Louis Segond 1910
Versliste
Quand il eut dit cela, il s'éleva une discussion entre les pharisiens et les sadducéens, et l'assemblée se divisa.
Quelques-uns d'entre eux furent persuadés, et se joignirent à Paul et à Silas, ainsi qu'une grande multitude de Grecs craignant Dieu, et beaucoup de femmes de qualité.
Les apôtres Barnabas et Paul, ayant appris cela, déchirèrent leurs vêtements, et se précipitèrent au milieu de la foule,
depuis le baptême de Jean jusqu'au jour où il a été enlevé du milieu de nous, il y en ait un qui nous soit associé comme témoin de sa résurrection.
Ne suis-je pas libre? Ne suis-je pas apôtre? N'ai-je pas vu Jésus notre Seigneur? N'êtes-vous pas mon oeuvre dans le Seigneur?
Après eux tous, il m'est aussi apparu à moi, comme à l'avorton;
Paul, apôtre, non de la part des hommes, ni par un homme, mais par Jésus-Christ et Dieu le Père, qui l'a ressuscité des morts,
de révéler en moi son Fils, afin que je l'annonçasse parmi les païens, aussitôt, je ne consultai ni la chair ni le sang,
et je ne montai point à Jérusalem vers ceux qui furent apôtres avant moi, mais je partis pour l'Arabie. Puis je revins encore à Damas.
Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire la connaissance de Céphas, et je demeurai quinze jours chez lui.
En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son seigneur, ni l'apôtre plus grand que celui qui l'a envoyé.
Ainsi, pour ce qui est de Tite, il est notre associé et notre compagnon d'oeuvre auprès de vous; et pour ce qui est de nos frères, ils sont les envoyés des Eglises, la gloire de Christ.
Mais je ne vis aucun autre des apôtres, si ce n'est Jacques, le frère du Seigneur.
J'ai estimé nécessaire de vous envoyer mon frère Epaphrodite, mon compagnon d'oeuvre et de combat, par qui vous m'avez fait parvenir de quoi pourvoir à mes besoins.
Nous n'avons point cherché la gloire qui vient des hommes, ni de vous ni des autres; nous aurions pu nous produire avec autorité comme apôtres de Christ,
Mais quand Silas et Timothée furent arrivés de la Macédoine, il se donna tout entier à la parole, attestant aux Juifs que Jésus était le Christ.
Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes.
Saluez Marie, qui a pris beaucoup de peine pour vous.
Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ.