Louis Segond 1910
Versliste
Il y a sur la terre quatre animaux petits, Et cependant des plus sages;
Les fourmis, peuple sans force, Préparent en été leur nourriture;
Les damans, peuple sans puissance, Placent leur demeure dans les rochers;
Les sauterelles n'ont point de roi, Et elles sortent toutes par divisions;
Le lézard saisit avec les mains, Et se trouve dans les palais des rois.
Paroles d'Agur, fils de Jaké. Sentences prononcées par cet homme pour Ithiel, pour Ithiel et pour Ucal.
Certes, je suis plus stupide que personne, Et je n'ai pas l'intelligence d'un homme;
Je n'ai pas appris la sagesse, Et je ne connais pas la science des saints.
Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu? Qui a recueilli le vent dans ses mains? Qui a serré les eaux dans son vêtement? Qui a fait paraître les extrémités de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son fils? Le sais-tu?
Toute parole de Dieu est éprouvée. Il est un bouclier pour ceux qui cherchent en lui un refuge.
N'ajoute rien à ses paroles, De peur qu'il ne te reprenne et que tu ne sois trouvé menteur.
Je te demande deux choses: Ne me les refuse pas, avant que je meure!
Eloigne de moi la fausseté et la parole mensongère; Ne me donne ni pauvreté, ni richesse, Accorde-moi le pain qui m'est nécessaire.
De peur que, dans l'abondance, je ne te renie Et ne dise: Qui est l'Eternel? Ou que, dans la pauvreté, je ne dérobe, Et ne m'attaque au nom de mon Dieu.
Ne calomnie pas un serviteur auprès de son maître, De peur qu'il ne te maudisse et que tu ne te rendes coupable.
Il est une race qui maudit son père, Et qui ne bénit point sa mère.
Il est une race qui se croit pure, Et qui n'est pas lavée de sa souillure.
Il est une race dont les yeux sont hautains, Et les paupières élevées.
Il est une race dont les dents sont des glaives Et les mâchoires des couteaux, Pour dévorer le malheureux sur la terre Et les indigents parmi les hommes.
La sangsue a deux filles: Donne! donne! Trois choses sont insatiables, Quatre ne disent jamais: Assez!
Le séjour des morts, la femme stérile, La terre, qui n'est pas rassasiée d'eau, Et le feu, qui ne dit jamais: Assez!
L'oeil qui se moque d'un père Et qui dédaigne l'obéissance envers une mère, Les corbeaux du torrent le perceront, Et les petits de l'aigle le mangeront.
Il y a trois choses qui sont au-dessus de ma portée, Même quatre que je ne puis comprendre:
La trace de l'aigle dans les cieux, La trace du serpent sur le rocher, La trace du navire au milieu de la mer, Et la trace de l'homme chez la jeune femme.
Telle est la voie de la femme adultère: Elle mange, et s'essuie la bouche, Puis elle dit: Je n'ai point fait de mal.
Trois choses font trembler la terre, Et il en est quatre qu'elle ne peut supporter:
Un esclave qui vient à régner, Un insensé qui est rassasié de pain,
Une femme dédaignée qui se marie, Et une servante qui hérite de sa maîtresse.
Il y a sur la terre quatre animaux petits, Et cependant des plus sages;
Les fourmis, peuple sans force, Préparent en été leur nourriture;
Les damans, peuple sans puissance, Placent leur demeure dans les rochers;
Les sauterelles n'ont point de roi, Et elles sortent toutes par divisions;
Le lézard saisit avec les mains, Et se trouve dans les palais des rois.
Il y en a trois qui ont une belle allure, Et quatre qui ont une belle démarche:
Le lion, le héros des animaux, Ne reculant devant qui que ce soit;
Le cheval tout équipé; ou le bouc; Et le roi à qui personne ne résiste.
Si l'orgueil te pousse à des actes de folie, Et si tu as de mauvaises pensées, mets la main sur la bouche:
Car la pression du lait produit de la crème, La pression du nez produit du sang, Et la pression de la colère produit des querelles.
Interroge les bêtes, elles t'instruiront, Les oiseaux du ciel, ils te l'apprendront;
Considérez, frères, que parmi vous qui avez été appelés il n'y a ni beaucoup de sages selon la chair, ni beaucoup de puissants, ni beaucoup de nobles.
Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes;
et Dieu a choisi les choses viles du monde et celles qu'on méprise, celles qui ne sont point, pour réduire à néant celles qui sont,
afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.
Or, c'est par lui que vous êtes en Jésus-Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption,
Va vers la fourmi, paresseux; Considère ses voies, et deviens sage.
Et il leur dit cette parabole: Les terres d'un homme riche avaient beaucoup rapporté.
Et il raisonnait en lui-même, disant: Que ferai-je? car je n'ai pas de place pour serrer ma récolte.
Voici, dit-il, ce que je ferai: j'abattrai mes greniers, j'en bâtirai de plus grands, j'y amasserai toute ma récolte et tous mes biens;
et je dirai à mon âme: Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années; repose-toi, mange, bois, et réjouis-toi.
Mais Dieu lui dit: Insensé! cette nuit même ton âme te sera redemandée; et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il?
Il en est ainsi de celui qui amasse des trésors pour lui-même, et qui n'est pas riche pour Dieu.
Paroles d'Agur, fils de Jaké. Sentences prononcées par cet homme pour Ithiel, pour Ithiel et pour Ucal.
Certes, je suis plus stupide que personne, Et je n'ai pas l'intelligence d'un homme;
Je n'ai pas appris la sagesse, Et je ne connais pas la science des saints.
Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu? Qui a recueilli le vent dans ses mains? Qui a serré les eaux dans son vêtement? Qui a fait paraître les extrémités de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son fils? Le sais-tu?
Toute parole de Dieu est éprouvée. Il est un bouclier pour ceux qui cherchent en lui un refuge.
N'ajoute rien à ses paroles, De peur qu'il ne te reprenne et que tu ne sois trouvé menteur.
Je te demande deux choses: Ne me les refuse pas, avant que je meure!
Eloigne de moi la fausseté et la parole mensongère; Ne me donne ni pauvreté, ni richesse, Accorde-moi le pain qui m'est nécessaire.
De peur que, dans l'abondance, je ne te renie Et ne dise: Qui est l'Eternel? Ou que, dans la pauvreté, je ne dérobe, Et ne m'attaque au nom de mon Dieu.
Ne calomnie pas un serviteur auprès de son maître, De peur qu'il ne te maudisse et que tu ne te rendes coupable.
Il est une race qui maudit son père, Et qui ne bénit point sa mère.
Il est une race qui se croit pure, Et qui n'est pas lavée de sa souillure.
Il est une race dont les yeux sont hautains, Et les paupières élevées.
Il est une race dont les dents sont des glaives Et les mâchoires des couteaux, Pour dévorer le malheureux sur la terre Et les indigents parmi les hommes.
La sangsue a deux filles: Donne! donne! Trois choses sont insatiables, Quatre ne disent jamais: Assez!
Le séjour des morts, la femme stérile, La terre, qui n'est pas rassasiée d'eau, Et le feu, qui ne dit jamais: Assez!
L'oeil qui se moque d'un père Et qui dédaigne l'obéissance envers une mère, Les corbeaux du torrent le perceront, Et les petits de l'aigle le mangeront.
Il y a trois choses qui sont au-dessus de ma portée, Même quatre que je ne puis comprendre:
La trace de l'aigle dans les cieux, La trace du serpent sur le rocher, La trace du navire au milieu de la mer, Et la trace de l'homme chez la jeune femme.
Telle est la voie de la femme adultère: Elle mange, et s'essuie la bouche, Puis elle dit: Je n'ai point fait de mal.
Trois choses font trembler la terre, Et il en est quatre qu'elle ne peut supporter:
Un esclave qui vient à régner, Un insensé qui est rassasié de pain,
Une femme dédaignée qui se marie, Et une servante qui hérite de sa maîtresse.
Il y a sur la terre quatre animaux petits, Et cependant des plus sages;
Les fourmis, peuple sans force, Préparent en été leur nourriture;
Les damans, peuple sans puissance, Placent leur demeure dans les rochers;
Les sauterelles n'ont point de roi, Et elles sortent toutes par divisions;
Le lézard saisit avec les mains, Et se trouve dans les palais des rois.
Il y en a trois qui ont une belle allure, Et quatre qui ont une belle démarche:
Le lion, le héros des animaux, Ne reculant devant qui que ce soit;
Le cheval tout équipé; ou le bouc; Et le roi à qui personne ne résiste.
Si l'orgueil te pousse à des actes de folie, Et si tu as de mauvaises pensées, mets la main sur la bouche:
Car la pression du lait produit de la crème, La pression du nez produit du sang, Et la pression de la colère produit des querelles.
Les montagnes élevées sont pour les boucs sauvages, Les rochers servent de retraite aux damans.
et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ.
C'est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.
La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison: elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc.
Moïse étendit sa verge sur le pays d'Egypte; et l'Eternel fit souffler un vent d'orient sur le pays toute cette journée et toute la nuit. Quand ce fut le matin, le vent d'orient avait apporté les sauterelles.
Les sauterelles montèrent sur le pays d'Egypte, et se posèrent dans toute l'étendue de l'Egypte; elles étaient en si grande quantité qu'il n'y avait jamais eu et qu'il n'y aura jamais rien de semblable.
Elles couvrirent la surface de toute la terre, et la terre fut dans l'obscurité; elles dévorèrent toute l'herbe de la terre et tout le fruit des arbres, tout ce que la grêle avait laissé; et il ne resta aucune verdure aux arbres ni à l'herbe des champs, dans tout le pays d'Egypte.
On moissonne votre butin, Comme moissonne la sauterelle; On se précipite dessus, Comme se précipitent les sauterelles.
Je vous remplacerai les années Qu'ont dévorées la sauterelle, Le jélek, le hasil et le gazam, Ma grande armée que j'avais envoyée contre vous.
Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l'abîme lui fut donnée,
et elle ouvrit le puits de l'abîme. Et il monta du puits une fumée, comme la fumée d'une grande fournaise; et le soleil et l'air furent obscurcis par la fumée du puits.
De la fumée sortirent des sauterelles, qui se répandirent sur la terre; et il leur fut donné un pouvoir comme le pouvoir qu'ont les scorpions de la terre.
Il leur fut dit de ne point faire de mal à l'herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n'avaient pas le sceau de Dieu sur le front.
Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme.
En ces jours-là, les hommes chercheront la mort, et ils ne la trouveront pas; ils désireront mourir, et la mort fuira loin d'eux.
Ces sauterelles ressemblaient à des chevaux préparés pour le combat; il y avait sur leurs têtes comme des couronnes semblables à de l'or, et leurs visages étaient comme des visages d'hommes.
Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de lions.
Elles avaient des cuirasses comme des cuirasses de fer, et le bruit de leurs ailes était comme un bruit de chars à plusieurs chevaux qui courent au combat.
Elles avaient des queues semblables à des scorpions et des aiguillons, et c'est dans leurs queues qu'était le pouvoir de faire du mal aux hommes pendant cinq mois.
Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon.
Car, si je suis absent de corps, je suis avec vous en esprit, voyant avec joie le bon ordre qui règne parmi vous, et la fermeté de votre foi en Christ.
Paroles d'Agur, fils de Jaké. Sentences prononcées par cet homme pour Ithiel, pour Ithiel et pour Ucal.
Certes, je suis plus stupide que personne, Et je n'ai pas l'intelligence d'un homme;
Je n'ai pas appris la sagesse, Et je ne connais pas la science des saints.
Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu? Qui a recueilli le vent dans ses mains? Qui a serré les eaux dans son vêtement? Qui a fait paraître les extrémités de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son fils? Le sais-tu?
Toute parole de Dieu est éprouvée. Il est un bouclier pour ceux qui cherchent en lui un refuge.
N'ajoute rien à ses paroles, De peur qu'il ne te reprenne et que tu ne sois trouvé menteur.
Je te demande deux choses: Ne me les refuse pas, avant que je meure!
Eloigne de moi la fausseté et la parole mensongère; Ne me donne ni pauvreté, ni richesse, Accorde-moi le pain qui m'est nécessaire.
De peur que, dans l'abondance, je ne te renie Et ne dise: Qui est l'Eternel? Ou que, dans la pauvreté, je ne dérobe, Et ne m'attaque au nom de mon Dieu.
Ne calomnie pas un serviteur auprès de son maître, De peur qu'il ne te maudisse et que tu ne te rendes coupable.
Il est une race qui maudit son père, Et qui ne bénit point sa mère.
Il est une race qui se croit pure, Et qui n'est pas lavée de sa souillure.
Il est une race dont les yeux sont hautains, Et les paupières élevées.
Il est une race dont les dents sont des glaives Et les mâchoires des couteaux, Pour dévorer le malheureux sur la terre Et les indigents parmi les hommes.
La sangsue a deux filles: Donne! donne! Trois choses sont insatiables, Quatre ne disent jamais: Assez!
Le séjour des morts, la femme stérile, La terre, qui n'est pas rassasiée d'eau, Et le feu, qui ne dit jamais: Assez!
L'oeil qui se moque d'un père Et qui dédaigne l'obéissance envers une mère, Les corbeaux du torrent le perceront, Et les petits de l'aigle le mangeront.
Il y a trois choses qui sont au-dessus de ma portée, Même quatre que je ne puis comprendre:
La trace de l'aigle dans les cieux, La trace du serpent sur le rocher, La trace du navire au milieu de la mer, Et la trace de l'homme chez la jeune femme.
Telle est la voie de la femme adultère: Elle mange, et s'essuie la bouche, Puis elle dit: Je n'ai point fait de mal.
Trois choses font trembler la terre, Et il en est quatre qu'elle ne peut supporter:
Un esclave qui vient à régner, Un insensé qui est rassasié de pain,
Une femme dédaignée qui se marie, Et une servante qui hérite de sa maîtresse.
Il y a sur la terre quatre animaux petits, Et cependant des plus sages;
Les fourmis, peuple sans force, Préparent en été leur nourriture;
Les damans, peuple sans puissance, Placent leur demeure dans les rochers;
Les sauterelles n'ont point de roi, Et elles sortent toutes par divisions;
Le lézard saisit avec les mains, Et se trouve dans les palais des rois.
Il y en a trois qui ont une belle allure, Et quatre qui ont une belle démarche:
Le lion, le héros des animaux, Ne reculant devant qui que ce soit;
Le cheval tout équipé; ou le bouc; Et le roi à qui personne ne résiste.
Si l'orgueil te pousse à des actes de folie, Et si tu as de mauvaises pensées, mets la main sur la bouche:
Car la pression du lait produit de la crème, La pression du nez produit du sang, Et la pression de la colère produit des querelles.
Ainsi donc, vous n'êtes plus des étrangers, ni des gens du dehors; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu.