Au chef des chantres. Psaume de David. Heureux celui qui s'intéresse au pauvre! Au jour du malheur l'Eternel le délivre;
L'Eternel le garde et lui conserve la vie. Il est heureux sur la terre, Et tu ne le livres pas au bon plaisir de ses ennemis.
L'Eternel le soutient sur son lit de douleur; Tu le soulages dans toutes ses maladies.
Je dis: Eternel, aie pitié de moi! Guéris mon âme! car j'ai péché contre toi.
Mes ennemis disent méchamment de moi: Quand mourra-t-il? quand périra son nom?
Si quelqu'un vient me voir, il prend un langage faux, Il recueille des sujets de médire; Il s'en va, et il parle au dehors.
Tous mes ennemis chuchotent entre eux contre moi; Ils pensent que mon malheur causera ma ruine:
Il est dangereusement atteint, Le voilà couché, il ne se relèvera pas!
Celui-là même avec qui j'étais en paix, Qui avait ma confiance et qui mangeait mon pain, Lève le talon contre moi.
Toi, Eternel, aie pitié de moi et rétablis-moi! Et je leur rendrai ce qui leur est dû.
Je connaîtrai que tu m'aimes, Si mon ennemi ne triomphe pas de moi.
Tu m'as soutenu à cause de mon intégrité, Et tu m'as placé pour toujours en ta présence.
Béni soit l'Eternel, le Dieu d'Israël, d'éternité en éternité! Amen! Amen!
Querverweise zu Psalm 41,8 Ps 41,8
Il n'y a rien de sain dans ma chair à cause de ta colère, Il n'y a plus de vigueur dans mes os à cause de mon péché.
Car mes iniquités s'élèvent au-dessus de ma tête; Comme un lourd fardeau, elles sont trop pesantes pour moi.
Mes plaies sont infectes et purulentes, Par l'effet de ma folie.
Je suis courbé, abattu au dernier point; Tout le jour je marche dans la tristesse.
Car un mal brûlant dévore mes entrailles, Et il n'y a rien de sain dans ma chair.
Combien qui disent à mon sujet: Plus de salut pour lui auprès de Dieu! -Pause.
Et Satan se retira de devant la face de l'Eternel. Puis il frappa Job d'un ulcère malin, depuis la plante du pied jusqu'au sommet de la tête.
Disant: Dieu l'abandonne; Poursuivez, saisissez-le; il n'y a personne pour le délivrer.
Et Job prit un tesson pour se gratter et s'assit sur la cendre.
Les principaux sacrificateurs, avec les scribes et les anciens, se moquaient aussi de lui, et disaient:
Il a sauvé les autres, et il ne peut se sauver lui-même! S'il est roi d'Israël, qu'il descende de la croix, et nous croirons en lui.
Il s'est confié en Dieu; que Dieu le délivre maintenant, s'il l'aime. Car il a dit: Je suis Fils de Dieu.
Les brigands, crucifiés avec lui, l'insultaient de la même manière.
Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre.
Et vers la neuvième heure, Jésus s'écria d'une voix forte: Eli, Eli, lama sabachthani? c'est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?
Et cette femme, qui est une fille d'Abraham, et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat?
et dirent: Seigneur, nous nous souvenons que cet imposteur a dit, quand il vivait encore: Après trois jours je ressusciterai.
Ordonne donc que le sépulcre soit gardé jusqu'au troisième jour, afin que ses disciples ne viennent pas dérober le corps, et dire au peuple: Il est ressuscité des morts. Cette dernière imposture serait pire que la première.