Louis Segond 1910
Versliste
Notre bouche s'est ouverte pour vous, Corinthiens, notre coeur s'est élargi.
Vous n'êtes point à l'étroit au dedans de nous; mais vos entrailles se sont rétrécies.
Rendez-nous la pareille, -je vous parle comme à mes enfants, -élargissez-vous aussi!
Vous observerez mes lois. Tu n'accoupleras point des bestiaux de deux espèces différentes; tu n'ensemenceras point ton champ de deux espèces de semences; et tu ne porteras pas un vêtement tissé de deux espèces de fils.
Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l'iniquité? ou qu'y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres?
Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial? ou quelle part a le fidèle avec l'infidèle?
Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière!
Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde.
Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée;
Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l'a dit: J'habiterai et je marcherai au milieu d'eux; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.
C'est pourquoi, Sortez du milieu d'eux, Et séparez-vous, dit le Seigneur; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et je vous accueillerai.
Tu ne répandras point de calomnies parmi ton peuple. Tu ne t'élèveras point contre le sang de ton prochain. Je suis l'Eternel.
Si vous suivez mes lois, si vous gardez mes commandements et les mettez en pratique,
J'établirai ma demeure au milieu de vous, et mon âme ne vous aura point en horreur.
Je marcherai au milieu de vous, je serai votre Dieu, et vous serez mon peuple.
Partez, partez, sortez de là! Ne touchez rien d'impur! Sortez du milieu d'elle! Purifiez-vous, vous qui portez les vases de l'Eternel!
Je serai pour vous un père, Et vous serez pour moi des fils et des filles, Dit le Seigneur tout-puissant.
Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.
L'Eternel parla à Moïse, et dit:
Parle à toute l'assemblée des enfants d'Israël, et tu leur diras: Soyez saints, car je suis saint, moi, l'Eternel, votre Dieu.
Chacun de vous respectera sa mère et son père, et observera mes sabbats. Je suis l'Eternel, votre Dieu.
Vous ne vous tournerez point vers les idoles, et vous ne vous ferez point des dieux de fonte.
Quand vous offrirez à l'Eternel un sacrifice d'actions de grâces, vous l'offrirez en sorte qu'il soit agréé.
La victime sera mangée le jour où vous la sacrifierez, ou le lendemain; ce qui restera jusqu'au troisième jour sera brûlé au feu.
Si l'on en mange le troisième jour, ce sera une chose infecte: le sacrifice ne sera point agréé.
Celui qui en mangera portera la peine de son péché, car il profane ce qui est consacré à l'Eternel: cette personne-là sera retranchée de son peuple.
Quand vous ferez la moisson dans votre pays, tu laisseras un coin de ton champ sans le moissonner, et tu ne ramasseras pas ce qui reste à glaner.
Tu ne cueilleras pas non plus les grappes restées dans ta vigne, et tu ne ramasseras pas les grains qui en seront tombés. Tu abandonneras cela au pauvre et à l'étranger. Je suis l'Eternel, votre Dieu.
Vous ne déroberez point, et vous n'userez ni de mensonge ni de tromperie les uns envers les autres.
Vous ne jurerez point faussement par mon nom, car tu profanerais le nom de ton Dieu. Je suis l'Eternel.
Tu n'opprimeras point ton prochain, et tu ne raviras rien par violence. Tu ne retiendras point jusqu'au lendemain le salaire du mercenaire.
Tu ne maudiras point un sourd, et tu ne mettras devant un aveugle rien qui puisse le faire tomber; car tu auras la crainte de ton Dieu. Je suis l'Eternel.
Tu ne commettras point d'iniquité dans tes jugements: tu n'auras point égard à la personne du pauvre, et tu ne favoriseras point la personne du grand, mais tu jugeras ton prochain selon la justice.
Tu ne répandras point de calomnies parmi ton peuple. Tu ne t'élèveras point contre le sang de ton prochain. Je suis l'Eternel.
Tu ne haïras point ton frère dans ton coeur; tu auras soin de reprendre ton prochain, mais tu ne te chargeras point d'un péché à cause de lui.
Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l'Eternel.
Vous observerez mes lois. Tu n'accoupleras point des bestiaux de deux espèces différentes; tu n'ensemenceras point ton champ de deux espèces de semences; et tu ne porteras pas un vêtement tissé de deux espèces de fils.
Lorsqu'un homme couchera et aura commerce avec une femme, si c'est une esclave fiancée à un autre homme, et qui n'a pas été rachetée ou affranchie, ils seront châtiés, mais non punis de mort, parce qu'elle n'a pas été affranchie.
L'homme amènera pour sa faute à l'Eternel, à l'entrée de la tente d'assignation, un bélier en sacrifice de culpabilité.
Le sacrificateur fera pour lui l'expiation devant l'Eternel, pour le péché qu'il a commis, avec le bélier offert en sacrifice de culpabilité, et le péché qu'il a commis lui sera pardonné.
Quand vous serez entrés dans le pays, et que vous y aurez planté toutes sortes d'arbres fruitiers, vous en regarderez les fruits comme incirconcis; pendant trois ans, ils seront pour vous incirconcis; on n'en mangera point.
La quatrième année, tous leurs fruits seront consacrés à l'Eternel au milieu des réjouissances.
La cinquième année, vous en mangerez les fruits, et vous continuerez à les récolter. Je suis l'Eternel, votre Dieu.
Vous ne mangerez rien avec du sang. Vous n'observerez ni les serpents ni les nuages pour en tirer des pronostics.
Vous ne couperez point en rond les coins de votre chevelure, et tu ne raseras point les coins de ta barbe.
Vous ne ferez point d'incisions dans votre chair pour un mort, et vous n'imprimerez point de figures sur vous. Je suis l'Eternel.
Tu ne profaneras point ta fille en la livrant à la prostitution, de peur que le pays ne se prostitue et ne se remplisse de crimes.
Vous observerez mes sabbats, et vous révérerez mon sanctuaire. Je suis l'Eternel.
Ne vous tournez point vers ceux qui évoquent les esprits, ni vers les devins; ne les recherchez point, de peur de vous souiller avec eux. Je suis l'Eternel, votre Dieu.
Tu te lèveras devant les cheveux blancs, et tu honoreras la personne du vieillard. Tu craindras ton Dieu. Je suis l'Eternel.
Si un étranger vient séjourner avec vous dans votre pays, vous ne l'opprimerez point.
Vous traiterez l'étranger en séjour parmi vous comme un indigène du milieu de vous; vous l'aimerez comme vous-mêmes, car vous avez été étrangers dans le pays d'Egypte. Je suis l'Eternel, votre Dieu.
Vous ne commettrez point d'iniquité ni dans les jugements, ni dans les mesures de dimension, ni dans les poids, ni dans les mesures de capacité.
Vous aurez des balances justes, des poids justes, des épha justes et des hin justes. Je suis l'Eternel, votre Dieu, qui vous ai fait sortir du pays d'Egypte.
Vous observerez toutes mes lois et toutes mes ordonnances, et vous les mettrez en pratique. Je suis l'Eternel.
Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.
Si tu sondes mon coeur, si tu le visites la nuit, Si tu m'éprouves, tu ne trouveras rien: Ma pensée n'est pas autre que ce qui sort de ma bouche.
Donnez-nous une place dans vos coeurs! Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons tiré du profit de personne.
Donnez-nous une place dans vos coeurs! Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons tiré du profit de personne.
Ce n'est pas pour vous condamner que je parle de la sorte; car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à la vie et à la mort.
J'ai une grande confiance en vous, j'ai tout sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations.
Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n'eut aucun repos; nous étions affligés de toute manière: luttes au dehors, craintes au dedans.
Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l'arrivée de Tite,
et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet: il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d'autant plus grande.
Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m'en repens pas. Et, si je m'en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément, -
je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage.
En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort.
Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire.
Si donc je vous ai écrit, ce n'était ni à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui qui l'a reçue; c'était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu.
C'est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l'esprit a été tranquillisé par vous tous.
Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n'en ai point eu de confusion; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s'est trouvé être aussi la vérité.
Il éprouve pour vous un redoublement d'affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l'accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement.
Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous.
Donnez-nous une place dans vos coeurs! Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons tiré du profit de personne.
Ce n'est pas pour vous condamner que je parle de la sorte; car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à la vie et à la mort.
J'ai une grande confiance en vous, j'ai tout sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations.
Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n'eut aucun repos; nous étions affligés de toute manière: luttes au dehors, craintes au dedans.
Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l'arrivée de Tite,
et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet: il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d'autant plus grande.
Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m'en repens pas. Et, si je m'en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément, -
je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage.
En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort.
Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire.
Si donc je vous ai écrit, ce n'était ni à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui qui l'a reçue; c'était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu.
C'est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l'esprit a été tranquillisé par vous tous.
Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n'en ai point eu de confusion; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s'est trouvé être aussi la vérité.
Il éprouve pour vous un redoublement d'affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l'accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement.
Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous.
Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent;
Serviteurs, obéissez à vos maîtres selon la chair, avec crainte et tremblement, dans la simplicité de votre coeur, comme à Christ,