Louis Segond 1910
Versliste
Je dis: Oh! si j'avais les ailes de la colombe, Je m'envolerais, et je trouverais le repos;
Voici, je fuirais bien loin, J'irais séjourner au désert; -Pause.
Je m'échapperais en toute hâte, Plus rapide que le vent impétueux, que la tempête.
Tes yeux sont trop purs pour voir le mal, Et tu ne peux pas regarder l'iniquité. Pourquoi regarderais-tu les perfides, et te tairais-tu, Quand le méchant dévore celui qui est plus juste que lui?