Malheur à ceux qui vivent tranquilles dans Sion, Et en sécurité sur la montagne de Samarie, A ces grands de la première des nations, Auprès desquels va la maison d'Israël!...
Passez à Calné et voyez, Allez de là jusqu'à Hamath la grande, Et descendez à Gath chez les Philistins: Ces villes sont-elles plus prospères que vos deux royaumes, Et leur territoire est-il plus étendu que le vôtre?...
Vous croyez éloigné le jour du malheur, Et vous faites approcher le règne de la violence.
Ils reposent sur des lits d'ivoire, Ils sont mollement étendus sur leurs couches; Ils mangent les agneaux du troupeau, Les veaux mis à l'engrais.
Ils extravaguent au son du luth, Ils se croient habiles comme David sur les instruments de musique.
Ils boivent le vin dans de larges coupes, Ils s'oignent avec la meilleure huile, Et ils ne s'attristent pas sur la ruine de Joseph!
C'est pourquoi ils seront emmenés à la tête des captifs; Et les cris de joie de ces voluptueux cesseront.
Le Seigneur, l'Eternel, l'a juré par lui-même; L'Eternel, le Dieu des armées, a dit: J'ai en horreur l'orgueil de Jacob, Et je hais ses palais; Je livrerai la ville et tout ce qu'elle renferme.
Et s'il reste dix hommes dans une maison, ils mourront.
Lorsqu'un parent prendra un mort pour le brûler Et qu'il enlèvera de la maison les ossements, Il dira à celui qui est au fond de la maison: Y a-t-il encore quelqu'un avec toi? Et cet homme répondra: Personne... Et l'autre dira: Silence! Ce n'est pas le moment de prononcer le nom de l'Eternel.
Car voici, l'Eternel ordonne: Il fera tomber en ruines la grande maison, Et en débris la petite maison.
Est-ce que les chevaux courent sur un rocher, Est-ce qu'on y laboure avec des boeufs, Pour que vous ayez changé la droiture en poison, Et le fruit de la justice en absinthe?
Vous vous réjouissez de ce qui n'est que néant, Vous dites: N'est-ce pas par notre force Que nous avons acquis de la puissance?
C'est pourquoi voici, je ferai lever contre vous, maison d'Israël, Dit l'Eternel, le Dieu des armées, une nation Qui vous opprimera depuis l'entrée de Hamath Jusqu'au torrent du désert.
Querverweise zu Amos 6,14 Amos 6,14
Du temps de Pékach, roi d'Israël, Tiglath-Piléser, roi d'Assyrie, vint et prit Ijjon, Abel-Beth-Maaca, Janoach, Kédesch, Hatsor, Galaad et la Galilée, tout le pays de Nephthali, et il emmena captifs les habitants en Assyrie.
depuis la montagne de Hor, vous la ferez passer par Hamath, et arriver à Tsedad;
La neuvième année d'Osée, le roi d'Assyrie prit Samarie, et emmena Israël captif en Assyrie. Il les fit habiter à Chalach, et sur le Chabor, fleuve de Gozan, et dans les villes des Mèdes.
Salomon célébra la fête en ce temps-là, et tout Israël avec lui. Une grande multitude, venue depuis les environs de Hamath jusqu'au torrent d'Egypte, s'assembla devant l'Eternel, notre Dieu, pendant sept jours, et sept autres jours, soit quatorze jours.
En ce jour-là, le Seigneur rasera, avec un rasoir pris à louage Au delà du fleuve, Avec le roi d'Assyrie, La tête et le poil des pieds; Il enlèvera aussi la barbe.
Voici les limites du pays. Du côté septentrional, depuis la grande mer, le chemin de Hethlon jusqu'à Tsedad,
Hamath, Bérotha, Sibraïm, entre la frontière de Damas et la frontière de Hamath, Hatzer-Hatthicon, vers la frontière de Havran;
ainsi la limite sera, depuis la mer, Hatsar-Enon, la frontière de Damas, Tsaphon au nord, et la frontière de Hamath: ce sera le côté septentrional.
Car, avant que l'enfant sache dire: Mon père! ma mère! on emportera devant le roi d'Assyrie les richesses de Damas et le butin de Samarie.
L'Eternel me parla encore, et me dit:
Parce que ce peuple a méprisé les eaux de Siloé qui coulent doucement Et qu'il s'est réjoui au sujet de Retsin et du fils de Remalia,
Voici, le Seigneur va faire monter contre eux Les puissantes et grandes eaux du fleuve Le roi d'Assyrie et toute sa gloire; Il s'élèvera partout au-dessus de son lit, Et il se répandra sur toutes ses rives;
Il pénétrera dans Juda, il débordera et inondera, Il atteindra jusqu'au cou. Le déploiement de ses ailes Remplira l'étendue de ton pays, ô Emmanuel!
Malheur à l'Assyrien, verge de ma colère! La verge dans sa main, c'est l'instrument de ma fureur.
Je l'ai lâché contre une nation impie, Je l'ai fait marcher contre le peuple de mon courroux, Pour qu'il se livre au pillage et fasse du butin, Pour qu'il le foule aux pieds comme la boue des rues.
Voici, je fais venir de loin une nation contre vous, maison d'Israël, Dit l'Eternel; C'est une nation forte, c'est une nation ancienne, Une nation dont tu ne connais pas la langue, Et dont tu ne comprendras point les paroles.
Son carquois est comme un sépulcre ouvert; Ils sont tous des héros.
Elle dévorera ta moisson et ton pain, Elle dévorera tes fils et tes filles, Elle dévorera tes brebis et tes boeufs, Elle dévorera ta vigne et ton figuier; Elle détruira par l'épée tes villes fortes dans lesquelles tu te confies.
Les habitants de Samarie seront consternés au sujet des veaux de Beth-Aven; Le peuple mènera deuil sur l'idole, Et ses prêtres trembleront pour elle, Pour sa gloire, qui va disparaître du milieu d'eux.