Louis Segond 1910
Versliste
A force de marcher tu te fatigues, Et tu ne dis pas: J'y renonce! Tu trouves encore de la vigueur dans ta main: Aussi n'es-tu pas dans l'abattement.
Et qui redoutais-tu, qui craignais-tu, pour être infidèle, Pour ne pas te souvenir, te soucier de moi? Est-ce que je ne garde pas le silence, et depuis longtemps? C'est pourquoi tu ne me crains pas.
Je vais publier ta droiture, Et tes oeuvres ne te profiteront pas.
A force de marcher tu te fatigues, Et tu ne dis pas: J'y renonce! Tu trouves encore de la vigueur dans ta main: Aussi n'es-tu pas dans l'abattement.
Et qui redoutais-tu, qui craignais-tu, pour être infidèle, Pour ne pas te souvenir, te soucier de moi? Est-ce que je ne garde pas le silence, et depuis longtemps? C'est pourquoi tu ne me crains pas.
Je vais publier ta droiture, Et tes oeuvres ne te profiteront pas.