Louis Segond 1910
Versliste
Elie partit de là, et il trouva Elisée, fils de Schaphath, qui labourait. Il y avait devant lui douze paires de boeufs, et il était avec la douzième. Elie s'approcha de lui, et il jeta sur lui son manteau.
Elisée, quittant ses boeufs, courut après Elie, et dit: Laisse-moi embrasser mon père et ma mère, et je te suivrai. Elie lui répondit: Va, et reviens; car pense à ce que je t'ai fait.
Après s'être éloigné d'Elie, il revint prendre une paire de boeufs, qu'il offrit en sacrifice; avec l'attelage des boeufs, il fit cuire leur chair, et la donna à manger au peuple. Puis il se leva, suivit Elie, et fut à son service.
Alors la parole de l'Eternel fut adressée à Elie, le Thischbite, en ces mots:
Lève-toi, descends au-devant d'Achab, roi d'Israël à Samarie; le voilà dans la vigne de Naboth, où il est descendu pour en prendre possession.
Tu lui diras: Ainsi parle l'Eternel: N'es-tu pas un assassin et un voleur? Et tu lui diras: Ainsi parle l'Eternel: Au lieu même où les chiens ont léché le sang de Naboth, les chiens lécheront aussi ton propre sang.
Achab dit à Elie: M'as-tu trouvé, mon ennemi? Et il répondit: Je t'ai trouvé, parce que tu t'es vendu pour faire ce qui est mal aux yeux de l'Eternel.
Voici, je vais faire venir le malheur sur toi; je te balaierai, j'exterminerai quiconque appartient à Achab, celui qui est esclave et celui qui est libre en Israël,
et je rendrai ta maison semblable à la maison de Jéroboam, fils de Nebath, et à la maison de Baescha, fils d'Achija, parce que tu m'as irrité et que tu as fait pécher Israël.
Mais l'ange de l'Eternel dit à Elie, le Thischbite: Lève-toi, monte à la rencontre des messagers du roi de Samarie, et dis-leur: Est-ce parce qu'il n'y a point de Dieu en Israël que vous allez consulter Baal-Zebub, dieu d'Ekron?
C'est pourquoi ainsi parle l'Eternel: Tu ne descendras pas du lit sur lequel tu es monté, car tu mourras. Et Elie s'en alla.
Elisée regardait et criait: Mon père! mon père! Char d'Israël et sa cavalerie! Et il ne le vit plus. Saisissant alors ses vêtements, il les déchira en deux morceaux,
et il releva le manteau qu'Elie avait laissé tomber. Puis il retourna, et s'arrêta au bord du Jourdain;
Alors Elie prit son manteau, le roula, et en frappa les eaux, qui se partagèrent çà et là, et ils passèrent tous deux à sec.
il prit le manteau qu'Elie avait laissé tomber, et il en frappa les eaux, et dit: Où est l'Eternel, le Dieu d'Elie? Lui aussi, il frappa les eaux, qui se partagèrent çà et là, et Elisée passa.
Comme il marchait le long de la mer de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et André, son frère, qui jetaient un filet dans la mer; car ils étaient pêcheurs.
Il leur dit: Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes.
Aussitôt, ils laissèrent les filets, et le suivirent.
De là étant allé plus loin, il vit deux autres frères, Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère, qui étaient dans une barque avec Zébédée, leur père, et qui réparaient leurs filets. Il les appela,
et aussitôt ils laissèrent la barque et leur père, et le suivirent.
C'est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d'être appelé fils de la fille de Pharaon,
aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d'avoir pour un temps la jouissance du péché,
regardant l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l'Egypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération.
Il prit douze pierres d'après le nombre des tribus des fils de Jacob, auquel l'Eternel avait dit: Israël sera ton nom;
Un autre dit: Je te suivrai, Seigneur, mais permets-moi d'aller d'abord prendre congé de ceux de ma maison.
Jésus lui répondit: Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n'est pas propre au royaume de Dieu.
Mais Josaphat dit: N'y a-t-il ici aucun prophète de l'Eternel, par qui nous puissions consulter l'Eternel? L'un des serviteurs du roi d'Israël répondit: Il y a ici Elisée, fils de Schaphath, qui versait l'eau sur les mains d'Elie.
Toute Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,
afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre.