Louis Segond 1910
Versliste
Il pénétrera dans Juda, il débordera et inondera, Il atteindra jusqu'au cou. Le déploiement de ses ailes Remplira l'étendue de ton pays, ô Emmanuel!
Car ainsi parle l'Eternel: Voici, il vole comme l'aigle, Et il étend ses ailes sur Moab.
Voici, comme l'aigle il s'avance, il vole, Il étend ses ailes sur Botsra, Et le coeur des héros d'Edom est en ce jour Comme le coeur d'une femme en travail.
J'entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout-Puissant; c'était un bruit tumultueux, comme celui d'une armée; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes.
Le bruit des ailes des chérubins se fit entendre jusqu'au parvis extérieur, pareil à la voix du Dieu tout-puissant lorsqu'il parle.
Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il paraissait sur les ailes du vent.
Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il planait sur les ailes du vent.
Il forme avec les eaux le faîte de sa demeure; Il prend les nuées pour son char, Il s'avance sur les ailes du vent.
Vous avez vu ce que j'ai fait à l'Egypte, et comment je vous ai portés sur des ailes d'aigle et amenés vers moi.
Pareil à l'aigle qui éveille sa couvée, Voltige sur ses petits, Déploie ses ailes, les prend, Les porte sur ses plumes.
L'Eternel seul a conduit son peuple, Et il n'y avait avec lui aucun dieu étranger.
Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu!
Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu!
Voici, votre maison vous sera laissée; mais, je vous le dis, vous ne me verrez plus, jusqu'à ce que vous disiez: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!
Voici, votre maison vous sera laissée déserte;
Combien est précieuse ta bonté, ô Dieu! A l'ombre de tes ailes les fils de l'homme cherchent un refuge.
Garde-moi comme la prunelle de l'oeil; Protège-moi, à l'ombre de tes ailes,
Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent.
Va, mon peuple, entre dans ta chambre, Et ferme la porte derrière toi; Cache-toi pour quelques instants, Jusqu'à ce que la colère soit passée.
Au chef des chantres. Ne détruis pas. Hymne de David. Lorsqu'il se réfugia dans la caverne, poursuivi par Saül. Aie pitié de moi, ô Dieu, aie pitié de moi! Car en toi mon âme cherche un refuge; Je cherche un refuge à l'ombre de tes ailes, Jusqu'à ce que les calamités soient passées.
Je voudrais séjourner éternellement dans ta tente, Me réfugier à l'abri de tes ailes. -Pause.
Car tu es mon secours, Et je suis dans l'allégresse à l'ombre de tes ailes.
Psaume de David. Lorsqu'il était dans le désert de Juda. O Dieu! tu es mon Dieu, je te cherche; Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, Dans une terre aride, desséchée, sans eau.
Au chef des chantres. Psaume de David. Cantique. Avec confiance, ô Dieu! on te louera dans Sion, Et l'on accomplira les voeux qu'on t'a faits.
Je voudrais séjourner éternellement dans ta tente, Me réfugier à l'abri de tes ailes. -Pause.
Il fit partir son peuple comme des brebis, Il les conduisit comme un troupeau dans le désert.