Louis Segond 1910
Versliste
Au chef des chantres. Ne détruis pas. Hymne de David. Lorsque Saül envoya cerner la maison, pour le faire mourir. Mon Dieu! délivre-moi de mes ennemis, Protège-moi contre mes adversaires!
Délivre-moi des malfaiteurs, Et sauve-moi des hommes de sang!
Car voici, ils sont aux aguets pour m'ôter la vie; Des hommes violents complotent contre moi, Sans que je sois coupable, sans que j'aie péché, ô Eternel!
Malgré mon innocence, ils courent, ils se préparent: Réveille-toi, viens à ma rencontre, et regarde!
Toi, Eternel, Dieu des armées, Dieu d'Israël, Lève-toi, pour châtier toutes les nations! N'aie pitié d'aucun de ces méchants infidèles! -Pause.
Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, Ils font le tour de la ville.
Voici, de leur bouche ils font jaillir le mal, Des glaives sont sur leurs lèvres; Car, qui est-ce qui entend?
Et toi, Eternel, tu te ris d'eux, Tu te moques de toutes les nations.
Quelle que soit leur force, c'est en toi que j'espère, Car Dieu est ma haute retraite.
Mon Dieu vient au-devant de moi dans sa bonté, Dieu me fait contempler avec joie ceux qui me persécutent.
Ne les tue pas, de peur que mon peuple ne l'oublie; Fais-les errer par ta puissance, et précipite-les, Seigneur, notre bouclier!
Leur bouche pèche à chaque parole de leurs lèvres: Qu'ils soient pris dans leur propre orgueil! Ils ne profèrent que malédictions et mensonges.
Détruis-les, dans ta fureur, détruis-les, et qu'ils ne soient plus! Qu'ils sachent que Dieu règne sur Jacob, Jusqu'aux extrémités de la terre! -Pause.
Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, Ils font le tour de la ville.
Ils errent çà et là, cherchant leur nourriture, Et ils passent la nuit sans être rassasiés.
Et moi, je chanterai ta force; Dès le matin, je célébrerai ta bonté. Car tu es pour moi une haute retraite, Un refuge au jour de ma détresse.
O ma force! c'est toi que je célébrerai, Car Dieu, mon Dieu tout bon, est ma haute retraite.
Au chef des chantres. Ne détruis pas. Hymne de David. Lorsque Saül envoya cerner la maison, pour le faire mourir. Mon Dieu! délivre-moi de mes ennemis, Protège-moi contre mes adversaires!
Délivre-moi des malfaiteurs, Et sauve-moi des hommes de sang!
Car voici, ils sont aux aguets pour m'ôter la vie; Des hommes violents complotent contre moi, Sans que je sois coupable, sans que j'aie péché, ô Eternel!
Malgré mon innocence, ils courent, ils se préparent: Réveille-toi, viens à ma rencontre, et regarde!
Toi, Eternel, Dieu des armées, Dieu d'Israël, Lève-toi, pour châtier toutes les nations! N'aie pitié d'aucun de ces méchants infidèles! -Pause.
Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, Ils font le tour de la ville.
Voici, de leur bouche ils font jaillir le mal, Des glaives sont sur leurs lèvres; Car, qui est-ce qui entend?
Et toi, Eternel, tu te ris d'eux, Tu te moques de toutes les nations.
Quelle que soit leur force, c'est en toi que j'espère, Car Dieu est ma haute retraite.
Mon Dieu vient au-devant de moi dans sa bonté, Dieu me fait contempler avec joie ceux qui me persécutent.
Ne les tue pas, de peur que mon peuple ne l'oublie; Fais-les errer par ta puissance, et précipite-les, Seigneur, notre bouclier!
Leur bouche pèche à chaque parole de leurs lèvres: Qu'ils soient pris dans leur propre orgueil! Ils ne profèrent que malédictions et mensonges.
Détruis-les, dans ta fureur, détruis-les, et qu'ils ne soient plus! Qu'ils sachent que Dieu règne sur Jacob, Jusqu'aux extrémités de la terre! -Pause.
Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, Ils font le tour de la ville.
Ils errent çà et là, cherchant leur nourriture, Et ils passent la nuit sans être rassasiés.
Et moi, je chanterai ta force; Dès le matin, je célébrerai ta bonté. Car tu es pour moi une haute retraite, Un refuge au jour de ma détresse.
O ma force! c'est toi que je célébrerai, Car Dieu, mon Dieu tout bon, est ma haute retraite.
La troisième année du règne du roi Belschatsar, moi, Daniel, j'eus une vision, outre celle que j'avais eue précédemment.
Lorsque j'eus cette vision, il me sembla que j'étais à Suse, la capitale, dans la province d'Elam; et pendant ma vision, je me trouvais près du fleuve d'Ulaï.
Je levai les yeux, je regardai, et voici, un bélier se tenait devant le fleuve, et il avait des cornes; ces cornes étaient hautes, mais l'une était plus haute que l'autre, et elle s'éleva la dernière.
Je vis le bélier qui frappait de ses cornes à l'occident, au septentrion et au midi; aucun animal ne pouvait lui résister, et il n'y avait personne pour délivrer ses victimes; il faisait ce qu'il voulait, et il devint puissant.
Comme je regardais attentivement, voici, un bouc venait de l'occident, et parcourait toute la terre à sa surface, sans la toucher; ce bouc avait une grande corne entre les yeux.
Il arriva jusqu'au bélier qui avait des cornes, et que j'avais vu se tenant devant le fleuve, et il courut sur lui dans toute sa fureur.
Je le vis qui s'approchait du bélier et s'irritait contre lui; il frappa le bélier et lui brisa les deux cornes, sans que le bélier eût la force de lui résister; il le jeta par terre et le foula, et il n'y eut personne pour délivrer le bélier.
Le bouc devint très puissant; mais lorsqu'il fut puissant, sa grande corne se brisa. Quatre grandes cornes s'élevèrent pour la remplacer, aux quatre vents des cieux.
De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays.
Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux, elle fit tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula.
Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu de son sanctuaire.
L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises.
J'entendis parler un saint; et un autre saint dit à celui qui parlait: Pendant combien de temps s'accomplira la vision sur le sacrifice perpétuel et sur le péché dévastateur? Jusques à quand le sanctuaire et l'armée seront-ils foulés?
Et il me dit: Deux mille trois cents soirs et matins; puis le sanctuaire sera purifié.
Tandis que moi, Daniel, j'avais cette vision et que je cherchais à la comprendre, voici, quelqu'un qui avait l'apparence d'un homme se tenait devant moi.
Et j'entendis la voix d'un homme au milieu de l'Ulaï; il cria et dit: Gabriel, explique-lui la vision.
Il vint alors près du lieu où j'étais; et à son approche, je fus effrayé, et je tombai sur ma face. Il me dit: Sois attentif, fils de l'homme, car la vision concerne un temps qui sera la fin.
Comme il me parlait, je restai frappé d'étourdissement, la face contre terre. Il me toucha, et me fit tenir debout à la place où je me trouvais.
Puis il me dit: Je vais t'apprendre, ce qui arrivera au terme de la colère, car il y a un temps marqué pour la fin.
Le bélier que tu as vu, et qui avait des cornes, ce sont les rois des Mèdes et des Perses.
Le bouc, c'est le roi de Javan, La grande corne entre ses yeux, c'est le premier roi.
Les quatre cornes qui se sont élevées pour remplacer cette corne brisée, ce sont quatre royaumes qui s'élèveront de cette nation, mais qui n'auront pas autant de force.
A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux.
Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force; il fera d'incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints.
A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le coeur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le chef des chefs; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main.
Et la vision des soirs et des matins, dont il s'agit, est véritable. Pour toi, tiens secrète cette vision, car elle se rapporte à des temps éloignés.
Moi, Daniel, je fus plusieurs jours languissant et malade; puis je me levai, et je m'occupai des affaires du roi. J'étais étonné de la vision, et personne n'en eut connaissance.
Tu me délivres des dissensions de mon peuple; Tu me conserves pour chef des nations; Un peuple que je ne connaissais pas m'est asservi.
Tu me délivres des dissensions du peuple; Tu me mets à la tête des nations; Un peuple que je ne connaissais pas m'est asservi.
Qui est celui-ci qui vient d'Edom, De Botsra, en vêtements rouges, En habits éclatants, Et se redressant avec fierté dans la plénitude de sa force? -C'est moi qui ai promis le salut, Qui ai le pouvoir de délivrer. -
Pourquoi tes habits sont-ils rouges, Et tes vêtements comme les vêtements de celui qui foule dans la cuve? -
J'ai été seul à fouler au pressoir, Et nul homme d'entre les peuples n'était avec moi; Je les ai foulés dans ma colère, Je les ai écrasés dans ma fureur; Leur sang a jailli sur mes vêtements, Et j'ai souillé tous mes habits.
Car un jour de vengeance était dans mon coeur, Et l'année de mes rachetés est venue.
Je regardais, et personne pour m'aider; J'étais étonné, et personne pour me soutenir; Alors mon bras m'a été en aide, Et ma fureur m'a servi d'appui.
J'ai foulé des peuples dans ma colère, Je les ai rendus ivres dans ma fureur, Et j'ai répandu leur sang sur la terre.
Je publierai les grâces de l'Eternel, les louanges de l'Eternel, D'après tout ce que l'Eternel a fait pour nous; Je dirai sa grande bonté envers la maison d'Israël, Qu'il a traitée selon ses compassions et la richesse de son amour.
Il avait dit: Certainement ils sont mon peuple, Des enfants qui ne seront pas infidèles! Et il a été pour eux un sauveur.
Dans toutes leurs détresses ils n'ont pas été sans secours, Et l'ange qui est devant sa face les a sauvés; Il les a lui-même rachetés, dans son amour et sa miséricorde, Et constamment il les a soutenus et portés, aux anciens jours.
Mais ils ont été rebelles, ils ont attristé son esprit saint; Et il est devenu leur ennemi, il a combattu contre eux.
Alors son peuple se souvint des anciens jours de Moïse: Où est celui qui les fit monter de la mer, Avec le berger de son troupeau? Où est celui qui mettait au milieu d'eux son esprit saint;
Qui dirigea la droite de Moïse, Par son bras glorieux; Qui fendit les eaux devant eux, Pour se faire un nom éternel;
Qui les dirigea au travers des flots, Comme un coursier dans le désert, Sans qu'ils bronchassent?
Comme la bête qui descend dans la vallée, L'esprit de l'Eternel les a menés au repos. C'est ainsi que tu as conduit ton peuple, Pour te faire un nom glorieux.
Regarde du ciel, et vois, De ta demeure sainte et glorieuse: Où sont ton zèle et ta puissance? Le frémissement de tes entrailles et tes compassions Ne se font plus sentir envers moi.
Tu es cependant notre père, Car Abraham ne nous connaît pas, Et Israël ignore qui nous sommes; C'est toi, Eternel, qui es notre père, Qui, dès l'éternité, t'appelles notre sauveur.
Pourquoi, ô Eternel, nous fais-tu errer loin de tes voies, Et endurcis-tu notre coeur contre ta crainte? Reviens, pour l'amour de tes serviteurs, Des tribus de ton héritage!
Ton peuple saint n'a possédé le pays que peu de temps; Nos ennemis ont foulé ton sanctuaire.
Nous sommes depuis longtemps comme un peuple que tu ne gouvernes pas, Et qui n'est point appelé de ton nom...
Ainsi parle l'Eternel: Où est la lettre de divorce par laquelle j'ai répudié votre mère? Ou bien, auquel de mes créanciers vous ai-je vendus? Voici, c'est à cause de vos iniquités que vous avez été vendus, Et c'est à cause de vos péchés que votre mère a été répudiée.
Je suis venu: pourquoi n'y avait-il personne? J'ai appelé: pourquoi personne n'a-t-il répondu? Ma main est-elle trop courte pour racheter? N'ai-je pas assez de force pour délivrer? Par ma menace, je dessèche la mer, Je réduis les fleuves en désert; Leurs poissons se corrompent, faute d'eau, Et ils périssent de soif.
Je revêts les cieux d'obscurité, Et je fais d'un sac leur couverture.
Le Seigneur, l'Eternel, m'a donné une langue exercée, Pour que je sache soutenir par la parole celui qui est abattu; Il éveille, chaque matin, il éveille mon oreille, Pour que j'écoute comme écoutent des disciples.
Le Seigneur, l'Eternel, m'a ouvert l'oreille, Et je n'ai point résisté, Je ne me suis point retiré en arrière.
J'ai livré mon dos à ceux qui me frappaient, Et mes joues à ceux qui m'arrachaient la barbe; Je n'ai pas dérobé mon visage Aux ignominies et aux crachats.
Mais le Seigneur, l'Eternel, m'a secouru; C'est pourquoi je n'ai point été déshonoré, C'est pourquoi j'ai rendu mon visage semblable à un caillou, Sachant que je ne serais point confondu.
Celui qui me justifie est proche: Qui disputera contre moi? Comparaissons ensemble! Qui est mon adversaire? Qu'il s'avance vers moi!
Voici, le Seigneur, l'Eternel, me secourra: Qui me condamnera? Voici, ils tomberont tous en lambeaux comme un vêtement, La teigne les dévorera.
Quiconque parmi vous craint l'Eternel, Qu'il écoute la voix de son serviteur! Quiconque marche dans l'obscurité et manque de lumière, Qu'il se confie dans le nom de l'Eternel, Et qu'il s'appuie sur son Dieu!
Voici, vous tous qui allumez un feu, Et qui êtes armés de torches, Allez au milieu de votre feu et de vos torches enflammées! C'est par ma main que ces choses vous arriveront; Vous vous coucherez dans la douleur.
Ainsi parle l'Eternel: Le ciel est mon trône, Et la terre mon marchepied. Quelle maison pourriez-vous me bâtir, Et quel lieu me donneriez-vous pour demeure?
Toutes ces choses, ma main les a faites, Et toutes ont reçu l'existence, dit l'Eternel. Voici sur qui je porterai mes regards: Sur celui qui souffre et qui a l'esprit abattu, Sur celui qui craint ma parole.
Celui qui immole un boeuf est comme celui qui tuerait un homme, Celui qui sacrifie un agneau est comme celui qui romprait la nuque à un chien, Celui qui présente une offrande est comme celui qui répandrait du sang de porc, Celui qui brûle de l'encens est comme celui qui adorerait des idoles; Tous ceux-là se complaisent dans leurs voies, Et leur âme trouve du plaisir dans leurs abominations.
Moi aussi, je me complairai dans leur infortune, Et je ferai venir sur eux ce qui cause leur effroi, Parce que j'ai appelé, et qu'ils n'ont point répondu, Parce que j'ai parlé, et qu'ils n'ont point écouté; Mais ils ont fait ce qui est mal à mes yeux, Et ils ont choisi ce qui me déplaît.
Ecoutez la parole de l'Eternel, Vous qui craignez sa parole. Voici ce que disent vos frères, Qui vous haïssent et vous repoussent A cause de mon nom: Que l'Eternel montre sa gloire, Et que nous voyions votre joie! -Mais ils seront confondus.
Une voix éclatante sort de la ville, Une voix sort du temple. C'est la voix de l'Eternel, Qui paie à ses ennemis leur salaire.
Avant d'éprouver les douleurs, Elle a enfanté; Avant que les souffrances lui vinssent, Elle a donné naissance à un fils.
Qui a jamais entendu pareille chose? Qui a jamais vu rien de semblable? Un pays peut-il naître en un jour? Une nation est-elle enfantée d'un seul coup? A peine en travail, Sion a enfanté ses fils!
Ouvrirais-je le sein maternel, Pour ne pas laisser enfanter? dit l'Eternel; Moi, qui fais naître, Empêcherais-je d'enfanter? dit ton Dieu.
Réjouissez-vous avec Jérusalem, Faites d'elle le sujet de votre allégresse, Vous tous qui l'aimez; Tressaillez avec elle de joie, Vous tous qui menez deuil sur elle;
Afin que vous soyez nourris et rassasiés Du lait de ses consolations, Afin que vous savouriez avec bonheur La plénitude de sa gloire.
Car ainsi parle l'Eternel: Voici, je dirigerai vers elle la paix comme un fleuve, Et la gloire des nations comme un torrent débordé, Et vous serez allaités; Vous serez portés sur les bras, Et caressés sur les genoux.
Comme un homme que sa mère console, Ainsi je vous consolerai; Vous serez consolés dans Jérusalem.
Vous le verrez, et votre coeur sera dans la joie, Et vos os reprendront de la vigueur comme l'herbe; L'Eternel manifestera sa puissance envers ses serviteurs, Mais il fera sentir sa colère à ses ennemis.
Car voici, l'Eternel arrive dans un feu, Et ses chars sont comme un tourbillon; Il convertit sa colère en un brasier, Et ses menaces en flammes de feu.
C'est par le feu que l'Eternel exerce ses jugements, C'est par son glaive qu'il châtie toute chair; Et ceux que tuera l'Eternel seront en grand nombre.
Ceux qui se sanctifient et se purifient dans les jardins, Au milieu desquels ils vont un à un, Qui mangent de la chair de porc, Des choses abominables et des souris, Tous ceux-là périront, dit l'Eternel.
Je connais leurs oeuvres et leurs pensées. Le temps est venu de rassembler toutes les nations Et toutes les langues; Elles viendront et verront ma gloire.
Je mettrai un signe parmi elles, Et j'enverrai leurs réchappés vers les nations, A Tarsis, à Pul et à Lud, qui tirent de l'arc, A Tubal et à Javan, Aux îles lointaines, Qui jamais n'ont entendu parler de moi, Et qui n'ont pas vu ma gloire; Et ils publieront ma gloire parmi les nations.
Ils amèneront tous vos frères du milieu de toutes les nations, En offrande à l'Eternel, Sur des chevaux, des chars et des litières, Sur des mulets et des dromadaires, A ma montagne sainte, A Jérusalem, dit l'Eternel, Comme les enfants d'Israël apportent leur offrande, Dans un vase pur, A la maison de l'Eternel.
Et je prendrai aussi parmi eux Des sacrificateurs, des Lévites, dit l'Eternel.
Car, comme les nouveaux cieux Et la nouvelle terre que je vais créer Subsisteront devant moi, dit l'Eternel, Ainsi subsisteront votre postérité et votre nom.
A chaque nouvelle lune et à chaque sabbat, Toute chair viendra se prosterner devant moi, dit l'Eternel.
Et quand on sortira, on verra Les cadavres des hommes qui se sont rebellés contre moi; Car leur ver ne mourra point, et leur feu ne s'éteindra point; Et ils seront pour toute chair un objet d'horreur.