Louis Segond 1910
Versliste
Aie pitié de moi, Eternel! Vois la misère où me réduisent mes ennemis, Enlève-moi des portes de la mort,
Afin que je publie toutes tes louanges, Dans les portes de la fille de Sion, Et que je me réjouisse de ton salut.
Les nations tombent dans la fosse qu'elles ont faite, Leur pied se prend au filet qu'elles ont caché.
Aie pitié de moi, Eternel! Vois la misère où me réduisent mes ennemis, Enlève-moi des portes de la mort,
Afin que je publie toutes tes louanges, Dans les portes de la fille de Sion, Et que je me réjouisse de ton salut.
Les nations tombent dans la fosse qu'elles ont faite, Leur pied se prend au filet qu'elles ont caché.