Louis Segond 1910
Versliste
Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, Je gémissais toute la journée;
Car nuit et jour ta main s'appesantissait sur moi, Ma vigueur n'était plus que sécheresse, comme celle de l'été. -Pause.
Un coeur joyeux est un bon remède, Mais un esprit abattu dessèche les os.
C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts.