Louis Segond 1910
Versliste
Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages!
Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, Si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour.
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis.
Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. -
En effet, nul de nous ne vit pour lui-même, et nul ne meurt pour lui-même.
Car si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur.
Car l'amour de Christ nous presse, parce que nous estimons que, si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts;