Louis Segond 1910
Versliste
Trois amis de Job, Eliphaz de Théman, Bildad de Schuach, et Tsophar de Naama, apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Ils se concertèrent et partirent de chez eux pour aller le plaindre et le consoler!
Ayant de loin porté les regards sur lui, ils ne le reconnurent pas, et ils élevèrent la voix et pleurèrent. Ils déchirèrent leurs manteaux, et ils jetèrent de la poussière en l'air au-dessus de leur tête.
Et ils se tinrent assis à terre auprès de lui sept jours et sept nuits, sans lui dire une parole, car ils voyaient combien sa douleur était grande.
L'ami aime en tout temps, Et dans le malheur il se montre un frère.
Ainsi j'ai pour partage des mois de douleur, J'ai pour mon lot des nuits de souffrance.
Sur Edom. Ainsi parle l'Eternel des armées: N'y a-t-il plus de sagesse dans Théman? La prudence a-t-elle disparu chez les hommes intelligents? Leur sagesse s'est-elle évanouie?
Voici les noms des fils d'Esaü: Eliphaz, fils d'Ada, femme d'Esaü; Réuel, fils de Basmath, femme d'Esaü.
Les fils d'Eliphaz furent: Théman, Omar, Tsepho, Gaetham et Kenaz.
Après que l'Eternel eut adressé ces paroles à Job, il dit à Eliphaz de Théman: Ma colère est enflammée contre toi et contre tes deux amis, parce que vous n'avez pas parlé de moi avec droiture comme l'a fait mon serviteur Job.
Abraham prit encore une femme, nommée Ketura.
Elle lui enfanta Zimran, Jokschan, Medan, Madian, Jischbak et Schuach.
Elles firent ensemble le voyage jusqu'à leur arrivée à Bethléhem. Et lorsqu'elles entrèrent dans Bethléhem, toute la ville fut émue à cause d'elles, et les femmes disaient: Est-ce là Naomi?
Arrivés à l'aire d'Athad, qui est au delà du Jourdain, ils firent entendre de grandes et profondes lamentations; et Joseph fit en l'honneur de son père un deuil de sept jours.
ils prirent leurs os, et les enterrèrent sous le tamarisc à Jabès. Et ils jeûnèrent sept jours.
Avec Dieu, nous ferons des exploits; Il écrasera nos ennemis.
Ne vous confiez pas aux grands, Aux fils de l'homme, qui ne peuvent sauver.
Cessez de vous confier en l'homme, Dans les narines duquel il n'y a qu'un souffle: Car de quelle valeur est-il?
Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.