Louis Segond 1910
Versliste
Regarde du ciel, et vois, De ta demeure sainte et glorieuse: Où sont ton zèle et ta puissance? Le frémissement de tes entrailles et tes compassions Ne se font plus sentir envers moi.
Tu es cependant notre père, Car Abraham ne nous connaît pas, Et Israël ignore qui nous sommes; C'est toi, Eternel, qui es notre père, Qui, dès l'éternité, t'appelles notre sauveur.
Pourquoi, ô Eternel, nous fais-tu errer loin de tes voies, Et endurcis-tu notre coeur contre ta crainte? Reviens, pour l'amour de tes serviteurs, Des tribus de ton héritage!
Ton peuple saint n'a possédé le pays que peu de temps; Nos ennemis ont foulé ton sanctuaire.
Nous sommes depuis longtemps comme un peuple que tu ne gouvernes pas, Et qui n'est point appelé de ton nom...
Quand ton peuple sortira pour combattre son ennemi, en suivant la voie que tu lui auras prescrite; s'ils adressent à l'Eternel des prières, les regards tournés vers la ville que tu as choisie et vers la maison que j'ai bâtie à ton nom,
exauce des cieux leurs prières et leurs supplications, et fais-leur droit!
Quand ils pécheront contre toi, car il n'y a point d'homme qui ne pèche, quand tu seras irrité contre eux et que tu les livreras à l'ennemi, qui les emmènera captifs dans un pays ennemi, lointain ou rapproché;
s'ils rentrent en eux-mêmes dans le pays où ils seront captifs, s'ils reviennent à toi et t'adressent des supplications dans le pays de ceux qui les ont emmenés, et qu'ils disent: Nous avons péché, nous avons commis des iniquités, nous avons fait le mal!
s'ils reviennent à toi de tout leur coeur et de toute leur âme, dans le pays de leurs ennemis qui les ont emmenés captifs, s'ils t'adressent des prières, les regards tournés vers leur pays que tu as donné à leurs pères, vers la ville que tu as choisie et vers la maison que j'ai bâtie à ton nom, -
exauce des cieux, du lieu de ta demeure, leurs prières et leurs supplications, et fais-leur droit;
pardonne à ton peuple ses péchés et toutes ses transgressions contre toi; excite la compassion de ceux qui les retiennent captifs, afin qu'ils aient pitié d'eux,
car ils sont ton peuple et ton héritage, et tu les as fait sortir d'Egypte, du milieu d'une fournaise de fer!
Que tes yeux soient ouverts sur la supplication de ton serviteur et sur la supplication de ton peuple d'Israël, pour les exaucer en tout ce qu'ils te demanderont!
Car tu les as séparés de tous les autres peuples de la terre pour en faire ton héritage, comme tu l'as déclaré par Moïse, ton serviteur, quand tu fis sortir d'Egypte nos pères, Seigneur Eternel!
Mon fils, ne méprise pas la correction de l'Eternel, Et ne t'effraie point de ses châtiments;
Car l'Eternel châtie celui qu'il aime, Comme un père l'enfant qu'il chérit.
Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils.
Moïse retourna vers l'Eternel et dit: Ah! ce peuple a commis un grand péché. Ils se sont fait un dieu d'or.
Pardonne maintenant leur péché! Sinon, efface-moi de ton livre que tu as écrit.
J'éprouve une grande tristesse, et j'ai dans le coeur un chagrin continuel.
Car je voudrais moi-même être anathème et séparé de Christ pour mes frères, mes parents selon la chair,
Quand le soleil fut couché, il y eut une obscurité profonde; et voici, ce fut une fournaise fumante, et des flammes passèrent entre les animaux partagés.
En ce jour-là, l'Eternel fit alliance avec Abram, et dit: Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d'Egypte jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate,
Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba! Père!
L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans nos coeurs l'Esprit de son Fils, lequel crie: Abba! Père!
Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu.
Cependant, ô Eternel, tu es notre père; Nous sommes l'argile, et c'est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l'ouvrage de tes mains.
Est-ce l'Eternel que vous en rendrez responsable, Peuple insensé et dépourvu de sagesse? N'est-il pas ton père, ton créateur? N'est-ce pas lui qui t'a formé, et qui t'a affermi?
Car ainsi parle l'Eternel aux hommes de Juda et de Jérusalem: Défrichez-vous un champ nouveau, Et ne semez pas parmi les épines.
Mes entrailles! mes entrailles: je souffre au dedans de mon coeur, Le coeur me bat, je ne puis me taire; Car tu entends, mon âme, le son de la trompette, Le cri de guerre.
Ils viennent en pleurant, et je les conduis au milieu de leurs supplications; Je les mène vers des torrents d'eau, Par un chemin uni où ils ne chancellent pas; Car je suis un père pour Israël, Et Ephraïm est mon premier-né.
N'avons-nous pas tous un seul père? N'est-ce pas un seul Dieu qui nous a créés? Pourquoi donc sommes-nous infidèles l'un envers l'autre, En profanant l'alliance de nos pères?
Tu diras à Pharaon: Ainsi parle l'Eternel: Israël est mon fils, mon premier-né.
Vous êtes les enfants de l'Eternel, votre Dieu. Vous ne vous ferez point d'incisions et vous ne vous ferez point de place chauve entre les yeux pour un mort.
Quand Israël était jeune, je l'aimais, Et j'appelai mon fils hors d'Egypte.
Le coeur de Pharaon s'endurcit, et il n'écouta point Moïse et Aaron selon ce que l'Eternel avait dit.
Je connais tes oeuvres. Je sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant!
Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.
Et il me dit: Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues.