Louis Segond 1910
Versliste
Il fit les dix bases d'airain. Chacune avait quatre coudées de longueur, quatre coudées de largeur, et trois coudées de hauteur.
Voici en quoi consistaient ces bases. Elles étaient formées de panneaux, liés aux coins par des montants.
Sur les panneaux qui étaient entre les montants il y avait des lions, des boeufs et des chérubins; et sur les montants, au-dessus comme au-dessous des lions et des boeufs, il y avait des ornements qui pendaient en festons.
Chaque base avait quatre roues d'airain avec des essieux d'airain; et aux quatre angles étaient des consoles de fonte, au-dessous du bassin, et au delà des festons.
Le couronnement de la base offrait à son intérieur une ouverture avec un prolongement d'une coudée vers le haut; cette ouverture était ronde, comme pour les ouvrages de ce genre, et elle avait une coudée et demie de largeur; il s'y trouvait aussi des sculptures. Les panneaux étaient carrés, et non arrondis.
Les quatre roues étaient sous les panneaux, et les essieux des roues fixés à la base; chacune avait une coudée et demie de hauteur.
Les roues étaient faites comme celles d'un char. Leurs essieux, leurs jantes, leurs rais et leurs moyeux, tout était de fonte.
Il y avait aux quatre angles de chaque base quatre consoles d'une même pièce que la base.
La partie supérieure de la base se terminait par un cercle d'une demi-coudée de hauteur, et elle avait ses appuis et ses panneaux de la même pièce.
Il grava sur les plaques des appuis, et sur les panneaux, des chérubins, des lions et des palmes, selon les espaces libres, et des guirlandes tout autour.
C'est ainsi qu'il fit les dix bases: la fonte, la mesure et la forme étaient les mêmes pour toutes.
Il fit les dix bases d'airain. Chacune avait quatre coudées de longueur, quatre coudées de largeur, et trois coudées de hauteur.
Voici en quoi consistaient ces bases. Elles étaient formées de panneaux, liés aux coins par des montants.
Sur les panneaux qui étaient entre les montants il y avait des lions, des boeufs et des chérubins; et sur les montants, au-dessus comme au-dessous des lions et des boeufs, il y avait des ornements qui pendaient en festons.
Chaque base avait quatre roues d'airain avec des essieux d'airain; et aux quatre angles étaient des consoles de fonte, au-dessous du bassin, et au delà des festons.
Le couronnement de la base offrait à son intérieur une ouverture avec un prolongement d'une coudée vers le haut; cette ouverture était ronde, comme pour les ouvrages de ce genre, et elle avait une coudée et demie de largeur; il s'y trouvait aussi des sculptures. Les panneaux étaient carrés, et non arrondis.
Les quatre roues étaient sous les panneaux, et les essieux des roues fixés à la base; chacune avait une coudée et demie de hauteur.
Les roues étaient faites comme celles d'un char. Leurs essieux, leurs jantes, leurs rais et leurs moyeux, tout était de fonte.
Il y avait aux quatre angles de chaque base quatre consoles d'une même pièce que la base.
La partie supérieure de la base se terminait par un cercle d'une demi-coudée de hauteur, et elle avait ses appuis et ses panneaux de la même pièce.
Il grava sur les plaques des appuis, et sur les panneaux, des chérubins, des lions et des palmes, selon les espaces libres, et des guirlandes tout autour.
C'est ainsi qu'il fit les dix bases: la fonte, la mesure et la forme étaient les mêmes pour toutes.
Après cela, je regardai, et voici, une porte était ouverte dans le ciel. La première voix que j'avais entendue, comme le son d'une trompette, et qui me parlait, dit: Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite.
Aussitôt je fus ravi en esprit. Et voici, il y avait un trône dans le ciel, et sur ce trône quelqu'un était assis.
Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine; et le trône était environné d'un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude.
Autour du trône je vis vingt-quatre trônes, et sur ces trônes vingt-quatre vieillards assis, revêtus de vêtements blancs, et sur leurs têtes des couronnes d'or.
Du trône sortent des éclairs, des voix et des tonnerres. Devant le trône brûlent sept lampes ardentes, qui sont les sept esprits de Dieu.
Il y a encore devant le trône comme une mer de verre, semblable à du cristal. Au milieu du trône et autour du trône, il y a quatre êtres vivants remplis d'yeux devant et derrière.
Le premier être vivant est semblable à un lion, le second être vivant est semblable à un veau, le troisième être vivant a la face d'un homme, et le quatrième être vivant est semblable à un aigle qui vole.
Les quatre êtres vivants ont chacun six ailes, et ils sont remplis d'yeux tout autour et au dedans. Ils ne cessent de dire jour et nuit: Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, qui était, qui est, et qui vient!
Quand les êtres vivants rendent gloire et honneur et actions de grâces à celui qui est assis sur le trône, à celui qui vit aux siècles des siècles,
les vingt-quatre vieillards se prosternent devant celui qui est assis sur le trône, et ils adorent celui qui vit aux siècles des siècles, et ils jettent leurs couronnes devant le trône, en disant:
Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l'honneur et la puissance; car tu as créé toutes choses, et c'est par ta volonté qu'elles existent et qu'elles ont été créées.
Il y a encore devant le trône comme une mer de verre, semblable à du cristal. Au milieu du trône et autour du trône, il y a quatre êtres vivants remplis d'yeux devant et derrière.
Le premier être vivant est semblable à un lion, le second être vivant est semblable à un veau, le troisième être vivant a la face d'un homme, et le quatrième être vivant est semblable à un aigle qui vole.