Louis Segond 1910
Versliste
L'homme stupide n'y connaît rien, Et l'insensé n'y prend point garde.
Si les méchants croissent comme l'herbe, Si tous ceux qui font le mal fleurissent, C'est pour être anéantis à jamais.
Mais toi, tu es le Très-Haut, A perpétuité, ô Eternel!
Car voici, tes ennemis, ô Eternel! Car voici, tes ennemis périssent; Tous ceux qui font le mal sont dispersés.
Et tu me donnes la force du buffle; Je suis arrosé avec une huile fraîche.
Mon oeil se plaît à contempler mes ennemis, Et mon oreille à entendre mes méchants adversaires.