Louis Segond 1910
Versliste
Mon âme observe tes préceptes, Et je les aime beaucoup.
L'Eternel dit à Moïse et à Aaron dans le pays d'Egypte:
Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois; il sera pour vous le premier des mois de l'année.
Parlez à toute l'assemblée d'Israël, et dites: Le dixième jour de ce mois, on prendra un agneau pour chaque famille, un agneau pour chaque maison.
Si la maison est trop peu nombreuse pour un agneau, on le prendra avec son plus proche voisin, selon le nombre des personnes; vous compterez pour cet agneau d'après ce que chacun peut manger.
Ce sera un agneau sans défaut, mâle, âgé d'un an; vous pourrez prendre un agneau ou un chevreau.
Vous le garderez jusqu'au quatorzième jour de ce mois; et toute l'assemblée d'Israël l'immolera entre les deux soirs.
On prendra de son sang, et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau de la porte des maisons où on le mangera.
Cette même nuit, on en mangera la chair, rôtie au feu; on la mangera avec des pains sans levain et des herbes amères.
Vous ne le mangerez point à demi cuit et bouilli dans l'eau; mais il sera rôti au feu, avec la tête, les jambes et l'intérieur.
Vous n'en laisserez rien jusqu'au matin; et, s'il en reste quelque chose le matin, vous le brûlerez au feu.
Quand vous le mangerez, vous aurez vos reins ceints, vos souliers aux pieds, et votre bâton à la main; et vous le mangerez à la hâte. C'est la Pâque de l'Eternel.
Cette nuit-là, je passerai dans le pays d'Egypte, et je frapperai tous les premiers-nés du pays d'Egypte, depuis les hommes jusqu'aux animaux, et j'exercerai des jugements contre tous les dieux de l'Egypte. Je suis l'Eternel.
Le sang vous servira de signe sur les maisons où vous serez; je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous, et il n'y aura point de plaie qui vous détruise, quand je frapperai le pays d'Egypte.
Vous conserverez le souvenir de ce jour, et vous le célébrerez par une fête en l'honneur de l'Eternel; vous le célébrerez comme une loi perpétuelle pour vos descendants.
Pendant sept jours, vous mangerez des pains sans levain. Dès le premier jour, il n'y aura plus de levain dans vos maisons; car toute personne qui mangera du pain levé, du premier jour au septième jour, sera retranchée d'Israël.
Le premier jour, vous aurez une sainte convocation; et le septième jour, vous aurez une sainte convocation. On ne fera aucun travail ces jours-là; vous pourrez seulement préparer la nourriture de chaque personne.
Vous observerez la fête des pains sans levain, car c'est en ce jour même que j'aurai fait sortir vos armées du pays d'Egypte; vous observerez ce jour comme une loi perpétuelle pour vos descendants.
Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au soir, vous mangerez des pains sans levain jusqu'au soir du vingt et unième jour.
Pendant sept jours, il ne se trouvera point de levain dans vos maisons; car toute personne qui mangera du pain levé sera retranchée de l'assemblée d'Israël, que ce soit un étranger ou un indigène.
Vous ne mangerez point de pain levé; dans toutes vos demeures, vous mangerez des pains sans levain.
Moïse appela tous les anciens d'Israël, et leur dit: Allez prendre du bétail pour vos familles, et immolez la Pâque.
Vous prendrez ensuite un bouquet d'hysope, vous le tremperez dans le sang qui sera dans le bassin, et vous toucherez le linteau et les deux poteaux de la porte avec le sang qui sera dans le bassin. Nul de vous ne sortira de sa maison jusqu'au matin.
Quand l'Eternel passera pour frapper l'Egypte, et verra le sang sur le linteau et sur les deux poteaux, l'Eternel passera par-dessus la porte, et il ne permettra pas au destructeur d'entrer dans vos maisons pour frapper.
Vous observerez cela comme une loi pour vous et pour vos enfants à perpétuité.
Quand vous serez entrés dans le pays que l'Eternel vous donnera, selon sa promesse, vous observerez cet usage sacré.
Et lorsque vos enfants vous diront: Que signifie pour vous cet usage?
vous répondrez: C'est le sacrifice de Pâque en l'honneur de l'Eternel, qui a passé par-dessus les maisons des enfants d'Israël en Egypte, lorsqu'il frappa l'Egypte et qu'il sauva nos maisons. Le peuple s'inclina et se prosterna.
Et les enfants d'Israël s'en allèrent, et firent ce que l'Eternel avait ordonné à Moïse et à Aaron; ils firent ainsi.
Au milieu de la nuit, l'Eternel frappa tous les premiers-nés dans le pays d'Egypte, depuis le premier-né de Pharaon assis sur son trône, jusqu'au premier-né du captif dans sa prison, et jusqu'à tous les premiers-nés des animaux.
Pharaon se leva de nuit, lui et tous ses serviteurs, et tous les Egyptiens; et il y eut de grands cris en Egypte, car il n'y avait point de maison où il n'y eût un mort.
Dans la nuit même, Pharaon appela Moïse et Aaron, et leur dit: Levez-vous, sortez du milieu de mon peuple, vous et les enfants d'Israël. Allez, servez l'Eternel, comme vous l'avez dit.
Prenez vos brebis et vos boeufs, comme vous l'avez dit; allez, et bénissez-moi.
Les Egyptiens pressaient le peuple, et avaient hâte de le renvoyer du pays, car ils disaient: Nous périrons tous.
Le peuple emporta sa pâte avant qu'elle fût levée. Ils enveloppèrent les pétrins dans leurs vêtements, et les mirent sur leurs épaules.
Les enfants d'Israël firent ce que Moïse avait dit, et ils demandèrent aux Egyptiens des vases d'argent, des vases d'or et des vêtements.
L'Eternel fit trouver grâce au peuple aux yeux des Egyptiens, qui se rendirent à leur demande. Et ils dépouillèrent les Egyptiens.
Les enfants d'Israël partirent de Ramsès pour Succoth au nombre d'environ six cent mille hommes de pied, sans les enfants.
Une multitude de gens de toute espèce montèrent avec eux; ils avaient aussi des troupeaux considérables de brebis et de boeufs.
Ils firent des gâteaux cuits sans levain avec la pâte qu'ils avaient emportée d'Egypte, et qui n'était pas levée; car ils avaient été chassés d'Egypte, sans pouvoir tarder, et sans prendre des provisions avec eux.
Le séjour des enfants d'Israël en Egypte fut de quatre cent trente ans.
Et au bout de quatre cent trente ans, le jour même, toutes les armées de l'Eternel sortirent du pays d'Egypte.
Cette nuit sera célébrée en l'honneur de l'Eternel, parce qu'il les fit sortir du pays d'Egypte; cette nuit sera célébrée en l'honneur de l'Eternel par tous les enfants d'Israël et par leurs descendants.
L'Eternel dit à Moïse et à Aaron: Voici une ordonnance au sujet de la Pâque: Aucun étranger n'en mangera.
Tu circonciras tout esclave acquis à prix d'argent; alors il en mangera.
L'habitant et le mercenaire n'en mangeront point.
On ne la mangera que dans la maison; vous n'emporterez point de chair hors de la maison, et vous ne briserez aucun os.
Toute l'assemblée d'Israël fera la Pâque.
Si un étranger en séjour chez toi veut faire la Pâque de l'Eternel, tout mâle de sa maison devra être circoncis; alors il s'approchera pour la faire, et il sera comme l'indigène; mais aucun incirconcis n'en mangera.
La même loi existera pour l'indigène comme pour l'étranger en séjour au milieu de vous.
Tous les enfants d'Israël firent ce que l'Eternel avait ordonné à Moïse et à Aaron; ils firent ainsi.
Et ce même jour l'Eternel fit sortir du pays d'Egypte les enfants d'Israël, selon leurs armées.
Le sang vous servira de signe sur les maisons où vous serez; je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous, et il n'y aura point de plaie qui vous détruise, quand je frapperai le pays d'Egypte.
Puis il cria d'une voix forte à mes oreilles: Approchez, vous qui devez châtier la ville, chacun son instrument de destruction à la main!
Et voici, six hommes arrivèrent par le chemin de la porte supérieure du côté du septentrion, chacun son instrument de destruction à la main. Il y avait au milieu d'eux un homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture. Ils vinrent se placer près de l'autel d'airain.
La gloire du Dieu d'Israël s'éleva du chérubin sur lequel elle était, et se dirigea vers le seuil de la maison; et il appela l'homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture.
L'Eternel lui dit: Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s'y commettent.
Et, à mes oreilles, il dit aux autres: Passez après lui dans la ville, et frappez; que votre oeil soit sans pitié, et n'ayez point de miséricorde!
Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque; et commencez par mon sanctuaire! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison.
Il leur dit: Souillez la maison, et remplissez de morts les parvis!... Sortez!... Ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville.
Comme ils frappaient, et que je restais encore, je tombai sur ma face, et je m'écriai: Ah! Seigneur Eternel, détruiras-tu tout ce qui reste d'Israël, en répandant ta fureur sur Jérusalem?
Il me répondit: L'iniquité de la maison d'Israël et de Juda est grande, excessive; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d'injustice, car ils disent: L'Eternel a abandonné le pays, l'Eternel ne voit rien.
Moi aussi, je serai sans pitié, et je n'aurai point de miséricorde; je ferai retomber leurs oeuvres sur leur tête.
Et voici, l'homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture, rendit cette réponse: J'ai fait ce que tu m'as ordonné.
L'Eternel lui dit: Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s'y commettent.
Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean,
lequel a attesté la parole de Dieu et le témoignage de Jésus-Christ, tout ce qu'il a vu.
Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites! Car le temps est proche.
Jean aux sept Eglises qui sont en Asie: que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône,
et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang,
et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! Amen!
Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen!
Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant.
Moi Jean, votre frère, et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et à la persévérance en Jésus, j'étais dans l'île appelée Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus.
Je fus ravi en esprit au jour du Seigneur, et j'entendis derrière moi une voix forte, comme le son d'une trompette,
qui disait: Ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Eglises, à Ephèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée.
Je me retournai pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et, après m'être retourné, je vis sept chandeliers d'or,
et, au milieu des sept chandeliers, quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, vêtu d'une longue robe, et ayant une ceinture d'or sur la poitrine.
Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige; ses yeux étaient comme une flamme de feu;
ses pieds étaient semblables à de l'airain ardent, comme s'il eût été embrasé dans une fournaise; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux.
Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants; et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force.
Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! Je suis le premier et le dernier,
et le vivant. J'étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts.
Ecris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont, et celles qui doivent arriver après elles,
le mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite, et des sept chandeliers d'or. Les sept étoiles sont les anges des sept Eglises, et les sept chandeliers sont les sept Eglises.
Quand il ouvrit le septième sceau, il y eut dans le ciel un silence d'environ une demi-heure.
Et je vis les sept anges qui se tiennent devant Dieu, et sept trompettes leur furent données.
Et un autre ange vint, et il se tint sur l'autel, ayant un encensoir d'or; on lui donna beaucoup de parfums, afin qu'il les offrît, avec les prières de tous les saints, sur l'autel d'or qui est devant le trône.
La fumée des parfums monta, avec les prières des saints, de la main de l'ange devant Dieu.
Et l'ange prit l'encensoir, le remplit du feu de l'autel, et le jeta sur la terre. Et il y eut des voix, des tonnerres, des éclairs, et un tremblement de terre.
Et les sept anges qui avaient les sept trompettes se préparèrent à en sonner.
Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés sur la terre; et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée.
Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer; et le tiers de la mer devint du sang,
et le tiers des créatures qui étaient dans la mer et qui avaient vie mourut, et le tiers des navires périt.
Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux.
Le nom de cette étoile est Absinthe; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères.
Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même.
Je regardai, et j'entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d'une voix forte: Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de la trompette des trois anges qui vont sonner!
On me donna un roseau semblable à une verge, en disant: Lève-toi, et mesure le temple de Dieu, l'autel, et ceux qui y adorent.
Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois.
Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours.
Ce sont les deux oliviers et les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre.
Si quelqu'un veut leur faire du mal, du feu sort de leur bouche et dévore leurs ennemis; et si quelqu'un veut leur faire du mal, il faut qu'il soit tué de cette manière.
Ils ont le pouvoir de fermer le ciel, afin qu'il ne tombe point de pluie pendant les jours de leur prophétie; et ils ont le pouvoir de changer les eaux en sang, et de frapper la terre de toute espèce de plaie, chaque fois qu'ils le voudront.
Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera.
Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié.
Des hommes d'entre les peuples, les tribus, les langues, et les nations, verront leurs cadavres pendant trois jours et demi, et ils ne permettront pas que leurs cadavres soient mis dans un sépulcre.
Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre.
Après les trois jours et demi, un esprit de vie, venant de Dieu, entra en eux, et ils se tinrent sur leurs pieds; et une grande crainte s'empara de ceux qui les voyaient.
Et ils entendirent du ciel une voix qui leur disait: Montez ici! Et ils montèrent au ciel dans la nuée; et leurs ennemis les virent.
A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel.
Le second malheur est passé. Voici, le troisième malheur vient bientôt.
Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient: Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ; et il régnera aux siècles des siècles.
Et les vingt-quatre vieillards, qui étaient assis devant Dieu sur leurs trônes, se prosternèrent sur leurs faces, et ils adorèrent Dieu,
en disant: Nous te rendons grâces, Seigneur Dieu tout-puissant, qui es, et qui étais, de ce que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne.
Les nations se sont irritées; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre.
Et le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l'arche de son alliance apparut dans son temple. Et il y eut des éclairs, des voix, des tonnerres, un tremblement de terre, et une forte grêle.
Et il me dit: C'est fait! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement.
Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin.
Quel homme d'entre vous, s'il a cent brebis, et qu'il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il la retrouve?
Lorsqu'il l'a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules,
et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue.
De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance.
Misérable que je suis! Qui me délivrera du corps de cette mort?...
Maris, montrez à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec vos femmes, comme avec un sexe plus faible; honorez-les, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu'il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières.
Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie, Qui marchent selon la loi de l'Eternel!
Heureux ceux qui gardent ses préceptes, Qui le cherchent de tout leur coeur,
Qui ne commettent point d'iniquité, Et qui marchent dans ses voies!
Tu as prescrit tes ordonnances, Pour qu'on les observe avec soin.
Puissent mes actions être bien réglées, Afin que je garde tes statuts!
Alors je ne rougirai point, A la vue de tous tes commandements.
Je te louerai dans la droiture de mon coeur, En apprenant les lois de ta justice.
Je veux garder tes statuts: Ne m'abandonne pas entièrement!
Comment le jeune homme rendra-t-il pur son sentier? En se dirigeant d'après ta parole.
Je te cherche de tout mon coeur: Ne me laisse pas égarer loin de tes commandements!
Je serre ta parole dans mon coeur, Afin de ne pas pécher contre toi.
Béni sois-tu, ô Eternel! Enseigne-moi tes statuts!
De mes lèvres j'énumère Toutes les sentences de ta bouche.
Je me réjouis en suivant tes préceptes, Comme si je possédais tous les trésors.
Je médite tes ordonnances, J'ai tes sentiers sous les yeux.
Je fais mes délices de tes statuts, Je n'oublie point ta parole.
Fais du bien à ton serviteur, pour que je vive Et que j'observe ta parole!
Ouvre mes yeux, pour que je contemple Les merveilles de ta loi!
Je suis un étranger sur la terre: Ne me cache pas tes commandements!
Mon âme est brisée par le désir Qui toujours la porte vers tes lois.
Tu menaces les orgueilleux, ces maudits, Qui s'égarent loin de tes commandements.
Décharge-moi de l'opprobre et du mépris! Car j'observe tes préceptes.
Des princes ont beau s'asseoir et parler contre moi, Ton serviteur médite tes statuts.
Tes préceptes font mes délices, Ce sont mes conseillers.
Mon âme est attachée à la poussière: Rends-moi la vie selon ta parole!
Je raconte mes voies, et tu m'exauces: Enseigne-moi tes statuts!
Fais-moi comprendre la voie de tes ordonnances, Et je méditerai sur tes merveilles!
Mon âme pleure de chagrin: Relève-moi selon ta parole!
Eloigne de moi la voie du mensonge, Et accorde-moi la grâce de suivre ta loi!
Je choisis la voie de la vérité, Je place tes lois sous mes yeux.
Je m'attache à tes préceptes: Eternel, ne me rends point confus!
Je cours dans la voie de tes commandements, Car tu élargis mon coeur.
Enseigne-moi, Eternel, la voie de tes statuts, pour que je la retienne jusqu'à la fin!
Donne-moi l'intelligence, pour que je garde ta loi Et que je l'observe de tout mon coeur!
Conduis-moi dans le sentier de tes commandements! Car je l'aime.
Incline mon coeur vers tes préceptes, Et non vers le gain!
Détourne mes yeux de la vue des choses vaines, Fais-moi vivre dans ta voie!
Accomplis envers ton serviteur ta promesse, Qui est pour ceux qui te craignent!
Eloigne de moi l'opprobre que je redoute! Car tes jugements sont pleins de bonté.
Voici, je désire pratiquer tes ordonnances: Fais-moi vivre dans ta justice!
Eternel, que ta miséricorde vienne sur moi, Ton salut selon ta promesse!
Et je pourrai répondre à celui qui m'outrage, Car je me confie en ta parole.
N'ôte pas entièrement de ma bouche la parole de la vérité! Car j'espère en tes jugements.
Je garderai ta loi constamment, A toujours et à perpétuité.
Je marcherai au large, Car je recherche tes ordonnances.
Je parlerai de tes préceptes devant les rois, Et je ne rougirai point.
Je fais mes délices de tes commandements. Je les aime.
Je lève mes mains vers tes commandements que j'aime, Et je veux méditer tes statuts.
Souviens-toi de ta promesse à ton serviteur, Puisque tu m'as donné l'espérance!
C'est ma consolation dans ma misère, Car ta promesse me rend la vie.
Des orgueilleux me chargent de railleries; Je ne m'écarte point de ta loi.
Je pense à tes jugements d'autrefois, ô Eternel! Et je me console.
Une colère ardente me saisit à la vue des méchants Qui abandonnent ta loi.
Tes statuts sont le sujet de mes cantiques, Dans la maison où je suis étranger.
La nuit je me rappelle ton nom, ô Eternel! Et je garde ta loi.
C'est là ce qui m'est propre, Car j'observe tes ordonnances.
Ma part, ô Eternel! je le dis, C'est de garder tes paroles.
Je t'implore de tout mon coeur: Aie pitié de moi, selon ta promesse!
Je réfléchis à mes voies, Et je dirige mes pieds vers tes préceptes.
Je me hâte, je ne diffère point D'observer tes commandements.
Les pièges des méchants m'environnent; Je n'oublie point ta loi.
Au milieu de la nuit je me lève pour te louer, A cause des jugements de ta justice.
Je suis l'ami de tous ceux qui te craignent, Et de ceux qui gardent tes ordonnances.
La terre, ô Eternel! est pleine de ta bonté; Enseigne-moi tes statuts!
Tu fais du bien à ton serviteur, O Eternel! selon ta promesse.
Enseigne-moi le bon sens et l'intelligence! Car je crois à tes commandements.
Avant d'avoir été humilié, je m'égarais; Maintenant j'observe ta parole.
Tu es bon et bienfaisant; Enseigne-moi tes statuts!
Des orgueilleux imaginent contre moi des faussetés; Moi, je garde de tout mon coeur tes ordonnances.
Leur coeur est insensible comme la graisse; Moi, je fais mes délices de ta loi.
Il m'est bon d'être humilié, Afin que j'apprenne tes statuts.
Mieux vaut pour moi la loi de ta bouche Que mille objets d'or et d'argent.
Tes mains m'ont créé, elles m'ont formé; Donne-moi l'intelligence, pour que j'apprenne tes commandements!
Ceux qui te craignent me voient et se réjouissent, Car j'espère en tes promesses.
Je sais, ô Eternel! que tes jugements sont justes; C'est par fidélité que tu m'as humilié.
Que ta bonté soit ma consolation, Comme tu l'as promis à ton serviteur!
Que tes compassions viennent sur moi, pour que je vive! Car ta loi fait mes délices.
Qu'ils soient confondus, les orgueilleux qui m'oppriment sans cause! Moi, je médite sur tes ordonnances.
Qu'ils reviennent à moi, ceux qui te craignent, Et ceux qui connaissent tes préceptes!
Que mon coeur soit sincère dans tes statuts, Afin que je ne sois pas couvert de honte!
Mon âme languit après ton salut; J'espère en ta promesse.
Mes yeux languissent après ta promesse; Je dis: Quand me consoleras-tu?
Car je suis comme une outre dans la fumée; Je n'oublie point tes statuts.
Quel est le nombre des jours de ton serviteur? Quand feras-tu justice de ceux qui me persécutent?
Des orgueilleux creusent des fosses devant moi; Ils n'agissent point selon ta loi.
Tous tes commandements ne sont que fidélité; Ils me persécutent sans cause: secours-moi!
