Louis Segond 1910
Versliste
L'Eternel affermit les pas de l'homme, Et il prend plaisir à sa voie;
S'il tombe, il n'est pas terrassé, Car l'Eternel lui prend la main.
J'ai été jeune, j'ai vieilli; Et je n'ai point vu le juste abandonné, Ni sa postérité mendiant son pain.
Toujours il est compatissant, et il prête; Et sa postérité est bénie.
Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure.
Car l'Eternel aime la justice, Et il n'abandonne pas ses fidèles; Ils sont toujours sous sa garde, Mais la postérité des méchants est retranchée.