Louis Segond 1910
Versliste
Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste.
Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'est point sans l'homme, ni l'homme sans la femme.
Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché.
Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins.
Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire
par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire, de sa chair,
et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu,
approchons-nous avec un coeur sincère, dans la plénitude de la foi, les coeurs purifiés d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'une eau pure.
Au chef des chantres. Sur Biche de l'aurore. Psaume de David. Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m'as-tu abandonné, Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes?
Mon Dieu! je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n'ai point de repos.
Pourtant tu es le Saint, Tu sièges au milieu des louanges d'Israël.
En toi se confiaient nos pères; Ils se confiaient, et tu les délivrais.
Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; Ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point confus.
Et moi, je suis un ver et non un homme, L'opprobre des hommes et le méprisé du peuple.
Tous ceux qui me voient se moquent de moi, Ils ouvrent la bouche, secouent la tête:
Recommande-toi à l'Eternel! L'Eternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu'il l'aime! -
Oui, tu m'as fait sortir du sein maternel, Tu m'as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère;
Dès le sein maternel j'ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu.
Ne t'éloigne pas de moi quand la détresse est proche, Quand personne ne vient à mon secours!
De nombreux taureaux sont autour de moi, Des taureaux de Basan m'environnent.
Ils ouvrent contre moi leur gueule, Semblables au lion qui déchire et rugit.
Je suis comme de l'eau qui s'écoule, Et tous mes os se séparent; Mon coeur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles.
Ma force se dessèche comme l'argile, Et ma langue s'attache à mon palais; Tu me réduis à la poussière de la mort.
Car des chiens m'environnent, Une bande de scélérats rôdent autour de moi, Ils ont percé mes mains et mes pieds.
Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent;
Ils se partagent mes vêtements, Ils tirent au sort ma tunique.
Et toi, Eternel, ne t'éloigne pas! Toi qui es ma force, viens en hâte à mon secours!
Protège mon âme contre le glaive, Ma vie contre le pouvoir des chiens!
Sauve-moi de la gueule du lion, Délivre-moi des cornes du buffle!
Je publierai ton nom parmi mes frères, Je te célébrerai au milieu de l'assemblée.
Vous qui craignez l'Eternel, louez-le! Vous tous, postérité de Jacob, glorifiez-le! Tremblez devant lui, vous tous, postérité d'Israël!
Car il n'a ni mépris ni dédain pour les peines du misérable, Et il ne lui cache point sa face; Mais il l'écoute quand il crie à lui.
Tu seras dans la grande assemblée l'objet de mes louanges; J'accomplirai mes voeux en présence de ceux qui te craignent.
Les malheureux mangeront et se rassasieront, Ceux qui cherchent l'Eternel le célébreront. Que votre coeur vive à toujours!
Toutes les extrémités de la terre penseront à l'Eternel et se tourneront vers lui; Toutes les familles des nations se prosterneront devant ta face.
Car à l'Eternel appartient le règne: Il domine sur les nations.
Tous les puissants de la terre mangeront et se prosterneront aussi; Devant lui s'inclineront tous ceux qui descendent dans la poussière, Ceux qui ne peuvent conserver leur vie.
La postérité le servira; On parlera du Seigneur à la génération future.
Quand elle viendra, elle annoncera sa justice, Elle annoncera son oeuvre au peuple nouveau-né.
Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur.
Cependant je vous dis la vérité: il vous est avantageux que je m'en aille, car si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m'en vais, je vous l'enverrai.
Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s'éloigner de Jérusalem, mais d'attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il;
lorsqu'il dit: J'annoncerai ton nom à mes frères, Je te célébrerai au milieu de l'assemblée.