Ils ont failli me terrasser et m'anéantir; Et moi, je n'abandonne point tes ordonnances.
Rends-moi la vie selon ta bonté, Afin que j'observe les préceptes de ta bouche!
A toujours, ô Eternel! Ta parole subsiste dans les cieux.
De génération en génération ta fidélité subsiste; Tu as fondé la terre, et elle demeure ferme.
C'est d'après tes lois que tout subsiste aujourd'hui, Car toutes choses te sont assujetties.
Si ta loi n'eût fait mes délices, J'eusse alors péri dans ma misère.
Je n'oublierai jamais tes ordonnances, Car c'est par elles que tu me rends la vie.
Je suis à toi: sauve-moi! Car je recherche tes ordonnances.
Des méchants m'attendent pour me faire périr; Je suis attentif à tes préceptes.
Je vois des bornes à tout ce qui est parfait: Tes commandements n'ont point de limite.
Combien j'aime ta loi! Elle est tout le jour l'objet de ma méditation.
Tes commandements me rendent plus sage que mes ennemis, Car je les ai toujours avec moi.
Je suis plus instruit que tous mes maîtres, Car tes préceptes sont l'objet de ma méditation.
J'ai plus d'intelligence que les vieillards, Car j'observe tes ordonnances.
Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin, Afin de garder ta parole.
Je ne m'écarte pas de tes lois, Car c'est toi qui m'enseignes.
Que tes paroles sont douces à mon palais, Plus que le miel à ma bouche!
Par tes ordonnances je deviens intelligent, Aussi je hais toute voie de mensonge.
Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier.
Je jure, et je le tiendrai, D'observer les lois de ta justice.
Je suis bien humilié: Eternel, rends-moi la vie selon ta parole!
Agrée, ô Eternel! les sentiments que ma bouche exprime, Et enseigne-moi tes lois!
Ma vie est continuellement exposée, Et je n'oublie point ta loi.
Des méchants me tendent des pièges, Et je ne m'égare pas loin de tes ordonnances.
Tes préceptes sont pour toujours mon héritage, Car ils sont la joie de mon coeur.
J'incline mon coeur à pratiquer tes statuts, Toujours, jusqu'à la fin.
Je hais les hommes indécis, Et j'aime ta loi.
Tu es mon asile et mon bouclier; J'espère en ta promesse.
Eloignez-vous de moi, méchants, Afin que j'observe les commandements de mon Dieu!
Soutiens-moi selon ta promesse, afin que je vive, Et ne me rends point confus dans mon espérance!
Sois mon appui, pour que je sois sauvé, Et que je m'occupe sans cesse de tes statuts!
Tu méprises tous ceux qui s'écartent de tes statuts, Car leur tromperie est sans effet.
Tu enlèves comme de l'écume tous les méchants de la terre; C'est pourquoi j'aime tes préceptes.
Ma chair frissonne de l'effroi que tu m'inspires, Et je crains tes jugements.
J'observe la loi et la justice: Ne m'abandonne pas à mes oppresseurs!
Prends sous ta garantie le bien de ton serviteur, Ne me laisse pas opprimer par des orgueilleux!
Mes yeux languissent après ton salut, Et après la promesse de ta justice.
Agis envers ton serviteur selon ta bonté, Et enseigne-moi tes statuts!
Je suis ton serviteur: donne-moi l'intelligence, Pour que je connaisse tes préceptes!
Il est temps que l'Eternel agisse: Ils transgressent ta loi.
C'est pourquoi j'aime tes commandements, Plus que l'or et que l'or fin;
C'est pourquoi je trouve justes toutes tes ordonnances, Je hais toute voie de mensonge.
Tes préceptes sont admirables: Aussi mon âme les observe.
La révélation de tes paroles éclaire, Elle donne de l'intelligence aux simples.
J'ouvre la bouche et je soupire, Car je suis avide de tes commandements.
Tourne vers moi ta face, et aie pitié de moi, Selon ta coutume à l'égard de ceux qui aiment ton nom!
Affermis mes pas dans ta parole, Et ne laisse aucune iniquité dominer sur moi!
Délivre-moi de l'oppression des hommes, Afin que je garde tes ordonnances!
Fais luire ta face sur ton serviteur, Et enseigne-moi tes statuts!
Mes yeux répandent des torrents d'eaux, Parce qu'on n'observe point ta loi.
Tu es juste, ô Eternel! Et tes jugements sont équitables;
Tu fondes tes préceptes sur la justice Et sur la plus grande fidélité.
Mon zèle me consume, Parce que mes adversaires oublient tes paroles.
Ta parole est entièrement éprouvée, Et ton serviteur l'aime.
Je suis petit et méprisé; Je n'oublie point tes ordonnances.
Ta justice est une justice éternelle, Et ta loi est la vérité.
La détresse et l'angoisse m'atteignent: Tes commandements font mes délices.
Tes préceptes sont éternellement justes: Donne-moi l'intelligence, pour que je vive!
Je t'invoque de tout mon coeur: exauce-moi, Eternel, Afin que je garde tes statuts!
Je t'invoque: sauve-moi, Afin que j'observe tes préceptes!
Je devance l'aurore et je crie; J'espère en tes promesses.
Je devance les veilles et j'ouvre les yeux, Pour méditer ta parole.
Ecoute ma voix selon ta bonté! Rends-moi la vie selon ton jugement!
Ils s'approchent, ceux qui poursuivent le crime, Ils s'éloignent de la loi.
Tu es proche, ô Eternel! Et tous tes commandements sont la vérité.
Dès longtemps je sais par tes préceptes Que tu les as établis pour toujours.
Vois ma misère, et délivre-moi! Car je n'oublie point ta loi.
Défends ma cause, et rachète-moi; Rends-moi la vie selon ta promesse!
Le salut est loin des méchants, Car ils ne recherchent pas tes statuts.
Tes compassions sont grandes, ô Eternel! Rends-moi la vie selon tes jugements!
Mes persécuteurs et mes adversaires sont nombreux; Je ne m'écarte point de tes préceptes,
Je vois avec dégoût des traîtres Qui n'observent pas ta parole.
Considère que j'aime tes ordonnances: Eternel, rends-moi la vie selon ta bonté!
Le fondement de ta parole est la vérité, Et toutes les lois de ta justice sont éternelles.
Des princes me persécutent sans cause; Mais mon coeur ne tremble qu'à tes paroles.
Je me réjouis de ta parole, Comme celui qui trouve un grand butin.
Je hais, je déteste le mensonge; J'aime ta loi.
Sept fois le jour je te célèbre, A cause des lois de ta justice.
Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi, Et il ne leur arrive aucun malheur.
J'espère en ton salut, ô Eternel! Et je pratique tes commandements.
Mon âme observe tes préceptes, Et je les aime beaucoup.
Je garde tes ordonnances et tes préceptes, Car toutes mes voies sont devant toi.
Que mon cri parvienne jusqu'à toi, ô Eternel! Donne-moi l'intelligence, selon ta promesse!
Que ma supplication arrive jusqu'à toi! Délivre-moi, selon ta promesse!
Que mes lèvres publient ta louange! Car tu m'enseignes tes statuts.
Que ma langue chante ta parole! Car tous tes commandements sont justes.
Que ta main me soit en aide! Car j'ai choisi tes ordonnances.
Je soupire après ton salut, ô Eternel! Et ta loi fait mes délices.
Que mon âme vive et qu'elle te loue! Et que tes jugements me soutiennent!
Je suis errant comme une brebis perdue; cherche ton serviteur, Car je n'oublie point tes commandements.
Que la parole de Christ habite parmi vous abondamment; instruisez-vous et exhortez-vous les uns les autres en toute sagesse, par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantant à Dieu dans vos coeurs sous l'inspiration de la grâce.
Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.
entretenez-vous par des psaumes, par des hymnes, et par des cantiques spirituels, chantant et célébrant de tout votre coeur les louanges du Seigneur;
et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ.
Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière,
Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu, et je raconterai Ce qu'il a fait à mon âme.
Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins.
Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.
Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent;
Et ce n'est pas elle seulement; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps.
Car c'est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l'espérance qu'on voit n'est plus espérance: ce qu'on voit, peut-on l'espérer encore?
Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec persévérance.
Cela importe d'autant plus que vous savez en quel temps nous sommes: c'est l'heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru.
Mais notre cité à nous est dans les cieux, d'où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ,
qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu'il a de s'assujettir toutes choses.
Car celui qui meurt n'a plus ton souvenir; Qui te louera dans le séjour des morts?