Louis Segond 1910
Versliste
Le lendemain, le mauvais esprit de Dieu saisit Saül, qui eut des transports au milieu de la maison. David jouait, comme les autres jours, et Saül avait sa lance à la main.
David avait achevé de parler à Saül. Et dès lors l'âme de Jonathan fut attachée à l'âme de David, et Jonathan l'aima comme son âme.
Il ôta le manteau qu'il portait, pour le donner à David; et il lui donna ses vêtements, même son épée, son arc et sa ceinture.
Mais ces choses qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte, à cause de Christ.
Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ,
Car l'amour de Christ nous presse, parce que nous estimons que, si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts;
Mais ces choses qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte, à cause de Christ.
Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ,
les vingt-quatre vieillards se prosternent devant celui qui est assis sur le trône, et ils adorent celui qui vit aux siècles des siècles, et ils jettent leurs couronnes devant le trône, en disant:
Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l'honneur et la puissance; car tu as créé toutes choses, et c'est par ta volonté qu'elles existent et qu'elles ont été créées.
Lorsque David arriva le troisième jour à Tsiklag avec ses gens, les Amalécites avaient fait une invasion dans le midi et à Tsiklag. Ils avaient détruit et brûlé Tsiklag,
après avoir fait prisonniers les femmes et tous ceux qui s'y trouvaient, petits et grands. Ils n'avaient tué personne, mais ils avaient tout emmené et s'étaient remis en route.
David et ses gens arrivèrent à la ville, et voici, elle était brûlée; et leurs femmes, leurs fils et leurs filles, étaient emmenés captifs.
Alors David et le peuple qui était avec lui élevèrent la voix et pleurèrent jusqu'à ce qu'ils n'eussent plus la force de pleurer.
Les deux femmes de David avaient été emmenées, Achinoam de Jizreel, et Abigaïl de Carmel, femme de Nabal.
David fut dans une grande angoisse, car le peuple parlait de le lapider, parce que tous avaient de l'amertume dans l'âme, chacun à cause de ses fils et de ses filles. Mais David reprit courage en s'appuyant sur l'Eternel, son Dieu.
Il dit au sacrificateur Abiathar, fils d'Achimélec: Apporte-moi donc l'éphod! Abiathar apporta l'éphod à David.
Et David consulta l'Eternel, en disant: Poursuivrai-je cette troupe? l'atteindrai-je? L'Eternel lui répondit: Poursuis, car tu atteindras, et tu délivreras.
Et David se mit en marche, lui et les six cents hommes qui étaient avec lui. Ils arrivèrent au torrent de Besor, où s'arrêtèrent ceux qui restaient en arrière.
David continua la poursuite avec quatre cents hommes; deux cents hommes s'arrêtèrent, trop fatigués pour passer le torrent de Besor.
Ils trouvèrent dans les champs un homme égyptien, qu'ils conduisirent auprès de David. Ils lui firent manger du pain et boire de l'eau,
et ils lui donnèrent un morceau d'une masse de figues sèches et deux masses de raisins secs. Après qu'il eut mangé, les forces lui revinrent, car il n'avait point pris de nourriture et point bu d'eau depuis trois jours et trois nuits.
David lui dit: A qui es-tu, et d'où es-tu? Il répondit: Je suis un garçon égyptien, au service d'un homme amalécite, et voilà trois jours que mon maître m'a abandonné parce que j'étais malade.
Nous avons fait une invasion dans le midi des Kéréthiens, sur le territoire de Juda et au midi de Caleb, et nous avons brûlé Tsiklag.
David lui dit: Veux-tu me faire descendre vers cette troupe? Et il répondit: Jure-moi par le nom de Dieu que tu ne me tueras pas et que tu ne me livreras pas à mon maître, et je te ferai descendre vers cette troupe.
Il lui servit ainsi de guide. Et voici, les Amalécites étaient répandus sur toute la contrée, mangeant, buvant et dansant, à cause du grand butin qu'ils avaient enlevé du pays des Philistins et du pays de Juda.
David les battit depuis l'aube du jour jusqu'au soir du lendemain, et aucun d'eux n'échappa, excepté quatre cents jeunes hommes qui montèrent sur des chameaux et s'enfuirent.
David sauva tout ce que les Amalécites avaient pris, et il délivra aussi ses deux femmes.
Il ne leur manqua personne, ni petit ni grand, ni fils ni fille, ni aucune chose du butin, ni rien de ce qu'on leur avait enlevé: David ramena tout.
Et David prit tout le menu et le gros bétail; et ceux qui conduisaient ce troupeau et marchaient à sa tête disaient: C'est ici le butin de David.
David arriva auprès des deux cents hommes qui avaient été trop fatigués pour le suivre, et qu'on avait laissés au torrent de Besor. Ils s'avancèrent à la rencontre de David et du peuple qui était avec lui. David s'approcha d'eux, et leur demanda comment ils se trouvaient.
Tous les hommes méchants et vils parmi les gens qui étaient allés avec David prirent la parole et dirent: Puisqu'ils ne sont pas venus avec nous, nous ne leur donnerons rien du butin que nous avons sauvé, sinon à chacun sa femme et ses enfants; qu'ils les emmènent, et s'en aillent.
Mais David dit: N'agissez pas ainsi, mes frères, au sujet de ce que l'Eternel nous a donné; car il nous a gardés, et il a livré entre nos mains la troupe qui était venue contre nous.
Et qui vous écouterait dans cette affaire? La part doit être la même pour celui qui est descendu sur le champ de bataille et pour celui qui est resté près des bagages: ensemble ils partageront.
Il en fut ainsi dès ce jour et dans la suite, et l'on a fait de cela jusqu'à ce jour une loi et une coutume en Israël.
De retour à Tsiklag, David envoya une partie du butin aux anciens de Juda, à ses amis, en leur adressant ces paroles: Voici pour vous un présent sur le butin des ennemis de l'Eternel!
Il fit ainsi des envois à ceux de Béthel, à ceux de Ramoth du midi, à ceux de Jatthir,
ceux d'Aroër, à ceux de Siphmoth, à ceux d'Eschthemoa,
ceux de Racal, à ceux des villes des Jerachmeélites, à ceux des villes des Kéniens,
ceux de Horma, à ceux de Cor-Aschan, à ceux d'Athac,
ceux d'Hébron, et dans tous les lieux que David et ses gens avaient parcourus.
Saül parla à Jonathan, son fils, et à tous ses serviteurs, de faire mourir David.
Saül parla à Jonathan, son fils, et à tous ses serviteurs, de faire mourir David.
Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l'homme aura aussi honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père, avec les saints anges.
nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur.
David s'enfuit de Najoth, près de Rama. Il alla trouver Jonathan, et dit: Qu'ai-je fait? quel est mon crime, quel est mon péché aux yeux de ton père, pour qu'il en veuille à ma vie?
Jonathan lui répondit: Loin de là! tu ne mourras point. Mon père ne fait aucune chose, grande ou petite, sans m'en informer; pourquoi donc mon père me cacherait-il celle-là? Il n'en est rien.
David dit encore, en jurant: Ton père sait bien que j'ai trouvé grâce à tes yeux, et il aura dit: Que Jonathan ne le sache pas; cela lui ferait de la peine. Mais l'Eternel est vivant et ton âme est vivante! il n'y a qu'un pas entre moi et la mort.
Jonathan dit à David: Je ferai pour toi ce que tu voudras.
Et David lui répondit: Voici, c'est demain la nouvelle lune, et je devrais m'asseoir avec le roi pour manger; laisse-moi aller, et je me cacherai dans les champs jusqu'au soir du troisième jour.
Si ton père remarque mon absence, tu diras: David m'a prié de lui laisser faire une course à Bethléhem, sa ville, parce qu'il y a pour toute la famille un sacrifice annuel.
