Louis Segond 1910
Versliste
Au chef des chantres. Sur la guitthith. D'Asaph. Chantez avec allégresse à Dieu, notre force! Poussez des cris de joie vers le Dieu de Jacob!
Entonnez des cantiques, faites résonner le tambourin, La harpe mélodieuse et le luth!
Sonnez de la trompette à la nouvelle lune, A la pleine lune, au jour de notre fête!
Car c'est une loi pour Israël, Une ordonnance du Dieu de Jacob.
Il en fit un statut pour Joseph, Quand il marcha contre le pays d'Egypte... J'entends une voix qui m'est inconnue:
J'ai déchargé son épaule du fardeau, Et ses mains ont lâché la corbeille.
Tu as crié dans la détresse, et je t'ai délivré; Je t'ai répondu dans la retraite du tonnerre; Je t'ai éprouvé près des eaux de Meriba. Pause.
Ecoute, mon peuple! et je t'avertirai; Israël, puisses-tu m'écouter!
Qu'il n'y ait au milieu de toi point de dieu étranger! Ne te prosterne pas devant des dieux étrangers!
Je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait monter du pays d'Egypte; Ouvre ta bouche, et je la remplirai.
Mais mon peuple n'a point écouté ma voix, Israël ne m'a point obéi.
Alors je les ai livrés aux penchants de leur coeur, Et ils ont suivi leurs propres conseils.
Oh! si mon peuple m'écoutait, Si Israël marchait dans mes voies!
En un instant je confondrais leurs ennemis, Je tournerais ma main contre leurs adversaires;
Ceux qui haïssent l'Eternel le flatteraient, Et le bonheur d'Israël durerait toujours;
Je le nourrirais du meilleur froment, Et je le rassasierais du miel du rocher.
Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre.
Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux.
Et je vis un ange puissant, qui criait d'une voix forte: Qui est digne d'ouvrir le livre, et d'en rompre les sceaux?
Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder.
Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d'ouvrir le livre ni de le regarder.
Et l'un des vieillards me dit: Ne pleure point; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux.
Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre.
Il vint, et il prit le livre de la main droite de celui qui était assis sur le trône.
Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d'or remplies de parfums, qui sont les prières des saints.
Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant: Tu es digne de prendre le livre, et d'en ouvrir les sceaux; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation;
tu as fait d'eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre.
Au chef des chantres. Avec instruments à cordes. Psaume de David. Quand je crie, réponds-moi, Dieu de ma justice! Quand je suis dans la détresse, sauve-moi! Aie pitié de moi, écoute ma prière!
Au chef des chantres. Sur les lis. Des fils de Koré. Cantique. Chant d'amour. Des paroles pleines de charme bouillonnent dans mon coeur. Je dis: Mon oeuvre est pour le roi! Que ma langue soit comme la plume d'un habile écrivain!
Au chef des chantres. Sur le lis lyrique. Hymne de David, pour enseigner. Lorsqu'il fit la guerre aux Syriens de Mésopotamie et aux Syriens de Tsoba, et que Joab revint et battit dans la vallée du sel douze mille Edomites. O Dieu! tu nous as repoussés, dispersés, Tu t'es irrité: relève-nous!
Au chef des chantres. Sur le lis lyrique. Hymne de David, pour enseigner. Lorsqu'il fit la guerre aux Syriens de Mésopotamie et aux Syriens de Tsoba, et que Joab revint et battit dans la vallée du sel douze mille Edomites. O Dieu! tu nous as repoussés, dispersés, Tu t'es irrité: relève-nous!
Tu as ébranlé la terre, tu l'as déchirée: Répare ses brèches, car elle chancelle!
Tu as fait voir à ton peuple des choses dures, Tu nous as abreuvés d'un vin d'étourdissement.
Tu as donné à ceux qui te craignent une bannière, Pour qu'elle s'élève à cause de la vérité. -Pause.
Afin que tes bien-aimés soient délivrés, Sauve par ta droite, et exauce-nous!
Dieu a dit dans sa sainteté: Je triompherai, Je partagerai Sichem, je mesurerai la vallée de Succoth;
A moi Galaad, à moi Manassé; Ephraïm est le rempart de ma tête, Et Juda, mon sceptre;
Moab est le bassin où je me lave; Je jette mon soulier sur Edom; Pays des Philistins, pousse à mon sujet des cris de joie! -
Qui me mènera dans la ville forte? Qui me conduira à Edom?
N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?
Donne-nous du secours contre la détresse! Le secours de l'homme n'est que vanité.
Avec Dieu, nous ferons des exploits; Il écrasera nos ennemis.
Au chef des chantres. Sur le lis lyrique. Hymne de David, pour enseigner. Lorsqu'il fit la guerre aux Syriens de Mésopotamie et aux Syriens de Tsoba, et que Joab revint et battit dans la vallée du sel douze mille Edomites. O Dieu! tu nous as repoussés, dispersés, Tu t'es irrité: relève-nous!
Au chef des chantres. Sur le lis lyrique. Hymne de David, pour enseigner. Lorsqu'il fit la guerre aux Syriens de Mésopotamie et aux Syriens de Tsoba, et que Joab revint et battit dans la vallée du sel douze mille Edomites. O Dieu! tu nous as repoussés, dispersés, Tu t'es irrité: relève-nous!
Tu as ébranlé la terre, tu l'as déchirée: Répare ses brèches, car elle chancelle!
Tu as fait voir à ton peuple des choses dures, Tu nous as abreuvés d'un vin d'étourdissement.
Tu as donné à ceux qui te craignent une bannière, Pour qu'elle s'élève à cause de la vérité. -Pause.
Afin que tes bien-aimés soient délivrés, Sauve par ta droite, et exauce-nous!
Dieu a dit dans sa sainteté: Je triompherai, Je partagerai Sichem, je mesurerai la vallée de Succoth;
A moi Galaad, à moi Manassé; Ephraïm est le rempart de ma tête, Et Juda, mon sceptre;
Moab est le bassin où je me lave; Je jette mon soulier sur Edom; Pays des Philistins, pousse à mon sujet des cris de joie! -
Qui me mènera dans la ville forte? Qui me conduira à Edom?
N'est-ce pas toi, ô Dieu, qui nous as repoussés, Et qui ne sortais plus, ô Dieu, avec nos armées?
Donne-nous du secours contre la détresse! Le secours de l'homme n'est que vanité.
Avec Dieu, nous ferons des exploits; Il écrasera nos ennemis.
Psaume d'Asaph. Dieu, Dieu, l'Eternel, parle, et convoque la terre, Depuis le soleil levant jusqu'au soleil couchant.