de Lot. Pause.
Au chef des chantres. Sur Meurs pour le fils. Psaume de David. Je louerai l'Eternel de tout mon coeur, Je raconterai toutes tes merveilles.
Je ferai de toi le sujet de ma joie et de mon allégresse, Je chanterai ton nom, Dieu Très-Haut!
Mes ennemis reculent, Ils chancellent, ils périssent devant ta face.
Car tu soutiens mon droit et ma cause, Tu sièges sur ton trône en juste juge.
Tu châties les nations, tu détruis le méchant, Tu effaces leur nom pour toujours et à perpétuité.
Plus d'ennemis! Des ruines éternelles! Des villes que tu as renversées! Leur souvenir est anéanti.
L'Eternel règne à jamais, Il a dressé son trône pour le jugement;
Il juge le monde avec justice, Il juge les peuples avec droiture.
L'Eternel est un refuge pour l'opprimé, Un refuge au temps de la détresse.
Ceux qui connaissent ton nom se confient en toi. Car tu n'abandonnes pas ceux qui te cherchent, ô Eternel!
Chantez à l'Eternel, qui réside en Sion, Publiez parmi les peuples ses hauts faits!
Car il venge le sang et se souvient des malheureux, Il n'oublie pas leurs cris.
Aie pitié de moi, Eternel! Vois la misère où me réduisent mes ennemis, Enlève-moi des portes de la mort,
Afin que je publie toutes tes louanges, Dans les portes de la fille de Sion, Et que je me réjouisse de ton salut.
Les nations tombent dans la fosse qu'elles ont faite, Leur pied se prend au filet qu'elles ont caché.
L'Eternel se montre, il fait justice, Il enlace le méchant dans l'oeuvre de ses mains. -Jeu d'instruments. Pause.
Les méchants se tournent vers le séjour des morts, Toutes les nations qui oublient Dieu.
Car le malheureux n'est point oublié à jamais, L'espérance des misérables ne périt pas à toujours.
Lève-toi, ô Eternel! Que l'homme ne triomphe pas! Que les nations soient jugées devant ta face!
Frappe-les d'épouvante, ô Eternel! Que les peuples sachent qu'ils sont des hommes! -Pause.
Je ferai de toi le sujet de ma joie et de mon allégresse, Je chanterai ton nom, Dieu Très-Haut!
Car ainsi m'a parlé l'Eternel: Je regarde tranquillement de ma demeure, Par la chaleur brillante de la lumière, Et par la vapeur de la rosée, au temps de la chaude moisson.
De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant.
Puis il leur parle dans sa colère, Il les épouvante dans sa fureur:
Mais il jugera les pauvres avec équité, Et il prononcera avec droiture sur les malheureux de la terre; Il frappera la terre de sa parole comme d'une verge, Et du souffle de ses lèvres il fera mourir le méchant.
Oh! quelle rumeur de peuples nombreux! Ils mugissent comme mugit la mer. Quel tumulte de nations! Elles grondent comme grondent les eaux puissantes.
Ils portent l'arc et le javelot; Ils sont cruels, sans miséricorde; Leur voix mugit comme la mer; Ils sont montés sur des chevaux, Prêts à combattre comme un seul homme, Contre toi, fille de Sion!
Peut-être l'Eternel, ton Dieu, a-t-il entendu les paroles de Rabschaké, que le roi d'Assyrie, son maître, a envoyé pour insulter le Dieu vivant, et peut-être l'Eternel, ton Dieu, exercera-t-il ses châtiments à cause des paroles qu'il a entendues. Fais donc monter une prière pour le reste qui subsiste encore.
David dit au Philistin: Tu marches contre moi avec l'épée, la lance et le javelot; et moi, je marche contre toi au nom de l'Eternel des armées, du Dieu de l'armée d'Israël, que tu as insultée.
Tous les serviteurs du roi, qui se tenaient à la porte du roi, fléchissaient le genou et se prosternaient devant Haman, car tel était l'ordre du roi à son égard. Mais Mardochée ne fléchissait point le genou et ne se prosternait point.
Et les serviteurs du roi, qui se tenaient à la porte du roi, dirent à Mardochée: Pourquoi transgresses-tu l'ordre du roi?
Comme ils le lui répétaient chaque jour et qu'il ne les écoutait pas, ils en firent rapport à Haman, pour voir si Mardochée persisterait dans sa résolution; car il leur avait dit qu'il était Juif.
Et Haman vit que Mardochée ne fléchissait point le genou et ne se prosternait point devant lui. Il fut rempli de fureur;
mais il dédaigna de porter la main sur Mardochée seul, car on lui avait dit de quel peuple était Mardochée, et il voulut détruire le peuple de Mardochée, tous les Juifs qui se trouvaient dans tout le royaume d'Assuérus.
Ils dirent encore: Allons! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la face de toute la terre.
J'étais comme un agneau familier qu'on mène à la boucherie, Et j'ignorais les mauvais desseins qu'ils méditaient contre moi: Détruisons l'arbre avec son fruit! Retranchons-le de la terre des vivants, Et qu'on ne se souvienne plus de son nom! -
Il n'y a ni sagesse, ni intelligence, Ni conseil, en face de l'Eternel.
Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils avec eux Contre l'Eternel et contre son oint? -
Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête.
Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois.
Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur.
Voici la postérité d'Esaü, qui est Edom.
Esaü s'établit dans la montagne de Séir. Esaü, c'est Edom.
L'Eternel lui apparut dans la nuit, et dit: Je suis le Dieu d'Abraham, ton père; ne crains point, car je suis avec toi; je te bénirai, et je multiplierai ta postérité, à cause d'Abraham, mon serviteur.
Il bâtit là un autel, invoqua le nom de l'Eternel, et y dressa sa tente. Et les serviteurs d'Isaac y creusèrent un puits.
Abimélec vint de Guérar auprès de lui, avec Ahuzath, son ami, et Picol, chef de son armée.
Edom lui dit: Tu ne passeras point chez moi, sinon je sortirai à ta rencontre avec l'épée.
Les enfants d'Israël lui dirent: Nous monterons par la grande route; et, si nous buvons de ton eau, moi et mes troupeaux, j'en paierai le prix; je ne ferai que passer avec mes pieds, pas autre chose.
Il répondit: Tu ne passeras pas! Et Edom sortit à sa rencontre avec un peuple nombreux et à main forte.
Ainsi Edom refusa de donner passage à Israël par son territoire. Et Israël se détourna de lui.
Eternel, souviens-toi des enfants d'Edom, Qui, dans la journée de Jérusalem, Disaient: Rasez, rasez Jusqu'à ses fondements!
Ne repais pas ta vue du jour de ton frère, du jour de son malheur, Ne te réjouis pas sur les enfants de Juda au jour de leur ruine, Et n'ouvre pas une grande bouche au jour de la détresse!
N'entre pas dans les portes de mon peuple au jour de sa ruine, Ne repais pas ta vue de son malheur au jour de sa ruine, Et ne porte pas la main sur ses richesses au jour de sa ruine!
Ne te tiens pas au carrefour pour exterminer ses fuyards, Et ne livre pas ses réchappés au jour de la détresse!
Agar enfanta un fils à Abram; et Abram donna le nom d'Ismaël au fils qu'Agar lui enfanta.
Abram était âgé de quatre-vingt-six ans lorsqu'Agar enfanta Ismaël à Abram.
Voici la postérité d'Ismaël, fils d'Abraham, qu'Agar, l'Egyptienne, servante de Sara, avait enfanté à Abraham.
Voici les noms des fils d'Ismaël, par leurs noms, selon leurs générations: Nebajoth, premier-né d'Ismaël, Kédar, Adbeel, Mibsam,
Mischma, Duma, Massa,
Hadad, Théma, Jethur, Naphisch et Kedma.
Ce sont là les fils d'Ismaël; ce sont là leurs noms, selon leurs parcs et leurs enclos. Ils furent les douze chefs de leurs peuples.
