Louis Segond 1910
Versliste
Car la main de l'Eternel repose sur cette montagne; Et Moab est foulé sur place, Comme la paille est foulée dans une mare à fumier.
Au milieu de cette mare, il étend ses mains, Comme le nageur les étend pour nager; Mais l'Eternel abat son orgueil, Et déjoue l'artifice de ses mains.
Il renverse, il précipite les fortifications élevées de tes murs, Il les fait crouler à terre, jusque dans la poussière.
Nous entendons l'orgueil du superbe Moab, Sa fierté et sa hauteur, son arrogance et ses vains discours.