Louis Segond 1910
Versliste
Est-ce toi qui donnes la vigueur au cheval, Et qui revêts son cou d'une crinière flottante?
Le fais-tu bondir comme la sauterelle? Son fier hennissement répand la terreur.
Il creuse le sol et se réjouit de sa force, Il s'élance au-devant des armes;
Il se rit de la crainte, il n'a pas peur, Il ne recule pas en face de l'épée.
Sur lui retentit le carquois, Brillent la lance et le javelot.
Bouillonnant d'ardeur, il dévore la terre, Il ne peut se contenir au bruit de la trompette.
Quand la trompette sonne, il dit: En avant! Et de loin il flaire la bataille, La voix tonnante des chefs et les cris de guerre.
Car je connais ton esprit de rébellion et la roideur de ton cou. Si vous êtes rebelles contre l'Eternel pendant que je suis encore vivant au milieu de vous, combien plus le serez-vous après ma mort!
Mais ils n'écoutèrent point, et ils roidirent leur cou, comme leurs pères, qui n'avaient pas cru en l'Eternel, leur Dieu.
Mais nos pères se livrèrent à l'orgueil et raidirent leur cou. Ils n'écoutèrent point tes commandements,
Il a eu l'audace de courir à lui Sous le dos épais de ses boucliers.
N'élevez pas si haut votre tête, Ne parlez pas avec tant d'arrogance!
Mais ils ne m'ont point écouté, ils n'ont point prêté l'oreille; Ils ont raidi leur cou, Ils ont fait le mal plus que leurs pères.
Elle dit au serviteur: Qui est cet homme, qui vient dans les champs à notre rencontre? Et le serviteur répondit: C'est mon seigneur. Alors elle prit son voile, et se couvrit.
Pendant tout le temps de son naziréat, le rasoir ne passera point sur sa tête; jusqu'à l'accomplissement des jours pour lesquels il s'est consacré à l'Eternel, il sera saint, il laissera croître librement ses cheveux.
mais que c'est une gloire pour la femme d'en porter, parce que la chevelure lui a été donnée comme voile?
Ces sauterelles ressemblaient à des chevaux préparés pour le combat; il y avait sur leurs têtes comme des couronnes semblables à de l'or, et leurs visages étaient comme des visages d'hommes.
A les voir, on dirait des chevaux, Et ils courent comme des cavaliers.