Au chef des chantres. Sur Colombe des térébinthes lointains. Hymne de David. Lorsque les Philistins le saisirent à Gath. Aie pitié de moi, ô Dieu! car des hommes me harcèlent; Tout le jour ils me font la guerre, ils me tourmentent.
Tout le jour mes adversaires me harcèlent; Ils sont nombreux, ils me font la guerre comme des hautains.
Quand je suis dans la crainte, En toi je me confie.
Je me glorifierai en Dieu, en sa parole; Je me confie en Dieu, je ne crains rien: Que peuvent me faire des hommes?
Sans cesse ils portent atteinte à mes droits, Ils n'ont à mon égard que de mauvaises pensées.
Ils complotent, ils épient, ils observent mes traces, Parce qu'ils en veulent à ma vie.
C'est par l'iniquité qu'ils espèrent échapper: Dans ta colère, ô Dieu, précipite les peuples!
Tu comptes les pas de ma vie errante; Recueille mes larmes dans ton outre: Ne sont-elles pas inscrites dans ton livre?
Mes ennemis reculent, au jour où je crie; Je sais que Dieu est pour moi.
Je me glorifierai en Dieu, en sa parole; Je me glorifierai en l'Eternel, en sa parole;
Je me confie en Dieu, je ne crains rien: Que peuvent me faire des hommes?
O Dieu! je dois accomplir les voeux que je t'ai faits; Je t'offrirai des actions de grâces.
Car tu as délivré mon âme de la mort, Tu as garanti mes pieds de la chute, Afin que je marche devant Dieu, à la lumière des vivants.
Querverweise zu Psalm 56,11 Ps 56,11
De David. L'Eternel est ma lumière et mon salut: De qui aurais-je crainte? L'Eternel est le soutien de ma vie: De qui aurais-je peur?
Il ne craint point les mauvaises nouvelles; Son coeur est ferme, confiant en l'Eternel.
Son coeur est affermi; il n'a point de crainte, Jusqu'à ce qu'il mette son plaisir à regarder ses adversaires.
Ecoutez-moi, vous qui connaissez la justice, Peuple, qui as ma loi dans ton coeur! Ne craignez pas l'opprobre des hommes, Et ne tremblez pas devant leurs outrages.
Car la teigne les dévorera comme un vêtement, Et la gerce les rongera comme de la laine; Mais ma justice durera éternellement, Et mon salut s'étendra d'âge en âge.
C'est moi, c'est moi qui vous console. Qui es-tu, pour avoir peur de l'homme mortel, Et du fils de l'homme, pareil à l'herbe?
Et tu oublierais l'Eternel, qui t'a fait, Qui a étendu les cieux et fondé la terre! Et tu tremblerais incessamment tout le jour Devant la colère de l'oppresseur, Parce qu'il cherche à détruire! Où donc est la colère de l'oppresseur?