Louis Segond 1910
Versliste
J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi.
Désormais la couronne de justice m'est réservée; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement.
Viens au plus tôt vers moi;
car Démas m'a abandonné, par amour pour le siècle présent, et il est parti pour Thessalonique; Crescens est allé en Galatie, Tite en Dalmatie.
Luc seul est avec moi. Prends Marc, et amène-le avec toi, car il m'est utile pour le ministère.
J'ai envoyé Tychique à Ephèse.
Quand tu viendras, apporte le manteau que j'ai laissé à Troas chez Carpus, et les livres, surtout les parchemins.
Alexandre, le forgeron, m'a fait beaucoup de mal. Le Seigneur lui rendra selon ses oeuvres.
Garde-toi aussi de lui, car il s'est fortement opposé à nos paroles.
Mais je ne fais pour moi-même aucun cas de ma vie, comme si elle m'était précieuse, pourvu que j'accomplisse ma course avec joie, et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, d'annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu.
Frères, je ne pense pas l'avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant,
je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ.
car je ne me sens coupable de rien; mais ce n'est pas pour cela que je suis justifié. Celui qui me juge, c'est le Seigneur.
Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait, étant dans son corps.
Luc, le médecin bien-aimé, vous salue, ainsi que Démas.
ainsi que Marc, Aristarque, Démas, Luc, mes compagnons d'oeuvre.
N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui;
Barnabas et Saul, après s'être acquittés de leur message, s'en retournèrent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.
Paul et ses compagnons, s'étant embarqués à Paphos, se rendirent à Perge en Pamphylie. Jean se sépara d'eux, et retourna à Jérusalem.
Quelques jours s'écoulèrent, après lesquels Paul dit à Barnabas: Retournons visiter les frères dans toutes les villes où nous avons annoncé la parole du Seigneur, pour voir en quel état ils sont.
Barnabas voulait emmener aussi Jean, surnommé Marc;
mais Paul jugea plus convenable de ne pas prendre avec eux celui qui les avait quittés depuis la Pamphylie, et qui ne les avait point accompagnés dans leur oeuvre.
Ce dissentiment fut assez vif pour être cause qu'ils se séparèrent l'un de l'autre. Et Barnabas, prenant Marc avec lui, s'embarqua pour l'île de Chypre.
Tychique, le bien-aimé frère et le fidèle ministre, mon compagnon de service dans le Seigneur, vous communiquera tout ce qui me concerne.
Afin que vous aussi, vous sachiez ce qui me concerne, ce que je fais, Tychique, le bien-aimé frère et fidèle ministre dans le Seigneur, vous informera de tout.
Tychique, le bien-aimé frère et le fidèle ministre, mon compagnon de service dans le Seigneur, vous communiquera tout ce qui me concerne.
Je l'envoie exprès vers vous, pour que vous connaissiez notre situation, et pour qu'il console vos coeurs.