Et s'il dit: C'est bien! ton serviteur alors n'a rien à craindre; mais si la colère s'empare de lui, sache que le mal est résolu de sa part.
Montre donc ton affection pour ton serviteur, puisque tu as fait avec ton serviteur une alliance devant l'Eternel. Et, s'il y a quelque crime en moi, ôte-moi la vie toi-même, car pourquoi me mènerais-tu jusqu'à ton père?
Jonathan lui dit: Loin de toi la pensée que je ne t'informerai pas, si j'apprends que le mal est résolu de la part de mon père et menace de t'atteindre!
David dit à Jonathan: Qui m'informera dans le cas où ton père te répondrait durement?
Et Jonathan dit à David: Viens, sortons dans les champs. Et ils sortirent tous deux dans les champs.
Jonathan dit à David: Je prends à témoin l'Eternel, le Dieu d'Israël! Je sonderai mon père demain ou après-demain; et, dans le cas où il serait bien disposé pour David, si je n'envoie vers toi personne pour t'en informer,
que l'Eternel traite Jonathan dans toute sa rigueur! Dans le cas où mon père trouverait bon de te faire du mal, je t'informerai aussi et je te laisserai partir, afin que tu t'en ailles en paix; et que l'Eternel soit avec toi, comme il a été avec mon père!
Si je dois vivre encore, veuille user envers moi de la bonté de l'Eternel; et si je meurs,
ne retire jamais ta bonté envers ma maison, pas même lorsque l'Eternel retranchera chacun des ennemis de David de dessus la face de la terre.
Car Jonathan a fait alliance avec la maison de David. Que l'Eternel tire vengeance des ennemis de David!
Jonathan protesta encore auprès de David de son affection pour lui, car il l'aimait comme son âme.
Jonathan lui dit: C'est demain la nouvelle lune; on remarquera ton absence, car ta place sera vide.
Tu descendras le troisième jour jusqu'au fond du lieu où tu t'étais caché le jour de l'affaire, et tu resteras près de la pierre d'Ezel.
Je tirerai trois flèches du côté de la pierre, comme si je visais un but.
Et voici, j'enverrai un jeune homme, et je lui dirai: Va, trouve les flèches. Si je lui dis: Voici, les flèches sont en deçà de toi, prends-les! alors viens, car il y a paix pour toi, et tu n'as rien à craindre, l'Eternel est vivant!
Mais si je dis au jeune homme: Voici, les flèches sont au delà de toi! alors va-t-en, car l'Eternel te renvoie.
L'Eternel est à jamais témoin de la parole que nous nous sommes donnée l'un à l'autre.
David se cacha dans les champs. C'était la nouvelle lune, et le roi prit place au festin pour manger.
Le roi s'assit comme à l'ordinaire sur son siège contre la paroi, Jonathan se leva, et Abner s'assit à côté de Saül; mais la place de David resta vide.
Saül ne dit rien ce jour-là; car, pensa-t-il, c'est par hasard, il n'est pas pur, certainement il n'est pas pur.
Le lendemain, second jour de la nouvelle lune, la place de David était encore vide. Et Saül dit à Jonathan, son fils: Pourquoi le fils d'Isaï n'a-t-il paru au repas ni hier ni aujourd'hui?
Jonathan répondit à Saül: David m'a demandé la permission d'aller à Bethléhem.
Il a dit: Laisse-moi aller, je te prie, car nous avons dans la ville un sacrifice de famille, et mon frère me l'a fait savoir; si donc j'ai trouvé grâce à tes yeux, permets que j'aille en hâte voir mes frères. C'est pour cela qu'il n'est point venu à la table du roi.
Alors la colère de Saül s'enflamma contre Jonathan, et il lui dit: Fils pervers et rebelle, ne sais je pas que tu as pour ami le fils d'Isaï, à ta honte et à la honte de ta mère?
Car aussi longtemps que le fils d'Isaï sera vivant sur la terre, il n'y aura point de sécurité ni pour toi ni pour ta royauté. Et maintenant, envoie-le chercher, et qu'on me l'amène, car il est digne de mort.
Jonathan répondit à Saül, son père, et lui dit: Pourquoi le ferait-on mourir? Qu'a-t-il fait?
Et Saül dirigea sa lance contre lui, pour le frapper. Jonathan comprit que c'était chose résolue chez son père que de faire mourir David.
Il se leva de table dans une ardente colère, et ne participa point au repas le second jour de la nouvelle lune; car il était affligé à cause de David, parce que son père l'avait outragé.
Le lendemain matin, Jonathan alla dans les champs au lieu convenu avec David, et il était accompagné d'un petit garçon.
Il lui dit: Cours, trouve les flèches que je vais tirer. Le garçon courut, et Jonathan tira une flèche qui le dépassa.
Lorsqu'il arriva au lieu où était la flèche que Jonathan avait tirée, Jonathan cria derrière lui: La flèche n'est-elle pas plus loin que toi?
Il lui cria encore: Vite, hâte-toi, ne t'arrête pas! Et le garçon de Jonathan ramassa les flèches et revint vers son maître.
Le garçon ne savait rien; Jonathan et David seuls comprenaient la chose.
Jonathan remit ses armes à son garçon, et lui dit: Va, porte-les à la ville.
Après le départ du garçon, David se leva du côté du midi, puis se jeta le visage contre terre et se prosterna trois fois. Les deux amis s'embrassèrent et pleurèrent ensemble, David surtout fondit en larmes.
Et Jonathan dit à David: Va en paix, maintenant que nous avons juré l'un et l'autre, au nom de l'Eternel, en disant: Que l'Eternel soit à jamais entre moi et toi, entre ma postérité et ta postérité! David se leva, et s'en alla, et Jonathan rentra dans la ville.
et de même qu'alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l'Esprit, ainsi en est-il encore maintenant.
Or, tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus-Christ seront persécutés.
Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n'est pas plus grand que son maître. S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s'ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre.
Vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves;
Jonathan dit à David: Je ferai pour toi ce que tu voudras.
Tremblant et saisi d'effroi, il dit: Seigneur, que veux-tu que je fasse? Et le Seigneur lui dit: Lève-toi, entre dans la ville, et on te dira ce que tu dois faire.
Alors je dis: Que ferai-je, Seigneur? Et le Seigneur me dit: Lève-toi, va à Damas, et là on te dira tout ce que tu dois faire.
et lui dit: Ne crains rien, car la main de Saül, mon père, ne t'atteindra pas. Tu régneras sur Israël, et moi je serai au second rang près de toi; Saül, mon père, le sait bien aussi.
David partit de là, et se sauva dans la caverne d'Adullam. Ses frères et toute la maison de son père l'apprirent, et ils descendirent vers lui.
Tous ceux qui se trouvaient dans la détresse, qui avaient des créanciers, ou qui étaient mécontents, se rassemblèrent auprès de lui, et il devint leur chef. Ainsi se joignirent à lui environ quatre cents hommes.
Ce fut alors que Jonathan, fils de Saül, se leva et alla vers David dans la forêt. Il fortifia sa confiance en Dieu,
et lui dit: Ne crains rien, car la main de Saül, mon père, ne t'atteindra pas. Tu régneras sur Israël, et moi je serai au second rang près de toi; Saül, mon père, le sait bien aussi.
Ils firent tous deux alliance devant l'Eternel; et David resta dans la forêt, et Jonathan s'en alla chez lui.
Parce que tu dis: Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu,
Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, qui est chef de la secte des Nazaréens,
Je t'avoue bien que je sers le Dieu de mes pères selon la voie qu'ils appellent une secte, croyant tout ce qui est écrit dans la loi et dans les prophètes,
Mais nous voudrions apprendre de toi ce que tu penses, car nous savons que cette secte rencontre partout de l'opposition.
Ils firent tous deux alliance devant l'Eternel; et David resta dans la forêt, et Jonathan s'en alla chez lui.
David avait achevé de parler à Saül. Et dès lors l'âme de Jonathan fut attachée à l'âme de David, et Jonathan l'aima comme son âme.
Les Philistins livrèrent bataille à Israël, et les hommes d'Israël prirent la fuite devant les Philistins et tombèrent morts sur la montagne de Guilboa.
Les Philistins poursuivirent Saül et ses fils, et tuèrent Jonathan, Abinadab et Malkischua, fils de Saül.
L'effort du combat porta sur Saül; les archers l'atteignirent, et le blessèrent grièvement.
Saül dit alors à celui qui portait ses armes: Tire ton épée, et m'en transperce, de peur que ces incirconcis ne viennent me percer et me faire subir leurs outrages. Celui qui portait ses armes ne voulut pas, car il était saisi de crainte. Et Saül prit son épée, et se jeta dessus.
Celui qui portait les armes de Saül, le voyant mort, se jeta aussi sur son épée, et mourut avec lui.
Ainsi périrent en même temps, dans cette journée, Saül et ses trois fils, celui qui portait ses armes, et tous ses gens.
Ceux d'Israël qui étaient de ce côté de la vallée et de ce côté du Jourdain, ayant vu que les hommes d'Israël s'enfuyaient et que Saül et ses fils étaient morts, abandonnèrent leurs villes pour prendre aussi la fuite. Et les Philistins allèrent s'y établir.
Le lendemain, les Philistins vinrent pour dépouiller les morts, et ils trouvèrent Saül et ses trois fils tombés sur la montagne de Guilboa.
Ils coupèrent la tête de Saül, et enlevèrent ses armes. Puis ils firent annoncer ces bonnes nouvelles par tout le pays des Philistins dans les maisons de leurs idoles et parmi le peuple.
Ils mirent les armes de Saül dans la maison des Astartés, et ils attachèrent son cadavre sur les murs de Beth-Schan.
Lorsque les habitants de Jabès en Galaad apprirent comment les Philistins avaient traité Saül,
tous les vaillants hommes se levèrent, et, après avoir marché toute la nuit, ils arrachèrent des murs de Beth-Schan le cadavre de Saül et ceux de ses fils. Puis ils revinrent à Jabès, où ils les brûlèrent;
ils prirent leurs os, et les enterrèrent sous le tamarisc à Jabès. Et ils jeûnèrent sept jours.
Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main.
Si l'oeuvre de quelqu'un est consumée, il perdra sa récompense; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu.
Ne l'annoncez point dans Gath, N'en publiez point la nouvelle dans les rues d'Askalon, De peur que les filles des Philistins ne se réjouissent, De peur que les filles des incirconcis ne triomphent.
Montagnes de Guilboa! Qu'il n'y ait sur vous ni rosée ni pluie, Ni champs qui donnent des prémices pour les offrandes! Car là ont été jetés les boucliers des héros, Le bouclier de Saül; L'huile a cessé de les oindre.
Devant le sang des blessés, devant la graisse des plus vaillants, L'arc de Jonathan n'a jamais reculé, Et l'épée de Saül ne retournait point à vide.
Saül et Jonathan, aimables et chéris pendant leur vie, N'ont point été séparés dans leur mort; Ils étaient plus légers que les aigles, Ils étaient plus forts que les lions.
Filles d'Israël! pleurez sur Saül, Qui vous revêtait magnifiquement de cramoisi, Qui mettait des ornements d'or sur vos habits.
Comment des héros sont-ils tombés au milieu du combat? Comment Jonathan a-t-il succombé sur tes collines?
Je suis dans la douleur à cause de toi, Jonathan, mon frère! Tu faisais tout mon plaisir; Ton amour pour moi était admirable, Au-dessus de l'amour des femmes.
C'est ainsi, en effet, que l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ vous sera pleinement accordée.
Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre.
Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d'être glorifiés avec lui.