Cantique. Psaume d'Asaph. O Dieu, ne reste pas dans le silence! Ne te tais pas, et ne te repose pas, ô Dieu!
Car voici, tes ennemis s'agitent, Ceux qui te haïssent lèvent la tête.
Ils forment contre ton peuple des projets pleins de ruse, Et ils délibèrent contre ceux que tu protèges.
Venez, disent-ils, exterminons-les du milieu des nations, Et qu'on ne se souvienne plus du nom d'Israël!
Ils se concertent tous d'un même coeur, Ils font une alliance contre toi;
Les tentes d'Edom et les Ismaélites, Moab et les Hagaréniens,
Guebal, Ammon, Amalek, Les Philistins avec les habitants de Tyr;
L'Assyrie aussi se joint à eux, Elle prête son bras aux enfants de Lot. Pause.
Traite-les comme Madian, Comme Sisera, comme Jabin au torrent de Kison!
Ils ont été détruits à En-Dor, Ils sont devenus du fumier pour la terre.
Traite leurs chefs comme Oreb et Zeeb, Et tous leurs princes comme Zébach et Tsalmunna!
Car ils disent: Emparons-nous Des demeures de Dieu!
Mon Dieu! rends-les semblables au tourbillon, Au chaume qu'emporte le vent,
Au feu qui brûle la forêt, A la flamme qui embrase les montagnes!
Poursuis-les ainsi de ta tempête, Et fais-les trembler par ton ouragan!
Couvre leur face d'ignominie, Afin qu'ils cherchent ton nom, ô Eternel!
Qu'ils soient confus et épouvantés pour toujours, Qu'ils soient honteux et qu'ils périssent!
Qu'ils sachent que toi seul, dont le nom est l'Eternel, Tu es le Très-Haut sur toute la terre!
Querverweise zu Psalm 83,4 Ps 83,4
Allons! montrons-nous habiles à son égard; empêchons qu'il ne s'accroisse, et que, s'il survient une guerre, il ne se joigne à nos ennemis, pour nous combattre et sortir ensuite du pays.
mais il dédaigna de porter la main sur Mardochée seul, car on lui avait dit de quel peuple était Mardochée, et il voulut détruire le peuple de Mardochée, tous les Juifs qui se trouvaient dans tout le royaume d'Assuérus.
Au premier mois, qui est le mois de Nisan, la douzième année du roi Assuérus, on jeta le pur, c'est-à-dire le sort, devant Haman, pour chaque jour et pour chaque mois, jusqu'au douzième mois, qui est le mois d'Adar.
Alors Haman dit au roi Assuérus: Il y a dans toutes les provinces de ton royaume un peuple dispersé et à part parmi les peuples, ayant des lois différentes de celles de tous les peuples et n'observant point les lois du roi. Il n'est pas dans l'intérêt du roi de le laisser en repos.
Si le roi le trouve bon, qu'on écrive l'ordre de les faire périr; et je pèserai dix mille talents d'argent entre les mains des fonctionnaires, pour qu'on les porte dans le trésor du roi.
Engloutissons-les tout vifs, comme le séjour des morts, Et tout entiers, comme ceux qui descendent dans la fosse;
J'étais comme un agneau familier qu'on mène à la boucherie, Et j'ignorais les mauvais desseins qu'ils méditaient contre moi: Détruisons l'arbre avec son fruit! Retranchons-le de la terre des vivants, Et qu'on ne se souvienne plus de son nom! -
Si ces lois viennent à cesser devant moi, dit l'Eternel, La race d'Israël aussi cessera pour toujours d'être une nation devant moi.
Il prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps.
Le lendemain, qui était le jour après la préparation, les principaux sacrificateurs et les pharisiens allèrent ensemble auprès de Pilate,
et dirent: Seigneur, nous nous souvenons que cet imposteur a dit, quand il vivait encore: Après trois jours je ressusciterai.
Ordonne donc que le sépulcre soit gardé jusqu'au troisième jour, afin que ses disciples ne viennent pas dérober le corps, et dire au peuple: Il est ressuscité des morts. Cette dernière imposture serait pire que la première.
Pilate leur dit: Vous avez une garde; allez, gardez-le comme vous l'entendrez.
Ils s'en allèrent, et s'assurèrent du sépulcre au moyen de la garde, après avoir scellé la pierre.
Mais, afin que la chose ne se répande pas davantage parmi le peuple, défendons-leur avec menaces de parler désormais à qui que ce soit en ce nom-là.
Cependant Saul, respirant encore la menace et le meurtre contre les disciples du Seigneur, se rendit chez le souverain sacrificateur,
et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin que, s'il trouvait des partisans de la nouvelle doctrine, hommes ou femmes, il les amenât liés à Jérusalem.