Louis Segond 1910
Versliste
L'Eternel est miséricordieux et juste, Notre Dieu est plein de compassion;
L'Eternel garde les simples; J'étais malheureux, et il m'a sauvé.
Mon âme, retourne à ton repos, Car l'Eternel t'a fait du bien.
Oui, tu as délivré mon âme de la mort, Mes yeux des larmes, Mes pieds de la chute.
Je marcherai devant l'Eternel, Sur la terre des vivants.
J'avais confiance, lorsque je disais: Je suis bien malheureux!
Je disais dans mon angoisse: Tout homme est trompeur.
car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.
C'est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je,
afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régnât par la justice pour la vie éternelle, par Jésus-Christ notre Seigneur.
L'oeil est la lampe du corps. Si ton oeil est en bon état, tout ton corps sera éclairé;
Maintenant, amenez-moi un joueur de harpe. Et comme le joueur de harpe jouait, la main de l'Eternel fut sur Elisée.
Il est arraché de sa tente où il se croyait en sûreté, Il se traîne vers le roi des épouvantements.
Et, comme nous avons le même esprit de foi qui est exprimé dans cette parole de l'Ecriture: J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé! nous aussi nous croyons, et c'est pour cela que nous parlons,
portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps.
sachant que celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus nous ressuscitera aussi avec Jésus, et nous fera paraître avec vous en sa présence.
Je disais dans ma précipitation: Je suis chassé loin de ton regard! Mais tu as entendu la voix de mes supplications, Quand j'ai crié vers toi.
Que ferait mon bien-aimé dans ma maison? Il s'y commet une foule de crimes. La chair sacrée disparaîtra devant toi. Quand tu fais le mal, c'est alors que tu triomphes!
Olivier verdoyant, remarquable par la beauté de son fruit, Tel est le nom que t'avait donné l'Eternel; Au bruit d'un grand fracas, il l'embrase par le feu, Et ses rameaux sont brisés.
L'Eternel des armées, qui t'a planté, Appelle sur toi le malheur, A cause de la méchanceté de la maison d'Israël et de la maison de Juda, Qui ont agi pour m'irriter, en offrant de l'encens à Baal.
L'Eternel m'en a informé, et je l'ai su; Alors tu m'as fait voir leurs oeuvres.
J'étais comme un agneau familier qu'on mène à la boucherie, Et j'ignorais les mauvais desseins qu'ils méditaient contre moi: Détruisons l'arbre avec son fruit! Retranchons-le de la terre des vivants, Et qu'on ne se souvienne plus de son nom! -
Car tes frères eux-mêmes et la maison de ton père te trahissent, Ils crient eux-mêmes à pleine voix derrière toi. Ne les crois pas, quand ils te diront des paroles amicales.
Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge.
Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l'Eternel Dieu avait faits. Il dit à la femme: Dieu a-t-il réellement dit: Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin?
La femme répondit au serpent: Nous mangeons du fruit des arbres du jardin.
Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit: Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez.
Alors le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point;
mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.
La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea.
Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures.