Psaume. Cantique pour la dédicace de la maison. De David. Je t'exalte, ô Eternel, car tu m'as relevé, Tu n'as pas voulu que mes ennemis se réjouissent à mon sujet.
Eternel, mon Dieu! J'ai crié à toi, et tu m'as guéri.
Eternel! tu as fait remonter mon âme du séjour des morts, Tu m'as fait revivre loin de ceux qui descendent dans la fosse.
Chantez à l'Eternel, vous qui l'aimez, Célébrez par vos louanges sa sainteté!
Car sa colère dure un instant, Mais sa grâce toute la vie; Le soir arrivent les pleurs, Et le matin l'allégresse.
Je disais dans ma sécurité: Je ne chancellerai jamais!
Eternel! par ta grâce tu avais affermi ma montagne... Tu cachas ta face, et je fus troublé.
Eternel! j'ai crié à toi, J'ai imploré l'Eternel:
Que gagnes-tu à verser mon sang, A me faire descendre dans la fosse? La poussière a-t-elle pour toi des louanges? Raconte-t-elle ta fidélité?
Ecoute, Eternel, aie pitié de moi! Eternel, secours-moi! -
Et tu as changé mes lamentations en allégresse, Tu as délié mon sac, et tu m'as ceint de joie,
Afin que mon coeur te chante et ne soit pas muet. Eternel, mon Dieu! je te louerai toujours.
Querverweise zu Psalm 30,1 Ps 30,1
David bâtit là un autel à l'Eternel, et il offrit des holocaustes et des sacrifices d'actions de grâces. Alors l'Eternel fut apaisé envers le pays, et la plaie se retira d'Israël.
Les officiers parleront ensuite au peuple et diront: Qui est-ce qui a bâti une maison neuve, et ne s'y est point encore établi? Qu'il s'en aille et retourne chez lui, de peur qu'il ne meure dans la bataille et qu'un autre ne s'y établisse.
Exaltez avec moi l'Eternel! Célébrons tous son nom!
Et déjà ma tête s'élève sur mes ennemis qui m'entourent; J'offrirai des sacrifices dans sa tente, au son de la trompette; Je chanterai, je célébrerai l'Eternel.
Afin que mon ennemi ne dise pas: Je l'ai vaincu! Et que mes adversaires ne se réjouissent pas, si je chancelle.
Il ne fit point parmi eux le dénombrement de Lévi et de Benjamin, car l'ordre du roi lui paraissait une abomination.
Hiram, roi de Tyr, envoya des messagers à David, et du bois de cèdre, et des charpentiers et des tailleurs de pierres, qui bâtirent une maison pour David.
J'ai cherché l'Eternel, et il m'a répondu; Il m'a délivré de toutes mes frayeurs.
Sauve ton peuple et bénis ton héritage! Sois leur berger et leur soutien pour toujours!
Mon Dieu! en toi je me confie: que je ne sois pas couvert de honte! Que mes ennemis ne se réjouissent pas à mon sujet!
David s'en retourna pour bénir sa maison, et Mical, fille de Saül, sortit à sa rencontre. Elle dit: Quel honneur aujourd'hui pour le roi d'Israël de s'être découvert aux yeux des servantes de ses serviteurs, comme se découvrirait un homme de rien!
J'ai crié à lui de ma bouche, Et la louange a été sur ma langue.
Que ceux qui sont à tort mes ennemis ne se réjouissent pas à mon sujet, Que ceux qui me haïssent sans cause ne m'insultent pas du regard!
il dit à Nathan le prophète: Vois donc! j'habite dans une maison de cèdre, et l'arche de Dieu habite au milieu d'une tente.
Louange. De David. Je t'exalterai, ô mon Dieu, mon roi! Et je bénirai ton nom à toujours et à perpétuité.
Juge-moi selon ta justice, Eternel, mon Dieu! Et qu'ils ne se réjouissent pas à mon sujet!
David rentra dans sa maison à Jérusalem. Le roi prit les dix concubines qu'il avait laissées pour garder la maison, et il les mit dans un lieu où elles étaient séquestrées; il pourvut à leur entretien, mais il n'alla point vers elles. Et elles furent enfermées jusqu'au jour de leur mort, vivant dans un état de veuvage.
Maintenant, moi, Nebucadnetsar, je loue, j'exalte et je glorifie le roi des cieux, dont toutes les oeuvres sont vraies et les voies justes, et qui peut abaisser ceux qui marchent avec orgueil.
Qu'ils ne disent pas dans leur coeur: Ah! voilà ce que nous voulions! Qu'ils ne disent pas: Nous l'avons englouti!
Je connaîtrai que tu m'aimes, Si mon ennemi ne triomphe pas de moi.
Nous sommes devenus un objet d'opprobre pour nos voisins, De moquerie et de risée pour ceux qui nous entourent.
Pourquoi les nations diraient-elles: Où est leur Dieu? Qu'on sache, en notre présence, parmi les nations, Que tu venges le sang de tes serviteurs, le sang répandu!
Tous les passants le dépouillent; Il est un objet d'opprobre pour ses voisins.
Tu as élevé la droite de ses adversaires, Tu as réjoui tous ses ennemis;
Tu as fait reculer le tranchant de son glaive, Et tu ne l'as pas soutenu dans le combat.
Tu as mis un terme à sa splendeur, Et tu as jeté son trône à terre;
Tu as abrégé les jours de sa jeunesse, Tu l'as couvert de honte. Pause.
Jusques à quand, Eternel! te cacheras-tu sans cesse, Et ta fureur s'embrasera-t-elle comme le feu?
Eternel, n'accomplis pas les désirs du méchant, Ne laisse pas réussir ses projets, de peur qu'il ne s'en glorifie! Pause.
Tous les passants battent des mains sur toi, Ils sifflent, ils secouent la tête contre la fille de Jérusalem: Est-ce là cette ville qu'on appelait une beauté parfaite, La joie de toute la terre?