Et voici les années de la vie d'Ismaël: cent trente-sept ans. Il expira et mourut, et il fut recueilli auprès de son peuple.
Ses fils habitèrent depuis Havila jusqu'à Schur, qui est en face de l'Egypte, en allant vers l'Assyrie. Il s'établit en présence de tous ses frères.
Les deux filles de Lot devinrent enceintes de leur père.
L'aînée enfanta un fils, qu'elle appela du nom de Moab: c'est le père des Moabites, jusqu'à ce jour.
Voici la postérité de Térach. Térach engendra Abram, Nachor et Haran. -Haran engendra Lot.
Moab dit aux anciens de Madian: Cette multitude va dévorer tout ce qui nous entoure, comme le boeuf broute la verdure des champs. Balak, fils de Tsippor, était alors roi de Moab.
Il envoya des messagers auprès de Balaam, fils de Beor, à Pethor sur le fleuve, dans le pays des fils de son peuple, afin de l'appeler et de lui dire: Voici, un peuple est sorti d'Egypte, il couvre la surface de la terre, et il habite vis-à-vis de moi.
Viens, je te prie, maudis-moi ce peuple, car il est plus puissant que moi; peut-être ainsi pourrai-je le battre et le chasserai-je du pays, car je sais que celui que tu bénis est béni, et que celui que tu maudis est maudit.
Les anciens de Moab et les anciens de Madian partirent, ayant avec eux des présents pour le devin. Ils arrivèrent auprès de Balaam, et lui rapportèrent les paroles de Balak.
Les enfants d'Israël firent encore ce qui déplaît à l'Eternel; et l'Eternel fortifia Eglon, roi de Moab, contre Israël, parce qu'ils avaient fait ce qui déplaît à l'Eternel.
Eglon réunit à lui les fils d'Ammon et les Amalécites, et il se mit en marche. Il battit Israël, et ils s'emparèrent de la ville des palmiers.
Et les enfants d'Israël furent asservis dix-huit ans à Eglon, roi de Moab.
Du temps de Saül, ils firent la guerre aux Hagaréniens, qui tombèrent entre leurs mains; et ils habitèrent dans leurs tentes, sur tout le côté oriental de Galaad.
La parole de l'Eternel me fut adressée, en ces mots:
Et toi, fils de l'homme, Prononce sur Tyr une complainte!
Tu diras à Tyr: O toi qui es assise au bord de la mer, Et qui trafiques avec les peuples d'un grand nombre d'îles! Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel: Tyr, tu disais: Je suis parfaite en beauté!
Ton territoire est au coeur des mers; Ceux qui t'ont bâtie t'ont rendue parfaite en beauté.
Avec des cyprès de Senir ils ont fait tous tes lambris; Ils ont pris des cèdres du Liban pour t'élever un mât;
Ils ont fabriqué tes rames avec des chênes de Basan, Et tes bancs avec de l'ivoire travaillé dans du buis, Et apporté des îles de Kittim.
Le fin lin d'Egypte avec des broderies Te servait de voiles et de pavillon; Des étoffes teintes en bleu et en pourpre des îles d'Elischa Formaient tes tentures.
Les habitants de Sidon et d'Arvad étaient tes rameurs, Et les plus experts du milieu de toi, ô Tyr, étaient tes pilotes.
Les anciens de Guebal et ses ouvriers habiles étaient chez toi, Pour réparer tes fissures; Tous les navires de la mer et leurs mariniers étaient chez toi, Pour faire l'échange de tes marchandises.
Ceux de Perse, de Lud et de Puth, servaient dans ton armée, C'étaient des hommes de guerre; Ils suspendaient chez toi le bouclier et le casque, Ils te donnaient de la splendeur.
Les enfants d'Arvad et tes guerriers garnissaient tes murs, Et de vaillants hommes occupaient tes tours; Ils suspendaient leurs boucliers à tous tes murs, Ils rendaient ta beauté parfaite.
Ceux de Tarsis trafiquaient avec toi, A cause de tous les biens que tu avais en abondance; D'argent, de fer, d'étain et de plomb, Ils pourvoyaient tes marchés.
Javan, Tubal et Méschec trafiquaient avec toi; Ils donnaient des esclaves et des ustensiles d'airain En échange de tes marchandises.
Ceux de la maison de Togarma Pourvoyaient tes marchés de chevaux, de cavaliers et de mulets.
Les enfants de Dedan trafiquaient avec toi; Le commerce de beaucoup d'îles passait par tes mains; On te payait avec des cornes d'ivoire et de l'ébène.
La Syrie trafiquait avec toi, A cause du grand nombre de tes produits; D'escarboucles, de pourpre, de broderies, De byssus, de corail et de rubis, Elle pourvoyait tes marchés.
Juda et le pays d'Israël trafiquaient avec toi; Ils donnaient le froment de Minnith, La pâtisserie, le miel, l'huile et le baume, En échange de tes marchandises.
Damas trafiquait avec toi, A cause du grand nombre de tes produits, A cause de tous les biens que tu avais en abondance; Elle te fournissait du vin de Helbon et de la laine blanche.
Vedan et Javan, depuis Uzal, Pourvoyaient tes marchés; Le fer travaillé, la casse et le roseau aromatique, Etaient échangés avec toi.
Dedan trafiquait avec toi En couvertures pour s'asseoir à cheval.
L'Arabie et tous les princes de Kédar trafiquaient avec toi, Et faisaient le commerce en agneaux, en béliers et en boucs.
Les marchands de Séba et de Raema trafiquaient avec toi; De tous les meilleurs aromates, De toute espèce de pierres précieuses et d'or, Ils pourvoyaient tes marchés.
Charan, Canné et Eden, Les marchands de Séba, d'Assyrie, de Kilmad, Trafiquaient avec toi;
Ils trafiquaient avec toi en belles marchandises, En manteaux teints en bleu, en broderies, En riches étoffes contenues dans des coffres Attachés avec des cordes, faits en bois de cèdre, Et amenés sur tes marchés.
Les navires de Tarsis naviguaient pour ton commerce; Tu étais au comble de la richesse et de la gloire, Au coeur des mers.
Tes rameurs t'ont fait voguer sur les grandes eaux: Un vent d'orient t'a brisée au coeur des mers.
Tes richesses, tes marchés et tes marchandises, Tes mariniers et tes pilotes, Ceux qui réparent tes fissures Et ceux qui s'occupent de ton commerce, Tous tes hommes de guerre qui sont chez toi Et toute la multitude qui est au milieu de toi Tomberont dans le coeur des mers, Au jour de ta chute.
Aux cris de tes pilotes, Les plages d'alentour trembleront;
Et tous ceux qui manient la rame descendront de leurs navires, Les mariniers, tous les pilotes de la mer. Ils se tiendront sur la terre;
Ils feront entendre leurs voix sur toi, Et pousseront des cris amers; Ils jetteront de la poussière sur leurs têtes Et se rouleront dans la cendre;
Ils se raseront la tête à cause de toi, Ils se revêtiront de sacs, Et ils pleureront sur toi dans l'amertume de leur âme, Avec une vive affliction.
Dans leur douleur, ils diront une complainte sur toi, Ils se lamenteront sur toi: Qui était comme Tyr, Comme cette ville détruite au milieu de la mer?
Quand tes produits sortaient des mers, Tu rassasiais un grand nombre de peuples; Par l'abondance de tes biens et de tes marchandises, Tu enrichissais les rois de la terre.
Et quand tu as été brisée par les mers, Quand tu as disparu dans les profondeurs des eaux, Tes marchandises et toute ta multitude Sont tombées avec toi.
Tous les habitants des îles sont dans la stupeur à cause de toi, Leurs rois sont saisis d'épouvante, Leur visage est bouleversé.
Les marchands parmi les peuples sifflent sur toi; Tu es réduite au néant, tu ne seras plus à jamais!
Les anciens de Guebal et ses ouvriers habiles étaient chez toi, Pour réparer tes fissures; Tous les navires de la mer et leurs mariniers étaient chez toi, Pour faire l'échange de tes marchandises.
Les deux filles de Lot devinrent enceintes de leur père.
La plus jeune enfanta aussi un fils, qu'elle appela du nom de Ben-Ammi: c'est le père des Ammonites, jusqu'à ce jour.
Les fils d'Ammon passèrent le Jourdain pour combattre aussi contre Juda, contre Benjamin et contre la maison d'Ephraïm. Et Israël fut dans une grande détresse.
Nachasch, l'Ammonite, vint assiéger Jabès en Galaad. Tous les habitants de Jabès dirent à Nachasch: Traite alliance avec nous, et nous te servirons.
Mais Nachasch, l'Ammonite, leur répondit: Je traiterai avec vous à la condition que je vous crève à tous l'oeil droit, et que j'imprime ainsi un opprobre sur tout Israël.
Les fils d'Ammon, voyant qu'ils s'étaient rendus odieux à David, firent enrôler à leur solde vingt mille hommes de pied chez les Syriens de Beth-Rehob et chez les Syriens de Tsoba, mille hommes chez le roi de Maaca, et douze mille hommes chez les gens de Tob.
Les fils d'Ammon sortirent, et se rangèrent en bataille à l'entrée de la porte; les Syriens de Tsoba et de Rehob, et les hommes de Tob et de Maaca, étaient à part dans la campagne.
J'ai entendu les injures de Moab Et les outrages des enfants d'Ammon, Quand ils insultaient mon peuple Et s'élevaient avec arrogance contre ses frontières.
C'est pourquoi, je suis vivant! dit l'Eternel des armées, le Dieu d'Israël, Moab sera comme Sodome, et les enfants d'Ammon comme Gomorrhe, Un lieu couvert de ronces, une mine de sel, un désert pour toujours; Le reste de mon peuple les pillera, Le reste de ma nation les possédera.
Cela leur arrivera pour leur orgueil, Parce qu'ils ont insulté et traité avec arrogance Le peuple de l'Eternel des armées.
Et Thimna était la concubine d'Eliphaz, fils d'Esaü: elle enfanta à Eliphaz Amalek. Ce sont là les fils d'Ada, femme d'Esaü.
le chef Koré, le chef Gaetham, le chef Amalek. Ce sont là les chefs issus d'Eliphaz, dans le pays d'Edom. Ce sont les fils d'Ada.
Amalek vint combattre Israël à Rephidim.
Alors Moïse dit à Josué: Choisis-nous des hommes, sors, et combats Amalek; demain je me tiendrai sur le sommet de la colline, la verge de Dieu dans ma main.
Josué fit ce que lui avait dit Moïse, pour combattre Amalek. Et Moïse, Aaron et Hur montèrent au sommet de la colline.
Lorsque Moïse élevait sa main, Israël était le plus fort; et lorsqu'il baissait sa main, Amalek était le plus fort.
Les mains de Moïse étant fatiguées, ils prirent une pierre qu'ils placèrent sous lui, et il s'assit dessus. Aaron et Hur soutenaient ses mains, l'un d'un côté, l'autre de l'autre; et ses mains restèrent fermes jusqu'au coucher du soleil.
Et Josué vainquit Amalek et son peuple, au tranchant de l'épée.
Souviens-toi de ce que te fit Amalek pendant la route, lors de votre sortie d'Egypte,
comment il te rencontra dans le chemin, et, sans aucune crainte de Dieu, tomba sur toi par derrière, sur tous ceux qui se traînaient les derniers, pendant que tu étais las et épuisé toi-même.
Après cela, David battit les Philistins et les humilia, et il enleva de la main des Philistins les rênes de leur capitale.
Hiram, roi de Tyr, envoya ses serviteurs vers Salomon, car il apprit qu'on l'avait oint pour roi à la place de son père, et il avait toujours aimé David.
Fils de l'homme, parce que Tyr a dit sur Jérusalem: Ah! ah! Elle est brisée, la porte des peuples! On se tourne vers moi, Je me remplirai, elle est déserte!
Nous sommes pressés de toute manière, mais non réduits à l'extrémité; dans la détresse, mais non dans le désespoir;