L'Eternel règne, il est revêtu de majesté, L'Eternel est revêtu, il est ceint de force. Aussi le monde est ferme, il ne chancelle pas.
Ton trône est établi dès les temps anciens; Tu existes de toute éternité.
Les fleuves élèvent, ô Eternel! Les fleuves élèvent leur voix, Les fleuves élèvent leurs ondes retentissantes.
Plus que la voix des grandes, des puissantes eaux, Des flots impétueux de la mer, L'Eternel est puissant dans les lieux célestes.
Tes témoignages sont entièrement véritables; La sainteté convient à ta maison, O Eternel! pour toute la durée des temps.
Querverweise zu Psalm 93,4 Ps 93,4
Il apaise le mugissement des mers, le mugissement de leurs flots, Et le tumulte des peuples.
Car qui, dans le ciel, peut se comparer à l'Eternel? Qui est semblable à toi parmi les fils de Dieu?
Tu domptes l'orgueil de la mer; Quand ses flots se soulèvent, tu les apaises.
La mer le vit et s'enfuit, Le Jourdain retourna en arrière;
Les montagnes sautèrent comme des béliers, Les collines comme des agneaux.
Qu'as-tu, mer, pour t'enfuir, Jourdain, pour retourner en arrière?
Quand je dis: Tu viendras jusqu'ici, tu n'iras pas au delà; Ici s'arrêtera l'orgueil de tes flots?
Ne me craindrez-vous pas, dit l'Eternel, Ne tremblerez-vous pas devant moi? C'est moi qui ai donné à la mer le sable pour limite, Limite éternelle qu'elle ne doit pas franchir; Ses flots s'agitent, mais ils sont impuissants; Ils mugissent, mais ils ne la franchissent pas.
Il s'éleva un grand tourbillon, et les flots se jetaient dans la barque, au point qu'elle se remplissait déjà.
Et lui, il dormait à la poupe sur le coussin. Ils le réveillèrent, et lui dirent: Maître, ne t'inquiètes-tu pas de ce que nous périssons?
S'étant réveillé, il menaça le vent, et dit à la mer: Silence! tais-toi! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme.